La manifestation de ce 12 mai à Bastia
« Pour Almaviva il existe deux projets actuellement en discussion. L'un est celui du maintien sur site du service maternité, avec le besoin d’accueillir un nouveau pédiatre. L'autre est celui d’un regroupement des deux maternités sur le centre hospitalier de Bastia ce dont ni les personnels ni la population ne veulent. Les discussions et les négociations au niveau purement médical ne seraient qu’au commencement avec l’ARS aux dires de Monsieur Reig et le volet social non encore entamé » - explique Sandra Pieroni au marge de la réunion entre la CGT et la direction d'Almaviva Santé concernant le futur de la maternité de la clinique Maymard de Bastia.
Dans ce dossier, la CGT et les personnes qui ont manifesté une dernière fois ce mercredi 12 mai, exigent que seul le projet de maintien de la maternité sur site soit étudié et validé. «Nous avons rappelé l’importance du libre choix de la population. La CGT a insisté sur le besoin de l’offre de soin, ainsi que les répercutions politiques et économique négatives engendrées par la suppression de la maternité par un tel conflit ainsi que sur l'image de notre établissement et le risque pour nos emplois. ».
L'ARS fait la sourde oreille
"Nous avons exigé de connaître et de participer à toutes les phases de négociations et que les personnels soient au cœur des discussions. A ce jour l’ARS fait toujours la sourde oreille en ne donnant pas suite aux demandes d’audience de la CGT. Cette position insupportable et scandaleuse montre l'entêtement politique du gouvernement à vouloir faire des économies sur la Santé y compris pendant cette crise sanitaire. Mr Reig s’est engagé à être à notre écoute, et a déclaré officiellement qu’il souhaitait un maintien sur site. Pour autant nous ne sommes pas dupes. Si le Directeur d'Almaviva tient aujourd'hui ce discours rassurant c'est grâce à notre mobilisation et aux 20 000 signatures recueillies en quelques jours ».
Des menaces de sanctions envers le personnel ?
La CGT dénonce aussi les menaces de sanctions envers le personnel qui s’est mobilisé pour défendre ses droits et l'intérêt général «pour une population fortement attachée à notre maternité ». Selon la CGT, le directeur de l’établissement a certifié qu'aucune sanction ne serait effectuée et que le personnel de la maternité serait également reçu mercredi prochain. « Notre mobilisation a contraint la Direction d'Almaviva à sortir du bois. Dorénavant les petites manœuvres secrètes de désinformation et de division entre les différentes catégories du personnel c'est terminé. Pour la CGT le combat continuera jusqu'à ce qu'une décision définitive du maintien de notre maternité soit actée » conclut Sandra Pieroni.
Dans ce dossier, la CGT et les personnes qui ont manifesté une dernière fois ce mercredi 12 mai, exigent que seul le projet de maintien de la maternité sur site soit étudié et validé. «Nous avons rappelé l’importance du libre choix de la population. La CGT a insisté sur le besoin de l’offre de soin, ainsi que les répercutions politiques et économique négatives engendrées par la suppression de la maternité par un tel conflit ainsi que sur l'image de notre établissement et le risque pour nos emplois. ».
L'ARS fait la sourde oreille
"Nous avons exigé de connaître et de participer à toutes les phases de négociations et que les personnels soient au cœur des discussions. A ce jour l’ARS fait toujours la sourde oreille en ne donnant pas suite aux demandes d’audience de la CGT. Cette position insupportable et scandaleuse montre l'entêtement politique du gouvernement à vouloir faire des économies sur la Santé y compris pendant cette crise sanitaire. Mr Reig s’est engagé à être à notre écoute, et a déclaré officiellement qu’il souhaitait un maintien sur site. Pour autant nous ne sommes pas dupes. Si le Directeur d'Almaviva tient aujourd'hui ce discours rassurant c'est grâce à notre mobilisation et aux 20 000 signatures recueillies en quelques jours ».
Des menaces de sanctions envers le personnel ?
La CGT dénonce aussi les menaces de sanctions envers le personnel qui s’est mobilisé pour défendre ses droits et l'intérêt général «pour une population fortement attachée à notre maternité ». Selon la CGT, le directeur de l’établissement a certifié qu'aucune sanction ne serait effectuée et que le personnel de la maternité serait également reçu mercredi prochain. « Notre mobilisation a contraint la Direction d'Almaviva à sortir du bois. Dorénavant les petites manœuvres secrètes de désinformation et de division entre les différentes catégories du personnel c'est terminé. Pour la CGT le combat continuera jusqu'à ce qu'une décision définitive du maintien de notre maternité soit actée » conclut Sandra Pieroni.
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