Nous n'allons pas vous parler ni de l'équipe que va aligner l'entraîneur bastiais. Et pas davantage du schéma tactique qu'il mettra sur pied pour tenter de faire mordre la belle pelouse de Furiani au vieux HAC.
Parce que pour Grimaldi et ses partenaires il s'agira de vaincre. De gagner pour se remettre sur les bons rails du maintien.
Bien sûr la situation sportive du club s'est singulièrement détériorée au classement mais rien n'est encore joué : n'y a t-il pas encore 26 rencontres à disputer.
Tout est donc encore possible. Sur le terrain. Et en dehors du terrain.
Sur la pelouse les footballeurs du CAB n'ont pas besoin qu'on leur fasse un grand dessin pour comprendre ce qu'ils doivent faire pour essayer de retirer l'épingle du pied qui empêche le club, qui leur a fait confiance, d'avancer.
Restent les tribunes.
C'est là où bât blesse. Pourtant, c'est là que doit se jouer l'autre match. Celui qui doit permettre au CAB de poursuivre l'expérience de la Ligue 2, entamée avec l'enthousiasme que l'on sait dans le sillage de la belle aventure de l'accession…
Ils étaient nombreux hier ceux qui, volant au secours de la victoire, avaient rallié le panache "noir" du CAB.
Aujourd'hui le succès est devenu une denrée vraiment rare dans le camp cabiste. Du coup Antoine Emmanuelli et ses collaborateurs se sentent non pas abandonnés, mais un peu plus seuls.
Ils n'auraient jamais du l'être.
Aussi on espère qu'à la faveur de la venue du doyen des clubs français, Armand-Cesari retrouvera les beaux accents d'Erbajolo.
Le CAB en a tellement besoin…
Parce que pour Grimaldi et ses partenaires il s'agira de vaincre. De gagner pour se remettre sur les bons rails du maintien.
Bien sûr la situation sportive du club s'est singulièrement détériorée au classement mais rien n'est encore joué : n'y a t-il pas encore 26 rencontres à disputer.
Tout est donc encore possible. Sur le terrain. Et en dehors du terrain.
Sur la pelouse les footballeurs du CAB n'ont pas besoin qu'on leur fasse un grand dessin pour comprendre ce qu'ils doivent faire pour essayer de retirer l'épingle du pied qui empêche le club, qui leur a fait confiance, d'avancer.
Restent les tribunes.
C'est là où bât blesse. Pourtant, c'est là que doit se jouer l'autre match. Celui qui doit permettre au CAB de poursuivre l'expérience de la Ligue 2, entamée avec l'enthousiasme que l'on sait dans le sillage de la belle aventure de l'accession…
Ils étaient nombreux hier ceux qui, volant au secours de la victoire, avaient rallié le panache "noir" du CAB.
Aujourd'hui le succès est devenu une denrée vraiment rare dans le camp cabiste. Du coup Antoine Emmanuelli et ses collaborateurs se sentent non pas abandonnés, mais un peu plus seuls.
Ils n'auraient jamais du l'être.
Aussi on espère qu'à la faveur de la venue du doyen des clubs français, Armand-Cesari retrouvera les beaux accents d'Erbajolo.
Le CAB en a tellement besoin…
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