L’Inspectrice d’académie, Directrice académique des services départementaux de Haute-Corse tient à préciser que ni l’inspectrice de la circonscription, ni elle-même n’ont donné la directive d’annuler la fête de l’école de Prunelli.
La directrice de l’école a informé l’Inspectrice de la circonscription que des menaces de manifestation et des velléités de siffler les élèves au moment où les chants se feraient en langue arabe avaient été annoncées. Dans ces conditions, elle ne pensait pas être en mesure d’assurer la sécurité au sein de son école.
C’est donc pour des raisons de sécurité et afin de protéger les élèves d’attitudes blessantes que, conjointement avec la directrice de l’école, il avait été tout d’abord décidé de positionner la fête dans la journée, le 26 juin.
Depuis, les deux enseignantes concernées ont été victimes, à plusieurs reprises de menaces proférées à la sortie de l’école et sur leur temps personnel, si elles maintenaient leur projet. Terrorisées, elles ont pris la décision de ne pas le maintenir.
Enfin, l’Inspectrice d’académie et l’Inspectrice de la circonscription tiennent à souligner tout l’intérêt pédagogique du projet des deux enseignantes qui ont souhaité faire travailler leurs élèves en utilisant les quatre langues parlées par les élèves de l’école : le français, le corse, l’anglais et l’arabe et accueillir une nouvelle élève d’origine espagnole en intégrant quelques phrases dans sa langue.
L’Inspectrice d’académie regrette vivement que l’obscurantisme puisse, par ces réactions violentes de parents à l’encontre de deux enseignantes, s’immiscer dans la sphère de l’école.
Elle apprend que les enseignants ont décidé d’exercer leur droit de retrait à partir de cet après-midi et jusqu’à demain inclus.
Elle tient à souligner que le Recteur, l’Inspectrice de la circonscription et elle-même soutiennent totalement les enseignants dans leur démarche.
En effet, les menaces qui ont été proférées soulignent le caractère d’insécurité qui justifie de la part des personnels de faire appel à leur droit de retrait.
Devant ce qu’elle considère comme des attitudes intolérables portant atteinte aux principes fondateurs de l’école de la République, l’Inspectrice d’académie informe qu’elle dépose une plainte contre X.
La directrice de l’école a informé l’Inspectrice de la circonscription que des menaces de manifestation et des velléités de siffler les élèves au moment où les chants se feraient en langue arabe avaient été annoncées. Dans ces conditions, elle ne pensait pas être en mesure d’assurer la sécurité au sein de son école.
C’est donc pour des raisons de sécurité et afin de protéger les élèves d’attitudes blessantes que, conjointement avec la directrice de l’école, il avait été tout d’abord décidé de positionner la fête dans la journée, le 26 juin.
Depuis, les deux enseignantes concernées ont été victimes, à plusieurs reprises de menaces proférées à la sortie de l’école et sur leur temps personnel, si elles maintenaient leur projet. Terrorisées, elles ont pris la décision de ne pas le maintenir.
Enfin, l’Inspectrice d’académie et l’Inspectrice de la circonscription tiennent à souligner tout l’intérêt pédagogique du projet des deux enseignantes qui ont souhaité faire travailler leurs élèves en utilisant les quatre langues parlées par les élèves de l’école : le français, le corse, l’anglais et l’arabe et accueillir une nouvelle élève d’origine espagnole en intégrant quelques phrases dans sa langue.
L’Inspectrice d’académie regrette vivement que l’obscurantisme puisse, par ces réactions violentes de parents à l’encontre de deux enseignantes, s’immiscer dans la sphère de l’école.
Elle apprend que les enseignants ont décidé d’exercer leur droit de retrait à partir de cet après-midi et jusqu’à demain inclus.
Elle tient à souligner que le Recteur, l’Inspectrice de la circonscription et elle-même soutiennent totalement les enseignants dans leur démarche.
En effet, les menaces qui ont été proférées soulignent le caractère d’insécurité qui justifie de la part des personnels de faire appel à leur droit de retrait.
Devant ce qu’elle considère comme des attitudes intolérables portant atteinte aux principes fondateurs de l’école de la République, l’Inspectrice d’académie informe qu’elle dépose une plainte contre X.