60% du tracé de l’édition 2017 a donc été modifié et de dix spéciales en 2016 et 2017, le programme global grimpe désormais à douze chronos, toujours répartis en trois jours de course pour un total de 333,16 km (contre 316,80 km l’an passé).
Après les vérifications le jeudi 5, on entrera dans le vif du sujet le vendredi 6 avec un départ cette année à Bastia. Au programme de cette 1ère étape, 2 spéciales à couvrir 2 fois chacune :
La Porta – Valle di Rostino (49,3 km) et Piedigriggio – Pont de Castirla (13,5km).
Samedi 7 avril, pour la 2ème étape, 3 spéciales à parcourir deux fois chacune, rendez-vous dans le Cap Corse entre Cagnano et Canari (35, 61 km), à Novella (17,39 km) et dans le Désert des Agriate (15,45 km), avec un parc de regroupement à L’Ile Rousse.
Dimanche, direction Ajaccio avec une dernière matinée au profil particulier qui comprendra la plus longue ES de l’épreuve, un morceau de bravoure de 55, 17 km entre Vero et Sarrola-Carcopino et la Power Stage du Pénitencier de Coti Chiavari (16,25km). C’est aussi dans la cité impériale qu’aura la cérémonie d’arrivée.
Ce « CORSICA linea – Tour de Corse » constituera la 4ème manche du championnat du monde WRC et verra le grand retour de Sébastien Loeb. Autant dire que le plateau sera prestigieux avec les Ogier, Neuville et Auriol, entre autres ! 250 personnes seront mobilisées pour la sécurité et 160 gendarmes.
Cette compétition est devenue un événement économique majeur pour la Corse, d’où l’engagement légitime de la CTU. Depuis de nombreuses années la Collectivité de Corse est le premier partenaire institutionnel de cette étape du championnat du monde. Pour le président de l’Exécutif, Gilles Simeoni « L’objectif poursuivi est que l’étape corse du championnat du monde se pérennise. Evénement sportif incontournable, le Tour constitue un formidable coup de projecteur sur la Corse en œuvrant à son développement sportif et économique et renforçant son attractivité sur le plan touristique ».
Quant au maire de Bastia, il n’était pas peu fier que Bastia soit la ville de départ de cette version 2018.
A l’issue de cette conférence presse, CNI a rencontré Dominique Serieys, directeur du Tour, Gilles Simeoni et Pierre Savelli.
Après les vérifications le jeudi 5, on entrera dans le vif du sujet le vendredi 6 avec un départ cette année à Bastia. Au programme de cette 1ère étape, 2 spéciales à couvrir 2 fois chacune :
La Porta – Valle di Rostino (49,3 km) et Piedigriggio – Pont de Castirla (13,5km).
Samedi 7 avril, pour la 2ème étape, 3 spéciales à parcourir deux fois chacune, rendez-vous dans le Cap Corse entre Cagnano et Canari (35, 61 km), à Novella (17,39 km) et dans le Désert des Agriate (15,45 km), avec un parc de regroupement à L’Ile Rousse.
Dimanche, direction Ajaccio avec une dernière matinée au profil particulier qui comprendra la plus longue ES de l’épreuve, un morceau de bravoure de 55, 17 km entre Vero et Sarrola-Carcopino et la Power Stage du Pénitencier de Coti Chiavari (16,25km). C’est aussi dans la cité impériale qu’aura la cérémonie d’arrivée.
Ce « CORSICA linea – Tour de Corse » constituera la 4ème manche du championnat du monde WRC et verra le grand retour de Sébastien Loeb. Autant dire que le plateau sera prestigieux avec les Ogier, Neuville et Auriol, entre autres ! 250 personnes seront mobilisées pour la sécurité et 160 gendarmes.
Cette compétition est devenue un événement économique majeur pour la Corse, d’où l’engagement légitime de la CTU. Depuis de nombreuses années la Collectivité de Corse est le premier partenaire institutionnel de cette étape du championnat du monde. Pour le président de l’Exécutif, Gilles Simeoni « L’objectif poursuivi est que l’étape corse du championnat du monde se pérennise. Evénement sportif incontournable, le Tour constitue un formidable coup de projecteur sur la Corse en œuvrant à son développement sportif et économique et renforçant son attractivité sur le plan touristique ».
Quant au maire de Bastia, il n’était pas peu fier que Bastia soit la ville de départ de cette version 2018.
A l’issue de cette conférence presse, CNI a rencontré Dominique Serieys, directeur du Tour, Gilles Simeoni et Pierre Savelli.