Olivier Pantaloni et ses hommes s'attendent à un déplacement compliqué demain soir à Pau (19 heures) (Photo Archives Michel Luccioni)
Bien calé dans la partie haute du championnat de Ligue 2, il y a un mois à peine, l’AC Ajaccio s’est effondré après quatre revers consécutifs. Le dernier en date, lundi dernier, lors de l’inauguration du stade Michel Moretti face au leader, Auxerre (0-1), malgré une prestation encourageante. Un résultat qui conduit aujourd’hui le club ajaccien à la 13e du championnat avec seulement 5 points d’avance sur Annecy, le premier relégable.
Une situation qui commence à inquiéter les supporters, le club et notamment Olivier Pantaloni et son staff : « On ne va pas le cacher, il y a de l’inquiétude et on se pose beaucoup de questions. Aujourd’hui, la situation on la connaît, les résultats ne sont pas bons, nous avons dégringolé au classement. Certes, nous sommes dans une situation difficile, mais avec une position au classement, qui fait que nous avons 5 points d’avance sur le premier relégable et je préfère être dans cette position, plutôt que l’inverse. Il faut pleinement prendre conscience de la situation difficile dans laquelle on est et il faut maintenant que le groupe réagisse. Il y a des matchs, qui ont été perdus, alors que les contenus n’étaient pas forcément mauvais, notamment face à Auxerre. On aurait mérité d’arracher au moins un match nul et cela aurait été un bon résultat. Est-ce qu’on se morfond et on se plaint ou bien alors on se montre responsable et on agit ! Il faut maintenant aller chercher les points qui manquent pour se mettre à l’abri ».
« Un travail psychologique à faire sur le groupe »
Pas évident tout de même, d’autant que les explications sont difficiles à trouver même si Olivier Pantaloni a sa petite idée sur la question : « Il y a un travail psychologique important à faire sur le groupe. Il faut arriver à garder une certaine lucidité et se dire qu’on est loin d’avoir tout perdu, même si les ambitions que l’on avait pu faire naître à un moment donné sont définitivement perdues. Aujourd’hui, on est encore en situation favorable dans la course au maintien et il faut que cela perdure ».
Et, ce ne sera pas chose aisée puisque les Ajacciens se rendent ce samedi soir (19h) à Pau, 9e du championnat, mais placé seulement à trois longueurs de la 5e synonyme de play-offs. Un adversaire coriace comme l’admet le coach ajaccien : « Je m’attends à un match très difficile, car nous sommes dans une situation compliquée, il va falloir essayer de ne pas penser à cela, mais surtout avoir l’envie d’arracher un résultat face à une équipe en pleine confiance. Cela peut donner un match spectaculaire, mais il va falloir qu’on fasse preuve de beaucoup de lucidité ».
Privé de Bayala, Campanini ou Benhaim, conjugué aux départs de Bammou et Chanot, le groupe ajaccien semble un peu plus émoussé chaque semaine. Il faudra essayer de trouver les ressources pour enrayer cette spirale négative et ramener, enfin, un résultat positif de ce déplacement, qui s’annonce une nouvelle fois périlleux. Pour Christopher Ibayi, son avant-centre, « il faut continuer à travailler, car nous sommes dans une situation compliquée, relever la tête et repartir de l’avant. On ne s’attendait pas à vivre ce genre de situation, mais on sait très bien que dans le football va très vite. Il faut aller chercher un bon résultat à Pau. C’est une très bonne équipe, avec une grosse force mentale. C’est un nouveau combat qui nous attend ».
Une situation qui commence à inquiéter les supporters, le club et notamment Olivier Pantaloni et son staff : « On ne va pas le cacher, il y a de l’inquiétude et on se pose beaucoup de questions. Aujourd’hui, la situation on la connaît, les résultats ne sont pas bons, nous avons dégringolé au classement. Certes, nous sommes dans une situation difficile, mais avec une position au classement, qui fait que nous avons 5 points d’avance sur le premier relégable et je préfère être dans cette position, plutôt que l’inverse. Il faut pleinement prendre conscience de la situation difficile dans laquelle on est et il faut maintenant que le groupe réagisse. Il y a des matchs, qui ont été perdus, alors que les contenus n’étaient pas forcément mauvais, notamment face à Auxerre. On aurait mérité d’arracher au moins un match nul et cela aurait été un bon résultat. Est-ce qu’on se morfond et on se plaint ou bien alors on se montre responsable et on agit ! Il faut maintenant aller chercher les points qui manquent pour se mettre à l’abri ».
« Un travail psychologique à faire sur le groupe »
Pas évident tout de même, d’autant que les explications sont difficiles à trouver même si Olivier Pantaloni a sa petite idée sur la question : « Il y a un travail psychologique important à faire sur le groupe. Il faut arriver à garder une certaine lucidité et se dire qu’on est loin d’avoir tout perdu, même si les ambitions que l’on avait pu faire naître à un moment donné sont définitivement perdues. Aujourd’hui, on est encore en situation favorable dans la course au maintien et il faut que cela perdure ».
Et, ce ne sera pas chose aisée puisque les Ajacciens se rendent ce samedi soir (19h) à Pau, 9e du championnat, mais placé seulement à trois longueurs de la 5e synonyme de play-offs. Un adversaire coriace comme l’admet le coach ajaccien : « Je m’attends à un match très difficile, car nous sommes dans une situation compliquée, il va falloir essayer de ne pas penser à cela, mais surtout avoir l’envie d’arracher un résultat face à une équipe en pleine confiance. Cela peut donner un match spectaculaire, mais il va falloir qu’on fasse preuve de beaucoup de lucidité ».
Privé de Bayala, Campanini ou Benhaim, conjugué aux départs de Bammou et Chanot, le groupe ajaccien semble un peu plus émoussé chaque semaine. Il faudra essayer de trouver les ressources pour enrayer cette spirale négative et ramener, enfin, un résultat positif de ce déplacement, qui s’annonce une nouvelle fois périlleux. Pour Christopher Ibayi, son avant-centre, « il faut continuer à travailler, car nous sommes dans une situation compliquée, relever la tête et repartir de l’avant. On ne s’attendait pas à vivre ce genre de situation, mais on sait très bien que dans le football va très vite. Il faut aller chercher un bon résultat à Pau. C’est une très bonne équipe, avec une grosse force mentale. C’est un nouveau combat qui nous attend ».