Il y avait quatre-vingt danseurs sur scène ce mercredi soir au Théâtre de Bastia.
Quatre-vingt jeunes, et très jeunes artistes qui ont travaillé d’arrache-pied depuis deux mois pour présenter au public ce spectacle de danse. Avec du contemporain, du classique et du jazz les danseurs ont animé la scène pendant prés de deux heures sur les chorégraphies de leurs enseignantes.
Le spectacle a démarré sur "Clair Obscur" de Saveria Tomasi, enseignante de danse contemporaine au Conservatoire, qui a pensé pour ses élèves, petits et grands, une pièce intime et puissante sur le complexité de la vision des choses.
Plongés dans le clair-obscur du théâtre, accompagnés par les percussions de Jean-Michel Giannelli les danseurs ont proposé au public une performance poétique questionnant nos sensations quant à la complexité des choses et de leur contraire.
En mêlant une gestuelle imprégnée de force et le rythme de la musique jouée sur scène, le spectacle, à travers le corps des jeunes artistes, a évoqué des fragments d’émotions et de vie.
Quatre-vingt jeunes, et très jeunes artistes qui ont travaillé d’arrache-pied depuis deux mois pour présenter au public ce spectacle de danse. Avec du contemporain, du classique et du jazz les danseurs ont animé la scène pendant prés de deux heures sur les chorégraphies de leurs enseignantes.
Le spectacle a démarré sur "Clair Obscur" de Saveria Tomasi, enseignante de danse contemporaine au Conservatoire, qui a pensé pour ses élèves, petits et grands, une pièce intime et puissante sur le complexité de la vision des choses.
Plongés dans le clair-obscur du théâtre, accompagnés par les percussions de Jean-Michel Giannelli les danseurs ont proposé au public une performance poétique questionnant nos sensations quant à la complexité des choses et de leur contraire.
En mêlant une gestuelle imprégnée de force et le rythme de la musique jouée sur scène, le spectacle, à travers le corps des jeunes artistes, a évoqué des fragments d’émotions et de vie.
Les élves de Saveria Tomasi
Les Queen étaient à l’honneur dans la deuxième partie de la soirée.
Les enseignantes de danse classique Stéphanie Venturi et de jazz Delphine Nafteux ont choisi le célèbre groupe britannique comme bande sonore pour "Versus", spectacle qui a vu en scène les soixante élève de leurs cours.
Inspiré par Ballet for life de Béjart, Versus a joué avec les oppositions mêlant musique rock et classique. De Barbara aux Queen en passant par Brel et Mozart le public a applaudi l'alternance des genre: un joli contraste qui fonctionne bien tout comme l'alternance entre la danse classique et le jazz.
Versus a vraiment été un bel hommage aux Queen dont les chansons seront somptueusement accordées aux chorographies dansées avec passion.
La soirée s'est clôturée sur les notes de The show must go on, une invitation à poursuivre le chemin, parfois difficile mais riche de satisfaction, des danseurs.
Les enseignantes de danse classique Stéphanie Venturi et de jazz Delphine Nafteux ont choisi le célèbre groupe britannique comme bande sonore pour "Versus", spectacle qui a vu en scène les soixante élève de leurs cours.
Inspiré par Ballet for life de Béjart, Versus a joué avec les oppositions mêlant musique rock et classique. De Barbara aux Queen en passant par Brel et Mozart le public a applaudi l'alternance des genre: un joli contraste qui fonctionne bien tout comme l'alternance entre la danse classique et le jazz.
Versus a vraiment été un bel hommage aux Queen dont les chansons seront somptueusement accordées aux chorographies dansées avec passion.
La soirée s'est clôturée sur les notes de The show must go on, une invitation à poursuivre le chemin, parfois difficile mais riche de satisfaction, des danseurs.