C'est devant le gymnase portant le nom de cet illustre résistant Corse que de nombreuses personnalités insulaires se sont réunis pour lui rendre en hommage.
En l'absence de Jacqueline Bozzi-Selles, hospitalisée à Nice, c'est son neveu et filleul Paul Bozzi qui a lu le discours d'hommage avec une admiration non retenue pour cet homme fusillé il y a maintenant 71 ans.
"Engagé volontaire à l'âge de 18ans, Michel Bozzi fut affecté dans le corps de l'infanterie légère des Zouaves où il fera carrière.[...] Après le débarquement du 8 novembre 1942 en Afrique du Nord, le Colonel Paul Colonna d'Istria, responsable à Alger des services spéciaux, lui propose de participer à la lutte pour la libération de la Corse".
C'est ainsi que Michel Bozzi rentre alors sur son île natale, et y laissera la vie, près des siens, après un combat qui était sur le point de voir la France redevenir Libre.
Il permettra néanmoins, après son débarquement avec le Casabianca d'être un maillon essentiel aux renseignements et à la transmission d'informations essentielles à la résistance et qui permit a la Corse d'être le 1er territoire Français à redevenir libre. En laissant sa place de retour au Commandant de Saule pour lui permettre de partir sur la mission Pearl Harbour, il reprend du service sur une autre mission qui luivaudra d'être arrêté par les Italiens, non sans avoir été "balancé" par les "collabos".
Il sera fusillé le 30 Août 1943, place Saint-Nicolas à Bastia.
A 33 ans, l'adjudant chef Bozzi laissait derrière lui une petite fille de 9 ans et toute une famille qui reste et restera émus et fière du sacrifice de cet homme pour la liberté.
En l'absence de Jacqueline Bozzi-Selles, hospitalisée à Nice, c'est son neveu et filleul Paul Bozzi qui a lu le discours d'hommage avec une admiration non retenue pour cet homme fusillé il y a maintenant 71 ans.
"Engagé volontaire à l'âge de 18ans, Michel Bozzi fut affecté dans le corps de l'infanterie légère des Zouaves où il fera carrière.[...] Après le débarquement du 8 novembre 1942 en Afrique du Nord, le Colonel Paul Colonna d'Istria, responsable à Alger des services spéciaux, lui propose de participer à la lutte pour la libération de la Corse".
C'est ainsi que Michel Bozzi rentre alors sur son île natale, et y laissera la vie, près des siens, après un combat qui était sur le point de voir la France redevenir Libre.
Il permettra néanmoins, après son débarquement avec le Casabianca d'être un maillon essentiel aux renseignements et à la transmission d'informations essentielles à la résistance et qui permit a la Corse d'être le 1er territoire Français à redevenir libre. En laissant sa place de retour au Commandant de Saule pour lui permettre de partir sur la mission Pearl Harbour, il reprend du service sur une autre mission qui luivaudra d'être arrêté par les Italiens, non sans avoir été "balancé" par les "collabos".
Il sera fusillé le 30 Août 1943, place Saint-Nicolas à Bastia.
A 33 ans, l'adjudant chef Bozzi laissait derrière lui une petite fille de 9 ans et toute une famille qui reste et restera émus et fière du sacrifice de cet homme pour la liberté.
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