La tête découverte hier en début d'après-midi dans un jardin du lotissement de La Maraninca est-elle celle de José-Carlos Vicente-Garcia dont la disparition avait été signalée il y a tout juste un an, le 24 Avril 2016 ?
Cela reste encore à déterminer et il y faudra quelques semaines pour l'établir avec certitude; mais plusieurs éléments permettent aujourd'hui de penser que la tête retrouvée enfouie à une trentaine de centimètres dans un jardin du Sud de Bastia est bien celle de cet homme dont le corps démembré, sans la tête, avait été retrouvé disséminé entre le Lancone et la Balagne.
Dans ce dossier un homme, Gérard Giorgetti, 53 ans, qui nie les faits qui lui sont reprochés, a été mis en examen le 26 Avril 2016 pour "meurtre s précédé, accompagné ou suivi d'un autre crime : celui d'actes "de torture et de barbarie avec la circonstance aggravante que ces actes ont été menés avec usage et menace d'une arme, le tout en récidive légale".
Le fait que la personne mise en examen ait effectué des travaux de jardinage à cet endroit pour le compte de personnes âgées et que dans le même temps elle ait utilisé leur véhicule, où des traces de sang appartenant à la victime ont été retrouvées, laisse à penser ainsi que l'expliquait lundi après-midi Nicolas Bessone, procureur de la République de Bastia, que la tête découverte est bien celle de José-Carlos Vicente Garcia.
L'ADN, que l'on pourra prélever, devra s'avérer déterminante sur ce plan.
Cela reste encore à déterminer et il y faudra quelques semaines pour l'établir avec certitude; mais plusieurs éléments permettent aujourd'hui de penser que la tête retrouvée enfouie à une trentaine de centimètres dans un jardin du Sud de Bastia est bien celle de cet homme dont le corps démembré, sans la tête, avait été retrouvé disséminé entre le Lancone et la Balagne.
Dans ce dossier un homme, Gérard Giorgetti, 53 ans, qui nie les faits qui lui sont reprochés, a été mis en examen le 26 Avril 2016 pour "meurtre s précédé, accompagné ou suivi d'un autre crime : celui d'actes "de torture et de barbarie avec la circonstance aggravante que ces actes ont été menés avec usage et menace d'une arme, le tout en récidive légale".
Le fait que la personne mise en examen ait effectué des travaux de jardinage à cet endroit pour le compte de personnes âgées et que dans le même temps elle ait utilisé leur véhicule, où des traces de sang appartenant à la victime ont été retrouvées, laisse à penser ainsi que l'expliquait lundi après-midi Nicolas Bessone, procureur de la République de Bastia, que la tête découverte est bien celle de José-Carlos Vicente Garcia.
L'ADN, que l'on pourra prélever, devra s'avérer déterminante sur ce plan.