Le rassemblement de Bastia
Ils n’étaient que quelques dizaines mais se sont faits entendre avec banderoles à l’appui : « Il est impératif que le gouvernement annule cette hausse de la CSG pour tous. Il doit également mettre fin au gel des pensions et les revaloriser » disent-ils.
Au travers des huit organisations syndicales de retraités, de plus en plus de personnes retraitées expriment leur colère concernant le gel des pensions, la création ou augmentation de taxes, la suppression de dispositions fiscales spécifiques. La mobilisation massive doit inciter le gouvernement à effectuer un geste. Exonérer les retraités de l’augmentation de la CSG.
« Le gouvernement accentue ses réformes, ses attaques contre certaines catégories sociales. En multipliant les cadeaux fiscaux et sociaux aux plus riches, il maintient la dette. Ce qui servira de prétexte à une nouvelle politique d’austérité à l’égard du plus grand nombre, à une réduction supplémentaire des crédits alloués aux dépenses sociales, à la solidarité et au financement des services publics. Depuis son installation, Macron méprise les retraités. L’ensemble de ses réformes laisse penser qu’il nous considère comme des « riches » et des « nantis.»
Au travers des huit organisations syndicales de retraités, de plus en plus de personnes retraitées expriment leur colère concernant le gel des pensions, la création ou augmentation de taxes, la suppression de dispositions fiscales spécifiques. La mobilisation massive doit inciter le gouvernement à effectuer un geste. Exonérer les retraités de l’augmentation de la CSG.
« Le gouvernement accentue ses réformes, ses attaques contre certaines catégories sociales. En multipliant les cadeaux fiscaux et sociaux aux plus riches, il maintient la dette. Ce qui servira de prétexte à une nouvelle politique d’austérité à l’égard du plus grand nombre, à une réduction supplémentaire des crédits alloués aux dépenses sociales, à la solidarité et au financement des services publics. Depuis son installation, Macron méprise les retraités. L’ensemble de ses réformes laisse penser qu’il nous considère comme des « riches » et des « nantis.»
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