Proposer des idées pour l’avenir de la Corse, apporter une vision nouvelle pour faire avancer l’île sur les problématiques qui lui sont propres… tel est le leitmotiv qui a poussé Jean-Dominique Agostini, retraité et ancien maire de Castellare di Mercurio, à créer et organisé le think tank « Corsica Projects » durant l’été 2022. « L’idée c’est de dire que la politique ne doit pas se concentrer que sur l’autonomie de la Corse. Il faut discuter de la problématique du tourisme de masse, des déchets des ordures ménagères, du financement des TPE… ces dossiers ont l’air d’être complètement oubliés. Il n’y a plus de projets pour l’île », regrette Jean-Dominique Agostini.
Rapidement, en discutant avec des amis, l’ancien édile réussit à convaincre 7 autres personnes qui deviennent elles aussi des membres fondateurs du think tank.
Parmi ces adhérents, des Corses et des continentaux de tous les bords politiques, des retraités et des actifs comme Christophe Canioni éditeur et ancien conseiller territorial de Corse, Gérard Colombani, haut fonctionnaire et ancien délégué régional au commerce et à l'artisanat de Corse, Christophe Agostini, ingénieur aéronautique, Vice-Président d'Airbus, Yves Gernigon, publicitaire et président du parti fédéraliste européen, Charles Andrei, ancien kinésithérapeute à La Ciotat ainsi que de membres associés Christine Vazell, fondatrice et directrice d'une école privée et Hélène Luneta, ancienne conseillère et adjointe au maire d'Aubagne.
« Faire vivre la démocratie »
Le 15 septembre, une première réunion aura lieu en visioconférence sur le thème de la réorganisation administrative et politique de la carte communale et intercommunale. Avec ce lancement d’actualité, le Corsica projects entend aborder le problème de la Communauté de communes Pasquale Paoli en faillite à cause de son faible peuplement, de son étendue géographique et des problèmes liés à la ruralité. « Une fois des idées posées sur la table, nous ferons des conférences de presse et nous mettrons tout sur notre site internet pour que les propositions soient accessibles à tous », explique l’organisateur du Think Tank dont les idées seront aussi transmises aux forces politiques. Par la suite, le Corsica Projects devrait se réunir une fois par mois ce qui ravit son porte-parole, Christophe Canioni : « La Corse est dans une situation sclérosée, le public insulaire doit plus s’investir pour faire vivre la démocratie. »
Les personnes souhaitant participer à la démarche peuvent envoyer un courriel à l’adresse suivante : Corsicaprojects@yahoo.com
Rapidement, en discutant avec des amis, l’ancien édile réussit à convaincre 7 autres personnes qui deviennent elles aussi des membres fondateurs du think tank.
Parmi ces adhérents, des Corses et des continentaux de tous les bords politiques, des retraités et des actifs comme Christophe Canioni éditeur et ancien conseiller territorial de Corse, Gérard Colombani, haut fonctionnaire et ancien délégué régional au commerce et à l'artisanat de Corse, Christophe Agostini, ingénieur aéronautique, Vice-Président d'Airbus, Yves Gernigon, publicitaire et président du parti fédéraliste européen, Charles Andrei, ancien kinésithérapeute à La Ciotat ainsi que de membres associés Christine Vazell, fondatrice et directrice d'une école privée et Hélène Luneta, ancienne conseillère et adjointe au maire d'Aubagne.
« Faire vivre la démocratie »
Le 15 septembre, une première réunion aura lieu en visioconférence sur le thème de la réorganisation administrative et politique de la carte communale et intercommunale. Avec ce lancement d’actualité, le Corsica projects entend aborder le problème de la Communauté de communes Pasquale Paoli en faillite à cause de son faible peuplement, de son étendue géographique et des problèmes liés à la ruralité. « Une fois des idées posées sur la table, nous ferons des conférences de presse et nous mettrons tout sur notre site internet pour que les propositions soient accessibles à tous », explique l’organisateur du Think Tank dont les idées seront aussi transmises aux forces politiques. Par la suite, le Corsica Projects devrait se réunir une fois par mois ce qui ravit son porte-parole, Christophe Canioni : « La Corse est dans une situation sclérosée, le public insulaire doit plus s’investir pour faire vivre la démocratie. »
Les personnes souhaitant participer à la démarche peuvent envoyer un courriel à l’adresse suivante : Corsicaprojects@yahoo.com
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