En garde à vue depuis, il a été présenté au Parquet ce dimanche matin et au terme de son audition placé en détention provisoire jusqu'à sa comparution mardi devant le tribunal de grande instance de Bastia.
Les faits qui lui sont reprochés remontent à la fin de la semaine dernière : deux jeunes femmes, dont une mineure, avaient déposé plainte pour agressions sexuelles, commises dans le quartier de Toga au Nord de Bastia.
L'homme identifié par ses victimes avait été rapidement interpellé. Malgré les faits qui lui étaient reprochés, et contrairement à l'avis du Parquet qui avait préconisé sa mise en détention, le juge des libertés décidait de laisser l'homme en liberté.
Vendredi, l'auteur présumé de ces agressions s'était rendu au commissariat de la ville pour se plaindre, à son tour, du fait que sa photo "tournait" sur les réseaux sociaux où il était désigné comme coupable.
Mais une mauvaise surprise l'attendait au terme de sa visite à l'hôtel de Police.
En effet, entre le moment où "l'affaire" des attouchements a été rendue publique, son élargissement provisoire et sa visite au commissariat, deux nouvelles victimes, présumées, de l'homme se sont manifestées auprès des enquêteurs bastiais.
L'homme est repassé, du coup, par la case "mise en garde à vue".
Celle-ci s'est achevée ce dimanche par sa mise en détention provisoire jusqu'à sa comparution, mardi, devant le TGI de Bastia pour "agressions sexuelles et rébellion contre un dépositaire de l'autorité publique."
Les faits qui lui sont reprochés remontent à la fin de la semaine dernière : deux jeunes femmes, dont une mineure, avaient déposé plainte pour agressions sexuelles, commises dans le quartier de Toga au Nord de Bastia.
L'homme identifié par ses victimes avait été rapidement interpellé. Malgré les faits qui lui étaient reprochés, et contrairement à l'avis du Parquet qui avait préconisé sa mise en détention, le juge des libertés décidait de laisser l'homme en liberté.
Vendredi, l'auteur présumé de ces agressions s'était rendu au commissariat de la ville pour se plaindre, à son tour, du fait que sa photo "tournait" sur les réseaux sociaux où il était désigné comme coupable.
Mais une mauvaise surprise l'attendait au terme de sa visite à l'hôtel de Police.
En effet, entre le moment où "l'affaire" des attouchements a été rendue publique, son élargissement provisoire et sa visite au commissariat, deux nouvelles victimes, présumées, de l'homme se sont manifestées auprès des enquêteurs bastiais.
L'homme est repassé, du coup, par la case "mise en garde à vue".
Celle-ci s'est achevée ce dimanche par sa mise en détention provisoire jusqu'à sa comparution, mardi, devant le TGI de Bastia pour "agressions sexuelles et rébellion contre un dépositaire de l'autorité publique."
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