Dans une lettre de mercredi 13 février, Jean-Luc Moundenc le maire de Toulouse, affirme s’opposer au projet d’incinération de 20 000 tonnes de déchets corses.
Comme CNI l’avait écrit en septembre dernier le Syvadec annonçait avoir retenu une offre toulousaine pour le traitement d’une partie des ordures ménagères corses. À partir de 2019, 20 000 tonnes de déchets résiduels devraient être traitées par l’usine d’incinération de Veolia, à Toulouse.
D’autres villes sur le continent sont aussi concernées par cet appel d’offres notamment l’unité de valorisation énergétique de Veolia à Nîmes dans le Gard, pour 8 000 t/an, l’unité de valorisation énergétique de TIRU à Perpignan dans les Pyrénées-Orientales, pour 15 000 t/an et l’installation de stockage de Seché Environnement à Le Vigeant en Poitou-Charentes.
"Une situation provisoire car les sites d’enfouissement actuels arrivent à saturation- avait expliqué le Syvadec -Trois années sont nécessaires pour faire la jonction avec l’ouverture de nouvelles installations en Corse.".
Mais mercredi dernier dans une lettre le maire de la Ville Rose, comme l’indique dans ses colonnes La Dépêche, a rappelé que ce projet nécessite un arrêté dérogatoire de la part du préfet. Et même si cette dérogation devait être accordée, Jean-Luc Moundec souhaite qu’elle soit de « courte durée ».
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