Laurent Marcangeli (Photo Michel Luccioni)
"Il faut qu'on parle aujourd'hui d'une majorité pour faire en sorte d'accéder à un réseau social, une majorité numérique", a expliqué le député de Corse-du-Sud sur le plateau de France2.
"On ne peut pas accéder à certaines choses lorsqu'on n'est pas suffisamment mature", a-t-il précisé, citant le droit de vote à 18 ans et le permis de conduire à partir de 16 ans, en conduite accompagnée. "Pour accéder à un réseau social je crois aujourd'hui qu'il faut un degré de maturité que beaucoup de gens n'ont pas", a-t-il insisté.
Laurent Marcangeli a jugé "trop simple" aujourd'hui pour un enfant d'accéder à un réseau social. "Si on veut être libéral, à un moment il faut fixer une limite", a t-il ajouté en annonçant qu'il défendrait cette proposition de loi "personnellement", avec l'espoir que son groupe le "soutiendra".
Le député a également défendu la levée de l'anonymat. "Il va falloir qu'on fasse en sorte que, sur internet et notamment sur les réseaux sociaux, cet anonymat, il soit mis à mal, et que donc on soit obligé, à un moment donné, de donner son identité", a-t-il expliqué.
Selon lui, "on peut faire des tas de choses aujourd'hui avec tout simplement la possibilité de scanner un papier d'identité, il y a des logiciels qui sont en capacité de le faire".
"On ne peut pas accéder à certaines choses lorsqu'on n'est pas suffisamment mature", a-t-il précisé, citant le droit de vote à 18 ans et le permis de conduire à partir de 16 ans, en conduite accompagnée. "Pour accéder à un réseau social je crois aujourd'hui qu'il faut un degré de maturité que beaucoup de gens n'ont pas", a-t-il insisté.
Laurent Marcangeli a jugé "trop simple" aujourd'hui pour un enfant d'accéder à un réseau social. "Si on veut être libéral, à un moment il faut fixer une limite", a t-il ajouté en annonçant qu'il défendrait cette proposition de loi "personnellement", avec l'espoir que son groupe le "soutiendra".
Le député a également défendu la levée de l'anonymat. "Il va falloir qu'on fasse en sorte que, sur internet et notamment sur les réseaux sociaux, cet anonymat, il soit mis à mal, et que donc on soit obligé, à un moment donné, de donner son identité", a-t-il expliqué.
Selon lui, "on peut faire des tas de choses aujourd'hui avec tout simplement la possibilité de scanner un papier d'identité, il y a des logiciels qui sont en capacité de le faire".