Dans le cadre de l'enquête pour "assassinat" confiée par la procureure de la République de Bastia, Caroline Tharot, aux Gendarmes de la Brigade de Recherche de Bastia et de Corte, les investigations se poursuivent à grands pas en Balagne
L'identité de la victime n'étant plus un secret pour personne, les enquêteurs se sont intéressés aux proches de celle-ci : Antoine Francisci, 21 ans, originaire de Santa Reparata di Balagna et domicilié à l'Ile-Rousse.
Faute de documents d'identité sur lui, les gendarmes ont du procéder à certaines vérifications avant de s'assurer que c'était bien Antoine Francisci qui était la victime.
Une identification rendue encore plus difficile que son casier judiciaire était vierge, à l'exception de quelques délits routiers.
Son nom s'est rapidement répandu à Santa Reparata, village dont il est originaire mais aussi dans le bassin de vie de l'Ile-Rousse où Antoine était perçu comme un garçon enjoué, de bonne éducation, toujours souriant et faisant preuve de beaucoup de gentillesse.
La stupeur a gagné tous ses proches mais aussi les Balanins horrifiés par ce nouveau drame et qui voit encore un de ses enfants s'en aller à l'aube de sa vie.
Il était le fils du regretté André Francisci qui s'est tué le 10 décembre 2011, suite à un malaise alors qu'il pilotait une Ford, dans la spéciale du Fango-Notre-Dame de la Serra, comptant pour le Rallye automobile de Balagne.
Une épreuve qu'Antoine Francisci a disputé en 2018 au volant d'une 206 GT - F2000.
Sur les circonstance de cet accident, procureure et enquêteurs restent très discrets, ce qui laisse parfois libre court aux rumeurs les plus folles qui ne manquent pas d'inquiéter et qui surtout pose la question de savoir à quoi servent-elles.
Ce que l'on sait pratiquement avec certitude à ce jour, c'est que dans un premier temps, à la suite de l'alerte donnée par une personne qui passait par cette route peu fréquentée depuis la réalisation di A Balanina au début des années 2000, les secours sont intervenus pour un accident de la route.
A leur arrivée, les pompiers ont constaté que le corps était déjà dans un état cadavérique et les gendarmes de Corte qui ont pris le relais ont rapidement constaté qu'ils avaient à faire à un assassinat.
Informée, la Procureure de la République, Caroline Tharot ouvrait une information pour assassinat et confiait l'enquête aux gendarmes de la BR de Bastia et de Corte, avant de se rendre elle-même sur place.
Le médecin qui a constaté le décès n'a pas indiqué à quelle heure la mort remontait, laissant le soin au médecin légiste de le faire.
Ce dernier, attendu continent, devrait pratiquer cette autopsie ce mercredi 15 mai ou le lendemain vendredi 16 mai.
Dès lors, on en saura plus sur l'heure du décès mais aussi sur l'arme utilisée, vraisemblablement un fusil de chasse.
La question qui revient le plus souvent aujourd'hui c'est ; qu'est-ce qui a pu pousser le ou les meurtriers à s'en prendre à ce jeune homme, au point de vouloir lui ôter la vie, laissant une mère, commerçante à l'Ile-Rousse dans le plus profond désarroi.
On l'a dit, Antoine Francisci n'avait pas de casier judiciaire et n'était pas connu comme en étant un petit voyou, bien au contraire. Comment se faisait-il qu'il était au volant d'un véhicule volé, sur une route aussi déserte que celle-ci, Pourquoi était-il visé, pourquoi lui?
Autant de questions pour lesquelles il va falloir apporter des réponses.
Les enquêteurs vont tenter de reconstituer l'emploi du temps, quelques heures, quelques jours avant sa mort, interroger son entourage proche pour tenter de comprendre qui lui en voulait au point de commettre l'irréparable
L'identité de la victime n'étant plus un secret pour personne, les enquêteurs se sont intéressés aux proches de celle-ci : Antoine Francisci, 21 ans, originaire de Santa Reparata di Balagna et domicilié à l'Ile-Rousse.
Faute de documents d'identité sur lui, les gendarmes ont du procéder à certaines vérifications avant de s'assurer que c'était bien Antoine Francisci qui était la victime.
Une identification rendue encore plus difficile que son casier judiciaire était vierge, à l'exception de quelques délits routiers.
Son nom s'est rapidement répandu à Santa Reparata, village dont il est originaire mais aussi dans le bassin de vie de l'Ile-Rousse où Antoine était perçu comme un garçon enjoué, de bonne éducation, toujours souriant et faisant preuve de beaucoup de gentillesse.
La stupeur a gagné tous ses proches mais aussi les Balanins horrifiés par ce nouveau drame et qui voit encore un de ses enfants s'en aller à l'aube de sa vie.
Il était le fils du regretté André Francisci qui s'est tué le 10 décembre 2011, suite à un malaise alors qu'il pilotait une Ford, dans la spéciale du Fango-Notre-Dame de la Serra, comptant pour le Rallye automobile de Balagne.
Une épreuve qu'Antoine Francisci a disputé en 2018 au volant d'une 206 GT - F2000.
Sur les circonstance de cet accident, procureure et enquêteurs restent très discrets, ce qui laisse parfois libre court aux rumeurs les plus folles qui ne manquent pas d'inquiéter et qui surtout pose la question de savoir à quoi servent-elles.
Ce que l'on sait pratiquement avec certitude à ce jour, c'est que dans un premier temps, à la suite de l'alerte donnée par une personne qui passait par cette route peu fréquentée depuis la réalisation di A Balanina au début des années 2000, les secours sont intervenus pour un accident de la route.
A leur arrivée, les pompiers ont constaté que le corps était déjà dans un état cadavérique et les gendarmes de Corte qui ont pris le relais ont rapidement constaté qu'ils avaient à faire à un assassinat.
Informée, la Procureure de la République, Caroline Tharot ouvrait une information pour assassinat et confiait l'enquête aux gendarmes de la BR de Bastia et de Corte, avant de se rendre elle-même sur place.
Le médecin qui a constaté le décès n'a pas indiqué à quelle heure la mort remontait, laissant le soin au médecin légiste de le faire.
Ce dernier, attendu continent, devrait pratiquer cette autopsie ce mercredi 15 mai ou le lendemain vendredi 16 mai.
Dès lors, on en saura plus sur l'heure du décès mais aussi sur l'arme utilisée, vraisemblablement un fusil de chasse.
La question qui revient le plus souvent aujourd'hui c'est ; qu'est-ce qui a pu pousser le ou les meurtriers à s'en prendre à ce jeune homme, au point de vouloir lui ôter la vie, laissant une mère, commerçante à l'Ile-Rousse dans le plus profond désarroi.
On l'a dit, Antoine Francisci n'avait pas de casier judiciaire et n'était pas connu comme en étant un petit voyou, bien au contraire. Comment se faisait-il qu'il était au volant d'un véhicule volé, sur une route aussi déserte que celle-ci, Pourquoi était-il visé, pourquoi lui?
Autant de questions pour lesquelles il va falloir apporter des réponses.
Les enquêteurs vont tenter de reconstituer l'emploi du temps, quelques heures, quelques jours avant sa mort, interroger son entourage proche pour tenter de comprendre qui lui en voulait au point de commettre l'irréparable
Photo MSVA