Corsica Libera se félicite de la prise de position du conseil municipal de la commune de Santa Reparata quand à l 'avenir agricole de la plaine de Palazzi
S'il est vrai que la Balagne n'a pas su se préserver rapidement du fléau de la spéculation à travers des plans concertés d'urbanisme (POS, PLU), aujourd'hui, ce sont Santa Reparata et le Domaine Agricole d'I Palazzi qui en font les frais.
En effet, comme le précise le dernier communiqué du conseil municipal, ce sont bien les domaines (l'Etat) qui, tenant compte des prix pratiqués dans le secteur, évaluent le prix de vente d'une parcelle. Or le prix de vente proposé pour I Palazzi est largement prohibitif pour une petite commune comme Santa Reparata (480 000 €), sans parler du prix de la mise aux enchères à 650 000 € par le propriétaire.
Corsica Libera considère que les agriculteurs, les corses, et donc même les petites communes ne peuvent plus subir le diktat spéculatif des promoteurs de tout poil sans qu'aucune solution efficace ne puisse intervenir.
C'est pour cela que Corsica libera veut promouvoir un débat ouvert à tous sur ce mal qui gèle le foncier pour l 'installation des jeunes agriculteurs, ou qui oblige de jeunes couples à s'endetter lourdement pour quelques m2 d'un appartement, d'une résidence où la mixité sociale n'existe plus.
Enfin, grâce au débat, à la concertation, et à la mobilisation, nous saurons tous ensemble préserver la Corse et préparer l'avenir. La journée du 26 sera l'occasion d'aborder ces problèmes pour leur apporter des solutions pérennes.
S'il est vrai que la Balagne n'a pas su se préserver rapidement du fléau de la spéculation à travers des plans concertés d'urbanisme (POS, PLU), aujourd'hui, ce sont Santa Reparata et le Domaine Agricole d'I Palazzi qui en font les frais.
En effet, comme le précise le dernier communiqué du conseil municipal, ce sont bien les domaines (l'Etat) qui, tenant compte des prix pratiqués dans le secteur, évaluent le prix de vente d'une parcelle. Or le prix de vente proposé pour I Palazzi est largement prohibitif pour une petite commune comme Santa Reparata (480 000 €), sans parler du prix de la mise aux enchères à 650 000 € par le propriétaire.
Corsica Libera considère que les agriculteurs, les corses, et donc même les petites communes ne peuvent plus subir le diktat spéculatif des promoteurs de tout poil sans qu'aucune solution efficace ne puisse intervenir.
C'est pour cela que Corsica libera veut promouvoir un débat ouvert à tous sur ce mal qui gèle le foncier pour l 'installation des jeunes agriculteurs, ou qui oblige de jeunes couples à s'endetter lourdement pour quelques m2 d'un appartement, d'une résidence où la mixité sociale n'existe plus.
Enfin, grâce au débat, à la concertation, et à la mobilisation, nous saurons tous ensemble préserver la Corse et préparer l'avenir. La journée du 26 sera l'occasion d'aborder ces problèmes pour leur apporter des solutions pérennes.