Voici son communiqué :
« Suite aux investitures délivrées le jeudi 11 mai 2017 par la Commission d’investiture du mouvement En Marche, nous sommes désorientés et, pour tout dire, meurtris. Nous sommes les victimes d’une machination politique détestable. En Corse, nous avons été délaissés et trahis. Ce qui devait être la concrétisation d’une promesse attendue par tous les citoyens a tourné aigre. Le renouvellement des visages et des pratiques n’a pas franchi la Méditerranée. En Corse, la mécanique claniste s’est accaparée un discours et un projet politiques qu’elle n’a jamais initié, porté et défendu face à l’obscurantisme. En Marche a cessé d’exister en Corse le 11 mai 2017 au profit d’une agglomération d’ambitions personnelles recuites depuis au moins une dizaine d’années (.)… C’est pourquoi, j’appelle les citoyennes et les citoyens à rester fidèles à leur engagement de rénovation de la vie politique. La Corse ne doit pas être exclue du processus. Elle ne doit pas se faire confisquer son aspiration du 13 décembre 2015 et du 7 mai 2017 par ceux qui veulent restaurer le clan. Je tiens à vous rappeler que notre nouveau Premier ministre, Édouard Phillipe, est un ancien député LR. Alors avec beaucoup de conviction, je demande à Mr Ferrara de faire preuve d’ouverture. Sa gestion raisonnée et pragmatique de la CAPA, son sens du dialogue et de la concertation sont des vertus dans une Corse qui a trop souvent souffert de la violence. Je crois qu’il a compris que les jeunes et les moins jeunes veulent que les personnalités publiques dépassent les clivages imposés par des partis devenus obsolètes. C’est dans cette optique que je soutiens sa candidature. Si nous restons dans l’inaction, nous devrons de nouveau faire face à ceux qui ont failli dans la gestion des intérêts de la Corse et nous favoriserons la continuité du clanisme ».
« Suite aux investitures délivrées le jeudi 11 mai 2017 par la Commission d’investiture du mouvement En Marche, nous sommes désorientés et, pour tout dire, meurtris. Nous sommes les victimes d’une machination politique détestable. En Corse, nous avons été délaissés et trahis. Ce qui devait être la concrétisation d’une promesse attendue par tous les citoyens a tourné aigre. Le renouvellement des visages et des pratiques n’a pas franchi la Méditerranée. En Corse, la mécanique claniste s’est accaparée un discours et un projet politiques qu’elle n’a jamais initié, porté et défendu face à l’obscurantisme. En Marche a cessé d’exister en Corse le 11 mai 2017 au profit d’une agglomération d’ambitions personnelles recuites depuis au moins une dizaine d’années (.)… C’est pourquoi, j’appelle les citoyennes et les citoyens à rester fidèles à leur engagement de rénovation de la vie politique. La Corse ne doit pas être exclue du processus. Elle ne doit pas se faire confisquer son aspiration du 13 décembre 2015 et du 7 mai 2017 par ceux qui veulent restaurer le clan. Je tiens à vous rappeler que notre nouveau Premier ministre, Édouard Phillipe, est un ancien député LR. Alors avec beaucoup de conviction, je demande à Mr Ferrara de faire preuve d’ouverture. Sa gestion raisonnée et pragmatique de la CAPA, son sens du dialogue et de la concertation sont des vertus dans une Corse qui a trop souvent souffert de la violence. Je crois qu’il a compris que les jeunes et les moins jeunes veulent que les personnalités publiques dépassent les clivages imposés par des partis devenus obsolètes. C’est dans cette optique que je soutiens sa candidature. Si nous restons dans l’inaction, nous devrons de nouveau faire face à ceux qui ont failli dans la gestion des intérêts de la Corse et nous favoriserons la continuité du clanisme ».