Il était 19h35 lorsque pompiers et gendarmes ont été alertés pour une voiture qui aurait basculé dans le ravin, derrière la pointe de la Revellata, sortie sud de Calvi.
Le véhicule en question aurait terminé sa course en bas des rochers, en bordure de mer.
Aussitôt des moyens terrestres et maritimes, avec les pompiers et gendarmes, étaient engagés.
Sur place, le capitaine Frédéric Antoine-Santoni, commandant le Centre d'Intervention et de Secours de Calvi supervisait les opérations.
Finalement, après vérifications effectués, il s'est avéré que le véhicule repéré était une vieille épave, comme c'est parfois le cas en cet endroit précis.
Cette affaire peu banale a aussi fait ressurgir le spectre d'un fait-divers qui avait défrayé la chronique il y a quelques années de cela. C'était l'affaire dite des "amants diaboliques".
Sur le bord de la route, une femme blessée avait demandé de l'aide, précisant que son mari avait chute dans le ravin en essayant de faire un demi-tour sur la route et qu'elle avait réussi à sauter, avant que la voiture s'écrase une centaine de mètres plus bas.
Le conducteur n'avait pas survécu.
Ce n'est que plus tard que l'on apprenait que cet accident avait été maquillé en guet-apens mortel et qu'il était l'oeuvre de l'amant et de l'épouse.
Les "amants diaboliques" ont été interpellés à Miami où ils coulaient une vie paisible.
Le véhicule en question aurait terminé sa course en bas des rochers, en bordure de mer.
Aussitôt des moyens terrestres et maritimes, avec les pompiers et gendarmes, étaient engagés.
Sur place, le capitaine Frédéric Antoine-Santoni, commandant le Centre d'Intervention et de Secours de Calvi supervisait les opérations.
Finalement, après vérifications effectués, il s'est avéré que le véhicule repéré était une vieille épave, comme c'est parfois le cas en cet endroit précis.
Cette affaire peu banale a aussi fait ressurgir le spectre d'un fait-divers qui avait défrayé la chronique il y a quelques années de cela. C'était l'affaire dite des "amants diaboliques".
Sur le bord de la route, une femme blessée avait demandé de l'aide, précisant que son mari avait chute dans le ravin en essayant de faire un demi-tour sur la route et qu'elle avait réussi à sauter, avant que la voiture s'écrase une centaine de mètres plus bas.
Le conducteur n'avait pas survécu.
Ce n'est que plus tard que l'on apprenait que cet accident avait été maquillé en guet-apens mortel et qu'il était l'oeuvre de l'amant et de l'épouse.
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