Le communiqué
(Photo d'illustration)
En réponse au communiqué du 5 décembre 2022 et l’occupation des locaux Ajacciens de la MSA le 2 décembre 2022 par A Mossa Paisana, une réunion s’est tenue en présence du DRAAF, du Centre de Gestion, du président de l’Odarc, du député J.-F. Acquaviva et de la MSA.
Via Campagnola étant le seul syndicat à avoir répondu présent à notre appel représentaient les agriculteurs avec A Mossa Paisana.
Étaient absent sans surprise malgré plusieurs sollicitations de notre part ainsi que celles de l’Odarc les élus des chambres d’Agriculture départementales et régionale ainsi que les autres syndicats Agricoles : FDSEA 2A et 2B, CDJA 2A et 2B, JA Hè Ora (Caria Cyril). Peut-être avaient-ils mieux à faire et certainement trop occupés dans leurs différentes activités expliquant ce mutisme ?
Nous avons mis sur la table tout ce qui, à nos yeux, entraîne vers le fond tout espoir de retour d’une agriculture nourricière et rémunératrice : Une PAC non adaptée, une DSP qui détaxe tout, sauf l’alimentation animale dont les prix n’en finissent plus d’exploser, le manque de débouchés commerciaux, la dette MSA, etc.
Au final nos interlocuteurs « experts » n’ont avancé aucun début de solution. À quoi bon un tel millefeuille institutionnel et administratif pour un tel aveu d’impuissance ?
Le seul constat à en tirer aujourd’hui c’est que tous ceux qui gravitent autour de l’agriculture, DDTM, DRAAF, Chambres d’Agriculture et autres, vivent bien la. situation, avec salaires confortables et congés payés, tout en laissant seuls crever dans l’indifférence générale les paysans !
Ce constat étant fait notre syndicat a demandé une audience au Conseil d’Administration de la MSA afin de sortir de cette impasse.
Une chose est certaine c’est qu’A Mossa Paisana ne lâchera rien et fera tout ce qui est en son pouvoir afin d’amorcer un retour à une agriculture nourricière et rémunératrice et toujours dans un souci d’intérêt général et commun, pour tirer vers le haut cette « profession emblème » de notre ile
Via Campagnola étant le seul syndicat à avoir répondu présent à notre appel représentaient les agriculteurs avec A Mossa Paisana.
Étaient absent sans surprise malgré plusieurs sollicitations de notre part ainsi que celles de l’Odarc les élus des chambres d’Agriculture départementales et régionale ainsi que les autres syndicats Agricoles : FDSEA 2A et 2B, CDJA 2A et 2B, JA Hè Ora (Caria Cyril). Peut-être avaient-ils mieux à faire et certainement trop occupés dans leurs différentes activités expliquant ce mutisme ?
Nous avons mis sur la table tout ce qui, à nos yeux, entraîne vers le fond tout espoir de retour d’une agriculture nourricière et rémunératrice : Une PAC non adaptée, une DSP qui détaxe tout, sauf l’alimentation animale dont les prix n’en finissent plus d’exploser, le manque de débouchés commerciaux, la dette MSA, etc.
Au final nos interlocuteurs « experts » n’ont avancé aucun début de solution. À quoi bon un tel millefeuille institutionnel et administratif pour un tel aveu d’impuissance ?
Le seul constat à en tirer aujourd’hui c’est que tous ceux qui gravitent autour de l’agriculture, DDTM, DRAAF, Chambres d’Agriculture et autres, vivent bien la. situation, avec salaires confortables et congés payés, tout en laissant seuls crever dans l’indifférence générale les paysans !
Ce constat étant fait notre syndicat a demandé une audience au Conseil d’Administration de la MSA afin de sortir de cette impasse.
Une chose est certaine c’est qu’A Mossa Paisana ne lâchera rien et fera tout ce qui est en son pouvoir afin d’amorcer un retour à une agriculture nourricière et rémunératrice et toujours dans un souci d’intérêt général et commun, pour tirer vers le haut cette « profession emblème » de notre ile