Envolés les espoirs d’accession et de play-offs, après la défaite à domicile face à Annecy (1-3), l’AC Ajaccio glisse désormais vers la seconde moitié du classement. 11e de Ligue 2, les hommes d’Olivier Pantaloni se voient contraient de revoir leurs objectifs à la baisse comme l’explique le coach rouge et blanc : « Après la défaite concédée face à Annecy, on voit que le championnat se resserre considérablement. Aujourd’hui, il va falloir qu’on lutte à nouveau pour éviter une catastrophe cette saison. On y va pour engranger des points et se prendre un peu plus de larges avec les équipes du bas de classement. Il ne faut pas s’affoler dans un premier temps. Ils sont conscients qu’ils sont passés au travers face à Annecy. Cela ne sert à rien d’enfoncer le clou et de leur taper dessus. Il faut refixer des objectifs et essayer de retrouver de la confiance, mais surtout du dynamisme et de l’énergie ».
« Une équipe émoussée sur le plan physique »
Méconnaissable, l’équipe ajaccienne a livré un de ses plus mauvais matchs de la saison face au 19e du championnat. Une équipe qui paraît atteinte aussi bien au plan physique qu’au plan mental reconnaît Olivier Pantaloni : « On a senti l’équipe émoussée face à Annecy. C’est au niveau mental qu’il a fallu revoir les choses, l’équipe travaille au quotidien. Cette équipe est émoussée, on l’a senti cette semaine avec beaucoup de joueurs qui sont restés aux soins. Cela a été une semaine très particulière pour préparer ce match face au Paris FC, mais peu à peu on espère récupérer beaucoup de joueurs. On a senti des joueurs pas en rythme et fatigués contre Annecy. Il faut se remettre les idées en place. Si on continue à glisser, on peut se faire peur. Il faut réussir à retrouver de bons résultats. Dans les têtes, cela cogite beaucoup, le travail du staff c’est de rassurer les joueurs, car une équipe qui n’est pas en confiance, voit son niveau baisser. On l’a vu en début de saison avec Lyon en Ligue 1. Nous sommes capables de bien faire, on l’a déjà prouvé cette saison. Il faut retrouver cette énergie et cette force mentale pour repartir de l’avant et aller chercher des résultats. La désillusion est présente. Le match d’Angers a laissé des traces, les joueurs me l’ont avoué. On a beaucoup discuté avec les joueurs cette semaine pour essayer d’améliorer les choses. Il ne faut pas tenir compte de l’adversaire. On doit retrouver une force de caractère. Nous avons eu pas mal de pépins physiques contre Annecy, mais on va récupérer des joueurs. Les gars sont capables de se ressaisir ».
Une rencontre délocalisée à Caen
Un match qui se déroulera à Caen, en raison de l’état dégradé de la pelouse du stade Charléty, l’habituel antre du club parisien. Un avantage pour l’ACA ? « Les dirigeants nous ont avertis vendredi soir qu’ils allaient demander le changement du lieu du match. On peut voir ce match sur un terrain neutre comme un avantage, mais pour nous cela reste un déplacement. Le terrain va être meilleur qu’à Charléty c’est certain. Cela ne nous pose pas de soucis particuliers ».
Pour cette rencontre délocalisée, Olivier Pantaloni récupérer Mickaël Barreto dans le groupe même si celui-ci ne devrait pas débuter la partie. Valentin Jacob est finalement apte tandis que Momo Youssouf, atteint au psoas, et Al Hassan Touré blessé au mollet seront tous deux absents tout comme Campanini, gravement touché au genou, et dont la saison est d’ores et déjà terminée. Quant au poste de gardien de but, à la question de savoir si ce sera Mathieu Michel ou François-Joseph Sollacaro, qui débutera, l’entraîneur ajaccien a lâché un laconique « On verra bien ! » qui pourrait laisser présager des changements à venir. À suivre !
« Une équipe émoussée sur le plan physique »
Méconnaissable, l’équipe ajaccienne a livré un de ses plus mauvais matchs de la saison face au 19e du championnat. Une équipe qui paraît atteinte aussi bien au plan physique qu’au plan mental reconnaît Olivier Pantaloni : « On a senti l’équipe émoussée face à Annecy. C’est au niveau mental qu’il a fallu revoir les choses, l’équipe travaille au quotidien. Cette équipe est émoussée, on l’a senti cette semaine avec beaucoup de joueurs qui sont restés aux soins. Cela a été une semaine très particulière pour préparer ce match face au Paris FC, mais peu à peu on espère récupérer beaucoup de joueurs. On a senti des joueurs pas en rythme et fatigués contre Annecy. Il faut se remettre les idées en place. Si on continue à glisser, on peut se faire peur. Il faut réussir à retrouver de bons résultats. Dans les têtes, cela cogite beaucoup, le travail du staff c’est de rassurer les joueurs, car une équipe qui n’est pas en confiance, voit son niveau baisser. On l’a vu en début de saison avec Lyon en Ligue 1. Nous sommes capables de bien faire, on l’a déjà prouvé cette saison. Il faut retrouver cette énergie et cette force mentale pour repartir de l’avant et aller chercher des résultats. La désillusion est présente. Le match d’Angers a laissé des traces, les joueurs me l’ont avoué. On a beaucoup discuté avec les joueurs cette semaine pour essayer d’améliorer les choses. Il ne faut pas tenir compte de l’adversaire. On doit retrouver une force de caractère. Nous avons eu pas mal de pépins physiques contre Annecy, mais on va récupérer des joueurs. Les gars sont capables de se ressaisir ».
Une rencontre délocalisée à Caen
Un match qui se déroulera à Caen, en raison de l’état dégradé de la pelouse du stade Charléty, l’habituel antre du club parisien. Un avantage pour l’ACA ? « Les dirigeants nous ont avertis vendredi soir qu’ils allaient demander le changement du lieu du match. On peut voir ce match sur un terrain neutre comme un avantage, mais pour nous cela reste un déplacement. Le terrain va être meilleur qu’à Charléty c’est certain. Cela ne nous pose pas de soucis particuliers ».
Pour cette rencontre délocalisée, Olivier Pantaloni récupérer Mickaël Barreto dans le groupe même si celui-ci ne devrait pas débuter la partie. Valentin Jacob est finalement apte tandis que Momo Youssouf, atteint au psoas, et Al Hassan Touré blessé au mollet seront tous deux absents tout comme Campanini, gravement touché au genou, et dont la saison est d’ores et déjà terminée. Quant au poste de gardien de but, à la question de savoir si ce sera Mathieu Michel ou François-Joseph Sollacaro, qui débutera, l’entraîneur ajaccien a lâché un laconique « On verra bien ! » qui pourrait laisser présager des changements à venir. À suivre !