La dernière nuit de l’année sera étroitement surveillée en Corse-du-Sud. Dans un communiqué, le procureur de la République d’Ajaccio, Nicolas Septe, annonce que « par une circulaire du 30 décembre, le ministre de la justice, Garde des Sceaux, a demandé aux procureurs de la République de faire preuve de la plus grande fermeté à l’encontre des infractions qui seraient susceptibles d’être commises pendant la nuit de la Saint Sylvestre ». Dans cette optique, il indique avoir « délivré aux forces de police et de gendarmerie de nombreuses réquisitions aux fins de contrôle d’identité avec ouverture des coffres des véhicules sur la base de l’article 78 et suivants du Code de procédure pénale » dans le but de procéder à « des contrôles de l’état alcoolique et ou de stupéfiants au volant ».
Par ailleurs, le procureur prévient également que toutes « les infractions qui seraient commises à l’encontre d’une personne chargée d’une mission de service public ou dépositaire de l’autorité publique feront l’objet de la plus grande réactivité et fermeté dans la réponse pénale ».
Il rappelle en outre que « la consommation de produits stupéfiants, parfois considérée à tort comme “festive”, est prohibée par principe par la loi » et souligne que celle-ci « alimente les trafics de stupéfiants, une économie souterraine opaque » et expose à de lourdes sanctions pénales, « d’un an d’emprisonnement pour l’usager jusqu’à 10 ans d’emprisonnement pour celui qui transporte des stupéfiants ».
« Les contrôles routiers seront donc nombreux afin de permettre à chacun de profiter des fêtes de fin d’année de manière responsable », avertit Nicolas Septe. Et d’insister encore : « Aucune tolérance ne sera de mise ».
Par ailleurs, le procureur prévient également que toutes « les infractions qui seraient commises à l’encontre d’une personne chargée d’une mission de service public ou dépositaire de l’autorité publique feront l’objet de la plus grande réactivité et fermeté dans la réponse pénale ».
Il rappelle en outre que « la consommation de produits stupéfiants, parfois considérée à tort comme “festive”, est prohibée par principe par la loi » et souligne que celle-ci « alimente les trafics de stupéfiants, une économie souterraine opaque » et expose à de lourdes sanctions pénales, « d’un an d’emprisonnement pour l’usager jusqu’à 10 ans d’emprisonnement pour celui qui transporte des stupéfiants ».
« Les contrôles routiers seront donc nombreux afin de permettre à chacun de profiter des fêtes de fin d’année de manière responsable », avertit Nicolas Septe. Et d’insister encore : « Aucune tolérance ne sera de mise ».









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