Daniel Berrebi affirmait samedi dans La Provencei être entré en contact en avril avec Transdev, actionnaire principal de la SNCM.
"Les choses se passent bien. Ils font du business, nous aussi", souligne l'armateur dont la société a son siège social à Miami. "Je n'ai pas le sentiment que Transdev veut se séparer de la SNCM à n'importe quel prix."
Baja Ferries proposerait une reprise des activités de la SNCM mais sans achat de nouveaux navires, à l'inverse de l'ancien plan industriel porté par la direction précédente de la SNCM.
"L'achat de nouveaux navires ne fera pas venir les clients. Regardez Corsica Ferries. Ils dominent sur la Corse et n'ont jamais acheté un navire neuf", soutient Daniel Berrebi.
Pour le "le personnel va devoir faire des efforts", sans préciser l'ampleur des suppressions de postes envisagées.
Quant à l'amende européenne, elle ne semble pas inquiéter Berrebi "L'Etat a trouvé la solution. Il la négocie avec le commissaire européen Almunia. On va vers un compromis, c'est certain", dit-t-il en faisant sans doute allusion au propos de Frédéric Cuvillier qui a rappelé mercredi qu'il négociait avec Bruxelles "une solution durable qui permette de traiter le sujet des aides publiques dont la Commission européenne a exigé le remboursement".
Mais pour les les syndicats tout cela n'est qu'une "mascarade médiatique qui vise à protéger Transdev, qui brouille les pistes alors que de vraies solutions existent et ne demandent qu'à sortir", ainsi que l'a déclaré à Reuters le délégué des cadres navigants CFE-CGC de la SNCM, Pierre Maupoint de Vandeul.
Une position que les syndicats rappelleront lundi au ministre de l'Economie Arnaud Montebourg, qui les recevra en marge d'une visite dans les Bouches-du-Rhône.
"Nous alerterons Arnaud Montebourg sur la fable Baja Ferries, dont le PDG organise en coulisses, avec Transdev, le démantèlement de la SNCM", prévient Pierre Maupoint de Vandeul.
"Les choses se passent bien. Ils font du business, nous aussi", souligne l'armateur dont la société a son siège social à Miami. "Je n'ai pas le sentiment que Transdev veut se séparer de la SNCM à n'importe quel prix."
Baja Ferries proposerait une reprise des activités de la SNCM mais sans achat de nouveaux navires, à l'inverse de l'ancien plan industriel porté par la direction précédente de la SNCM.
"L'achat de nouveaux navires ne fera pas venir les clients. Regardez Corsica Ferries. Ils dominent sur la Corse et n'ont jamais acheté un navire neuf", soutient Daniel Berrebi.
Pour le "le personnel va devoir faire des efforts", sans préciser l'ampleur des suppressions de postes envisagées.
Quant à l'amende européenne, elle ne semble pas inquiéter Berrebi "L'Etat a trouvé la solution. Il la négocie avec le commissaire européen Almunia. On va vers un compromis, c'est certain", dit-t-il en faisant sans doute allusion au propos de Frédéric Cuvillier qui a rappelé mercredi qu'il négociait avec Bruxelles "une solution durable qui permette de traiter le sujet des aides publiques dont la Commission européenne a exigé le remboursement".
Mais pour les les syndicats tout cela n'est qu'une "mascarade médiatique qui vise à protéger Transdev, qui brouille les pistes alors que de vraies solutions existent et ne demandent qu'à sortir", ainsi que l'a déclaré à Reuters le délégué des cadres navigants CFE-CGC de la SNCM, Pierre Maupoint de Vandeul.
Une position que les syndicats rappelleront lundi au ministre de l'Economie Arnaud Montebourg, qui les recevra en marge d'une visite dans les Bouches-du-Rhône.
"Nous alerterons Arnaud Montebourg sur la fable Baja Ferries, dont le PDG organise en coulisses, avec Transdev, le démantèlement de la SNCM", prévient Pierre Maupoint de Vandeul.
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