Nous, syndicats FDSEA et JA de Corse du Sud et Chambre d’Agriculture de Corse du Sud, dressons le même constat que nos homologues de la Haute Corse et partageons en tout point leurs conclusions : Le bilan des contrôles des déclarations de surfaces 2017 est alarmant.
On observe un zèle sans commune mesure des agents de l’Etat qui condamnent sans appel nos élevages pastoraux de montagne à une disparition programmée. Rappelons une nouvelle fois que l’exploitation de nos surfaces pastorales (maquis et pré-bois) par nos cheptels rustiques constitue le fondement de notre système d’élevage et confère la typicité, la qualité et la renommée à nos produits agricoles.
Jamais, nous ne céderons à la volonté hégémonique de l’Europe avec la complicité bienveillante de la France, d’imposer sa vision unilatérale des espaces fourragers et de nous faire renoncer à nos pratiques agro-sylvo-pastorales.
Jamais, nous n’accepterons qu’un seul Droit à Paiement de Base (DPB) puisse être perdu par un agriculteur corse au nom de l’uniformité et revendiquons fièrement nos spécificités pastorales.
Nous demandons à tous les exploitants de rester mobilisés et d’être vigilants sur les rapports d’expertise transmis par les services de l’Etat après contrôle.
On observe un zèle sans commune mesure des agents de l’Etat qui condamnent sans appel nos élevages pastoraux de montagne à une disparition programmée. Rappelons une nouvelle fois que l’exploitation de nos surfaces pastorales (maquis et pré-bois) par nos cheptels rustiques constitue le fondement de notre système d’élevage et confère la typicité, la qualité et la renommée à nos produits agricoles.
Jamais, nous ne céderons à la volonté hégémonique de l’Europe avec la complicité bienveillante de la France, d’imposer sa vision unilatérale des espaces fourragers et de nous faire renoncer à nos pratiques agro-sylvo-pastorales.
Jamais, nous n’accepterons qu’un seul Droit à Paiement de Base (DPB) puisse être perdu par un agriculteur corse au nom de l’uniformité et revendiquons fièrement nos spécificités pastorales.
Nous demandons à tous les exploitants de rester mobilisés et d’être vigilants sur les rapports d’expertise transmis par les services de l’Etat après contrôle.