David Serries, le délégué de la FIA Jasek Bartos, la patronne de la commission des rallyes FIA Michèle Mouton, Christian Leca bien sûr, Jean Duby, délégué FIA
Adieu le trèfle qui faisait rire, re-bonjour l’attaque et les longues spéciales, les liaisons (moins dangereuses), les parcs de regroupements et surtout une vaste promenade autour de l’île. Du littoral à la Corse profonde, de la plaine aux sommets qui ont fait la réputation du tour, beaucoup de belles surprises pour cette édition 2015 qui renoue avec la tradition du Tour de Corse comme on l’aime, en fait comme il s’est taillé sa propre réputation pour atteindre le nirvana de l’organisation durant plusieurs décennies.
Sur place, l’équipe technique et de sécurité de l’épreuve, le nouveau patron, David Serries, le délégué de la FIA Jasek Bartos, la patronne de la commission des rallyes FIA Michèle Mouton, Christian Leca bien sûr, Jean Duby, délégué FIA etc. Deux jours durant, ils ont sillonné l’île un peu dans tous les sens pour étudier, voir, rectifier et améliorer le tracé de l’épreuve qui se disputera en octobre prochain. Du travail sur le terrain, des rencontres, des échanges, le Tour de Corse est bel et bien redevenu l’épreuve de tout un peuple qui attend l’évènement avec l’impatience qu’on imagine.
Un Tour comme au bon vieux temps, un Tour du reprend du souffle et de l’enthousiasme, comme l’a d’ailleurs signalé Michèle Mouton qui vient de reconnaître toutes les spéciales : « Quelle merveille, on se croyait revenu au bon temps de l’attaque, avec des routes améliorées certes, mais combien passionnantes… »
N’avait-elle pas déclaré dans la préface de mon ouvrage « Tant qu’il y aura des pilotes » paru aux éditions « in Piazza » il y a trois ans : « Il est difficile de voir partir une épreuve qui à fait l’unanimité, mais il faut toujours y croire, il faut garder espoir… »
Elle avait raison Michèle, elle savait qu’un jour où l’autre, le terrain idéal serait de nouveau sollicité pour une épreuve de haute tenue comme le Tour de Corse.
Dans notre prochaine édition, nous reviendrons plus en détail sur ces retrouvailles avec le monument sportif de toute une île que nos politiques n’ont jamais lâché, Paul Giacobbi en tête.
J.F.
Sur place, l’équipe technique et de sécurité de l’épreuve, le nouveau patron, David Serries, le délégué de la FIA Jasek Bartos, la patronne de la commission des rallyes FIA Michèle Mouton, Christian Leca bien sûr, Jean Duby, délégué FIA etc. Deux jours durant, ils ont sillonné l’île un peu dans tous les sens pour étudier, voir, rectifier et améliorer le tracé de l’épreuve qui se disputera en octobre prochain. Du travail sur le terrain, des rencontres, des échanges, le Tour de Corse est bel et bien redevenu l’épreuve de tout un peuple qui attend l’évènement avec l’impatience qu’on imagine.
Un Tour comme au bon vieux temps, un Tour du reprend du souffle et de l’enthousiasme, comme l’a d’ailleurs signalé Michèle Mouton qui vient de reconnaître toutes les spéciales : « Quelle merveille, on se croyait revenu au bon temps de l’attaque, avec des routes améliorées certes, mais combien passionnantes… »
N’avait-elle pas déclaré dans la préface de mon ouvrage « Tant qu’il y aura des pilotes » paru aux éditions « in Piazza » il y a trois ans : « Il est difficile de voir partir une épreuve qui à fait l’unanimité, mais il faut toujours y croire, il faut garder espoir… »
Elle avait raison Michèle, elle savait qu’un jour où l’autre, le terrain idéal serait de nouveau sollicité pour une épreuve de haute tenue comme le Tour de Corse.
Dans notre prochaine édition, nous reviendrons plus en détail sur ces retrouvailles avec le monument sportif de toute une île que nos politiques n’ont jamais lâché, Paul Giacobbi en tête.
J.F.