Le stade de Volpagiu porte désormais le nom de Victor Serafini. Autour de Janine Serafini et de leurs enfants, la grande famille du rugby bastiais et les représentants des institutions ont rendu hommage à celui qui fut à la fois médecin, sportif et homme de culture.
Ce mercredi, la Communauté d’agglomération de Bastia, le Conseil exécutif de Corse et la municipalité ont inscrit à jamais le nom de Victor Serafini dans l’histoire de la ville et du sport insulaire.
À l’occasion d’une cérémonie empreinte d’émotion, le stade de rugby de Volpagiu a été officiellement baptisé “stadiu Victor Serafini”, en hommage à celui qui fut à la fois médecin, sportif, président de club et infatigable serviteur de la cité.
Louis Pozzo di Borgo, président de la CAB, Juliette Ponzevera pour le Conseil exécutif, et Pierre Savelli, maire de Bastia, ont rappelé combien, tout au long de sa vie, Victor Serafini s’était engagé sans compter pour Bastia et pour ceux qui la font vivre. Puis Michel Guillaumin, un de ses partenaires au long cours, et Janine Serafini ont dévoilé la plaque commémorative.
Autour d’eux, la grande famille du rugby bastiais, avait tenu à être présente. Ses trois enfants, unis autour de Janine, son épouse, partageaient ce moment de souvenir et de fierté. François, l’un des fils, a rappelé avec émotion le parcours de leur père, son exigence bienveillante et cette force tranquille qui le poussait à toujours rassembler autour de ses passions.
Médecin et pionnier de la cardiologie à Bastia
Premier cardiologue installé à Bastia, Victor Serafini fut praticien attaché au centre hospitalier de la ville de 1977 à 1991. Il laissa le souvenir d’un médecin attentif, rigoureux, profondément humain, connu de tous sous le surnom respectueux de "u duttore".
À l’occasion d’une cérémonie empreinte d’émotion, le stade de rugby de Volpagiu a été officiellement baptisé “stadiu Victor Serafini”, en hommage à celui qui fut à la fois médecin, sportif, président de club et infatigable serviteur de la cité.
Louis Pozzo di Borgo, président de la CAB, Juliette Ponzevera pour le Conseil exécutif, et Pierre Savelli, maire de Bastia, ont rappelé combien, tout au long de sa vie, Victor Serafini s’était engagé sans compter pour Bastia et pour ceux qui la font vivre. Puis Michel Guillaumin, un de ses partenaires au long cours, et Janine Serafini ont dévoilé la plaque commémorative.
Autour d’eux, la grande famille du rugby bastiais, avait tenu à être présente. Ses trois enfants, unis autour de Janine, son épouse, partageaient ce moment de souvenir et de fierté. François, l’un des fils, a rappelé avec émotion le parcours de leur père, son exigence bienveillante et cette force tranquille qui le poussait à toujours rassembler autour de ses passions.
Médecin et pionnier de la cardiologie à Bastia
Premier cardiologue installé à Bastia, Victor Serafini fut praticien attaché au centre hospitalier de la ville de 1977 à 1991. Il laissa le souvenir d’un médecin attentif, rigoureux, profondément humain, connu de tous sous le surnom respectueux de "u duttore".
Figure majeure du rugby insulaire
C’est aussi sur les terrains qu’il fit battre le cœur du rugby corse. Co-fondateur du Rugby Club Bastiais en 1962, aux côtés de François Medori, il fut joueur, président, éducateur et véritable pilier de la discipline sur l’île. Dans la mémoire des anciens, son mot d’ordre reste célèbre : “Corta ma sigura !” - courte, mais sûre - comme une devise de jeu et de vie.
L’homme de culture et de transmission
Aux côtés de Janine Serafini, ancienne conservatrice du musée de Bastia, il présida la Société des sciences historiques et naturelles de Bastia. Ensemble, ils œuvrèrent pour faire rayonner le patrimoine, la mémoire et la culture scientifique bastiaise.
Couple d’engagement et de savoir, ils ont durablement marqué la vie culturelle de la cité.
C’est aussi sur les terrains qu’il fit battre le cœur du rugby corse. Co-fondateur du Rugby Club Bastiais en 1962, aux côtés de François Medori, il fut joueur, président, éducateur et véritable pilier de la discipline sur l’île. Dans la mémoire des anciens, son mot d’ordre reste célèbre : “Corta ma sigura !” - courte, mais sûre - comme une devise de jeu et de vie.
L’homme de culture et de transmission
Aux côtés de Janine Serafini, ancienne conservatrice du musée de Bastia, il présida la Société des sciences historiques et naturelles de Bastia. Ensemble, ils œuvrèrent pour faire rayonner le patrimoine, la mémoire et la culture scientifique bastiaise.
Couple d’engagement et de savoir, ils ont durablement marqué la vie culturelle de la cité.
Un héritage désormais gravé dans la pierre
En donnant aujourd’hui son nom au stade de Volpagiu, Bastia et la Corse reconnaissent l’empreinte laissée par Victor Serafini, celle d’un homme de passion, de conviction et de fidélité à sa ville.
Une reconnaissance partagée par les siens, par ses amis, et par tous ceux qui continuent à faire vivre les valeurs qu’il a incarnées.
En donnant aujourd’hui son nom au stade de Volpagiu, Bastia et la Corse reconnaissent l’empreinte laissée par Victor Serafini, celle d’un homme de passion, de conviction et de fidélité à sa ville.
Une reconnaissance partagée par les siens, par ses amis, et par tous ceux qui continuent à faire vivre les valeurs qu’il a incarnées.
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