Il est des moments où la continuité vaut autant qu'une réforme. Depuis son arrivée à la tête du rectorat de Corse, Rémi-François Paolini a su insuffler une dynamique nouvelle, fondée sur le dialogue, la stabilité et la confiance. Aujourd’hui, alors qu’une mutation du recteur semble envisagée, il est essentiel de rappeler combien la pérennité de son action est vitale pour l’avenir éducatif de notre île.
En effet, et je peux en porter directement témoignage sur le terrain, le Recteur Paolini a su comprendre les spécificités du territoire corse, écouter ses acteurs et bâtir un plan académique ambitieux mais réaliste. Ce plan, élaboré en concertation avec les enseignants, les collectivités et les familles, vise à répondre aux besoins concrets de notre jeunesse : développement du bilinguisme, valorisation des filières professionnelles adaptées au tissu économique local, lutte contre les inégalités territoriales et sociales, lutte contre l'échec scolaire au primaire, au collège et au lycée.
Ces orientations ne sont pas de simples slogans administratifs. Elles traduisent une vision cohérente, profondément ancrée dans la réalité insulaire. Elles exigent du temps, de la stabilité et une autorité de terrain qui ne s’improvise pas. Bien au- delà de l'axe concernant la langue Corse, si Rémi François Paolini venait à être remplacé, c’est l'ensemble du projet académique qui contient 5 autres axes, qui serait annihilé, notamment l'axe 2 ouvrant des nouvelles pistes d'innovation pédagogique pour l'enseignement des savoirs fondamentaux : du français et des mathématiques, et plus généralement des sciences.
À l'aube de la mise en oeuvre concrète sur le terrain avec les enseignants et les élèves de ces nouvelles stratégies pédagogiques, changer de recteur aujourd’hui reviendrait à réduire à néant la dynamique en marche.
Dans un contexte où l’école, en Corse comme ailleurs, a plus que jamais besoin de sérénité, de cohérence et de visibilité, il serait contraire à l’intérêt collectif d’interrompre cette dynamique.
Maintenir Rémi-Françous Paolini à la tête du rectorat, c’est choisir la continuité, la cohérence et l’efficacité plutôt que le déséquilibre et l’incertitude. C’est faire le choix de la jeunesse corse, de ses enseignants et de son avenir.
L'énorme travail accompli depuis plus d'un an par le recteur avec ses équipes mérite qu'on le respecte en consolidant l’élan donné de manière à donner à ce plan académique toutes les chances de porter pleinement ses fruits.
Pour le Professeur Barbolosi, grâce au Recteur Rémi-François Paolini, homme de terrain à l’écoute des acteurs engagés, de belles choses ont été actées pour être mises au service de tous les élèves comme de l'excellence de la jeunesse corse, avec des premières déclinaisons pédagogiques dès le mois de décembre.
Il ne s’agit pas ici d’une simple question de personnes, mais d’un enjeu de politique éducative et de respect de la communauté éducative corse et de ses partenaires : la réussite du plan académique Scola 2030, fruit d'un gros travail collectif, repose sur la stabilité de son pilotage qui passe nécessairement par le maintien de Rémi-François Paolini à la tête du rectorat de Corse !
En effet, et je peux en porter directement témoignage sur le terrain, le Recteur Paolini a su comprendre les spécificités du territoire corse, écouter ses acteurs et bâtir un plan académique ambitieux mais réaliste. Ce plan, élaboré en concertation avec les enseignants, les collectivités et les familles, vise à répondre aux besoins concrets de notre jeunesse : développement du bilinguisme, valorisation des filières professionnelles adaptées au tissu économique local, lutte contre les inégalités territoriales et sociales, lutte contre l'échec scolaire au primaire, au collège et au lycée.
Ces orientations ne sont pas de simples slogans administratifs. Elles traduisent une vision cohérente, profondément ancrée dans la réalité insulaire. Elles exigent du temps, de la stabilité et une autorité de terrain qui ne s’improvise pas. Bien au- delà de l'axe concernant la langue Corse, si Rémi François Paolini venait à être remplacé, c’est l'ensemble du projet académique qui contient 5 autres axes, qui serait annihilé, notamment l'axe 2 ouvrant des nouvelles pistes d'innovation pédagogique pour l'enseignement des savoirs fondamentaux : du français et des mathématiques, et plus généralement des sciences.
À l'aube de la mise en oeuvre concrète sur le terrain avec les enseignants et les élèves de ces nouvelles stratégies pédagogiques, changer de recteur aujourd’hui reviendrait à réduire à néant la dynamique en marche.
Dans un contexte où l’école, en Corse comme ailleurs, a plus que jamais besoin de sérénité, de cohérence et de visibilité, il serait contraire à l’intérêt collectif d’interrompre cette dynamique.
Maintenir Rémi-Françous Paolini à la tête du rectorat, c’est choisir la continuité, la cohérence et l’efficacité plutôt que le déséquilibre et l’incertitude. C’est faire le choix de la jeunesse corse, de ses enseignants et de son avenir.
L'énorme travail accompli depuis plus d'un an par le recteur avec ses équipes mérite qu'on le respecte en consolidant l’élan donné de manière à donner à ce plan académique toutes les chances de porter pleinement ses fruits.
Pour le Professeur Barbolosi, grâce au Recteur Rémi-François Paolini, homme de terrain à l’écoute des acteurs engagés, de belles choses ont été actées pour être mises au service de tous les élèves comme de l'excellence de la jeunesse corse, avec des premières déclinaisons pédagogiques dès le mois de décembre.
Il ne s’agit pas ici d’une simple question de personnes, mais d’un enjeu de politique éducative et de respect de la communauté éducative corse et de ses partenaires : la réussite du plan académique Scola 2030, fruit d'un gros travail collectif, repose sur la stabilité de son pilotage qui passe nécessairement par le maintien de Rémi-François Paolini à la tête du rectorat de Corse !
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