Regards sombres et ambiance pesante ce mercredi après-midi dans la salle de presse du stade de Michel Moretti, où Alain Orsoni, le patron de la Holding a tenté d’expliquer aux nombreux supporters présents, la situation actuelle du club. Relégué en National 1 par la DNCG, le propriétaire de la Holding a reconnu « qu’il était difficile d’expliquer l’inexplicable » avant d’ajouter : « Nous avons fourni une garantie bancaire de 15 millions d’euros de la Bank Of Scotland » et un ordre de virement de 2,5 millions d’euros avancé par Francis Perez, mais cela n’a pas convaincu les membres de la DNCG. On nous dit que ce n’est pas suffisant. J’en prends acte… ».
Arnau Baque Roig absent mais toujours intéressé par le rachat du club
Devant la Presse et une cinquantaine de supporters, Alain Orsoni, Franck Leloup, le directeur général et Alexandre Demuth ont dû faire face à une multitude de questions venant de tous bords : « Pourquoi Arnau Baque Roig n’est-il pas là aujourd’hui, est-il toujours intéressé par la reprise du club » demande avec véhémence un supporter. « Oui, il nous a encore confirmé hier qu’il était toujours de la partie. Il est en train de convertir des actifs en liquidités et dès que cela sera fait, il pourra alors injecter de l’argent dans le club » répond Alain Orsoni.
Avec une dette estimée aujourd’hui à 13 millions d’euros, les finances du club ajaccien sont toujours dans le rouge mais le patron du club se veut optimiste : « Les 2,5 millions d’euros vont arriver sur le compte et nous avons une garantie bancaire de 15 millions d’euros. Nous allons saisir le CNOSF dès réception des attendus de la DNCG. Ensuite, nous serons convoqués pour une audition et si l’argent est là, nous passerons une nouvelle fois devant le COMEX. Nous allons tout faire pour nous maintenir en Ligue 2 ».
Les dirigeants ajacciens espèrent toujours évoluer en Ligue 2 la saison prochaine mais se préparent cependant à l’éventualité du National 1. Franck Leloup a ainsi annoncé que le club avait préparé un budget de 5 millions d’euros, prenant en compte la baisse des recettes et notamment des droits TV. Le dépôt de bilan ? « On n’y pense même pas. Au pire on sera en National 1. L’argent sera bien là, il n’y a pas de soucis à se faire ». Des propos qui, s’ils n’ont pas convaincu toute l’assistance, ont redonné un vent d’espoir à certains supporters et aux salariés du club « même si en cas de National 1, on ne pourra pas garder tout le monde » prévient et regrette Alain Orsoni. Le président de la Holding devrait rencontrer, en ce sens, tous les joueurs, éducateurs, et salarié du club ce jeudi.
Arnau Baque Roig absent mais toujours intéressé par le rachat du club
Devant la Presse et une cinquantaine de supporters, Alain Orsoni, Franck Leloup, le directeur général et Alexandre Demuth ont dû faire face à une multitude de questions venant de tous bords : « Pourquoi Arnau Baque Roig n’est-il pas là aujourd’hui, est-il toujours intéressé par la reprise du club » demande avec véhémence un supporter. « Oui, il nous a encore confirmé hier qu’il était toujours de la partie. Il est en train de convertir des actifs en liquidités et dès que cela sera fait, il pourra alors injecter de l’argent dans le club » répond Alain Orsoni.
Avec une dette estimée aujourd’hui à 13 millions d’euros, les finances du club ajaccien sont toujours dans le rouge mais le patron du club se veut optimiste : « Les 2,5 millions d’euros vont arriver sur le compte et nous avons une garantie bancaire de 15 millions d’euros. Nous allons saisir le CNOSF dès réception des attendus de la DNCG. Ensuite, nous serons convoqués pour une audition et si l’argent est là, nous passerons une nouvelle fois devant le COMEX. Nous allons tout faire pour nous maintenir en Ligue 2 ».
Les dirigeants ajacciens espèrent toujours évoluer en Ligue 2 la saison prochaine mais se préparent cependant à l’éventualité du National 1. Franck Leloup a ainsi annoncé que le club avait préparé un budget de 5 millions d’euros, prenant en compte la baisse des recettes et notamment des droits TV. Le dépôt de bilan ? « On n’y pense même pas. Au pire on sera en National 1. L’argent sera bien là, il n’y a pas de soucis à se faire ». Des propos qui, s’ils n’ont pas convaincu toute l’assistance, ont redonné un vent d’espoir à certains supporters et aux salariés du club « même si en cas de National 1, on ne pourra pas garder tout le monde » prévient et regrette Alain Orsoni. Le président de la Holding devrait rencontrer, en ce sens, tous les joueurs, éducateurs, et salarié du club ce jeudi.
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