Les électrices et les électeurs du 3ème canton de Bastia ont massivement refusé d’aller aux urnes ce dimanche 2 octobre. Par rapport au précédent scrutin ils sont plus nombreux à s’abstenir.
Dans un contexte particulier ou la souffrance des ménages populaires a été ignorée, notre message a été écrasé par les querelles de personnes à l’œuvre depuis les élections municipales.
L’intérêt de ce scrutin a également été galvaudé par la courte durée du mandat et la dissolution du département soutenue par les autres candidats.
De même, à par nous, aucun candidat n’a pris clairement position contre la politique d’austérité du gouvernement Valls Hollande.
La droite engagée sous la bannière de la majorité municipale conduite par la première adjointe socialiste et le conseiller sortant nationaliste ne peut se prévaloir d’aucun résultat probant.
Avec le soutien de Corsica Libéra la majorité municipale enregistre une triple sanction s’agissant de la politique locale, régionale et gouvernementale.
L’extrême droite est en recul, nous nous en félicitons.
105 électrices et électeurs nous ont fait confiance malgré tout. Nous les remercions vivement. Leur choix conforte un engagement reconnu au-delà par de nombreuses personnes que nous avons rencontrées durant la campagne mais qui ont été sensibles au vote utile.
Notre engagement clair et cohérent demeure pour la défense et la promotion des intérêts populaires.
Au second tour la sanction de la majorité municipale et régionale peut être amplifiée par la victoire du binôme du PRG Martelli Piacentini.
Aucune voix de gauche ne doit manquer dimanche prochain pour imposer les valeurs républicaines, les valeurs de la gauche que le PS piétine.
C’est le sens de l’appel que nous lançons ce soir aux progressistes, aux républicains, aux femmes et aux hommes de gauche.
Dans un contexte particulier ou la souffrance des ménages populaires a été ignorée, notre message a été écrasé par les querelles de personnes à l’œuvre depuis les élections municipales.
L’intérêt de ce scrutin a également été galvaudé par la courte durée du mandat et la dissolution du département soutenue par les autres candidats.
De même, à par nous, aucun candidat n’a pris clairement position contre la politique d’austérité du gouvernement Valls Hollande.
La droite engagée sous la bannière de la majorité municipale conduite par la première adjointe socialiste et le conseiller sortant nationaliste ne peut se prévaloir d’aucun résultat probant.
Avec le soutien de Corsica Libéra la majorité municipale enregistre une triple sanction s’agissant de la politique locale, régionale et gouvernementale.
L’extrême droite est en recul, nous nous en félicitons.
105 électrices et électeurs nous ont fait confiance malgré tout. Nous les remercions vivement. Leur choix conforte un engagement reconnu au-delà par de nombreuses personnes que nous avons rencontrées durant la campagne mais qui ont été sensibles au vote utile.
Notre engagement clair et cohérent demeure pour la défense et la promotion des intérêts populaires.
Au second tour la sanction de la majorité municipale et régionale peut être amplifiée par la victoire du binôme du PRG Martelli Piacentini.
Aucune voix de gauche ne doit manquer dimanche prochain pour imposer les valeurs républicaines, les valeurs de la gauche que le PS piétine.
C’est le sens de l’appel que nous lançons ce soir aux progressistes, aux républicains, aux femmes et aux hommes de gauche.