Elle réunissait pour l’occasion, une partie des seize candidats de la promotion 2016-2017 qui ont obtenu le précieux sésame, pour beaucoup avec mentions.
Au cours d’une brève allocution de bienvenue, Cécile Riolacci, directrice de la formation continue au sein de l’Università di Corsica « Pasquale Paoli », a rappelé l’intérêt que représentait cette filière tant par son contenu pédagogique que par les débouchés professionnels évidents qu’elle offre dans une île où les enjeux de sécurité sont plus prégnants que partout ailleurs, du fait du dérèglement climatique et de l’éloignement géographique.
Puis l’intéressée félicitait chaleureusement les nouveaux promus, remerciait les partenaires institutionnels et associatifs qui accompagnent et aident à pérenniser cette filière, au premier rang desquels la Collectivité de Corse.
Prenant à son tour la parole, devant les membres du Jury présents, le Docteur Daniel Di Giambattista, coordonateur scientifique de la formation devait rappeler que tous les ans, cette filière accueillait de nombreux candidats venus de l’île, du continent voire même de l’étranger, à l’image des deux étudiants africains inscrits ces deux dernières années : « Notre objectif est de former nos gens à la connaissance de tous les échelons de prise en charge et de la coordination d’une catastrophe. C’est pour cette raison, que les mémoires sont élaborés à partir de scénarios fictifs qui s’appuient sur des exemples d’évènements majeurs survenus en Corse ».
A noter également que ce diplôme de niveau BAC+3 qui attire chaque année de plus en plus de salariés, vise à faire acquérir des compétences spécifiques à la gestion des situations de crise et catastrophes mais aussi à se positionner à tous niveaux dans un dispositif de secours. Pour atteindre ces objectifs, le C2MS2 s’appuie sur un contrôle continu des connaissances mais aussi sur des mises en situation pratiques sous la responsabilité pédagogique et l’expertise de la société française de médecine de catastrophes (SFMC) avec les concours des divers acteurs de la sécurité civile à l’instar de l’unité d’instruction et d’intervention de la sécurité civile N°5 de Corte (UIISC 5), où bien encore la société nationale de sauvetage en mer (SNSM), le service d’incendie et de secours de la Haute-Corse (SIS 2B) mais aussi, la société de développement XVR, concepteur de logiciels dédié à la simulation.
D’autres partenaires clés interviennent dans la filière comme Cécile Riolacci l’a rappelé, citant notamment les démineurs et la base hélicoptère de la sécurité civile de Haute-Corse.
La cérémonie s’est conclue par un copieux buffet au cours duquel, anciens et nouveaux de la filière C2MS2 ont pu dans une ambiance conviviale, longuement échanger en présence outre des personnes déjà citées du lieutenant-colonel Michel Bourgoin, commandant l’UIISC5 de Corte, du lieutenant-colonel Bertrand Legrand, commandant en second de l’UIISC5 de Corte, du colonel Bruno Maestracci, directeur du SIS 2A, du professeur de médecine Jean-Pierre Carpentier et de Eric Luciani, médecin-chef du SIS 2A et Mme Lila Ferrat, maitre de conférence, référente du master « risques majeurs environnementaux ».
Au cours d’une brève allocution de bienvenue, Cécile Riolacci, directrice de la formation continue au sein de l’Università di Corsica « Pasquale Paoli », a rappelé l’intérêt que représentait cette filière tant par son contenu pédagogique que par les débouchés professionnels évidents qu’elle offre dans une île où les enjeux de sécurité sont plus prégnants que partout ailleurs, du fait du dérèglement climatique et de l’éloignement géographique.
Puis l’intéressée félicitait chaleureusement les nouveaux promus, remerciait les partenaires institutionnels et associatifs qui accompagnent et aident à pérenniser cette filière, au premier rang desquels la Collectivité de Corse.
Prenant à son tour la parole, devant les membres du Jury présents, le Docteur Daniel Di Giambattista, coordonateur scientifique de la formation devait rappeler que tous les ans, cette filière accueillait de nombreux candidats venus de l’île, du continent voire même de l’étranger, à l’image des deux étudiants africains inscrits ces deux dernières années : « Notre objectif est de former nos gens à la connaissance de tous les échelons de prise en charge et de la coordination d’une catastrophe. C’est pour cette raison, que les mémoires sont élaborés à partir de scénarios fictifs qui s’appuient sur des exemples d’évènements majeurs survenus en Corse ».
A noter également que ce diplôme de niveau BAC+3 qui attire chaque année de plus en plus de salariés, vise à faire acquérir des compétences spécifiques à la gestion des situations de crise et catastrophes mais aussi à se positionner à tous niveaux dans un dispositif de secours. Pour atteindre ces objectifs, le C2MS2 s’appuie sur un contrôle continu des connaissances mais aussi sur des mises en situation pratiques sous la responsabilité pédagogique et l’expertise de la société française de médecine de catastrophes (SFMC) avec les concours des divers acteurs de la sécurité civile à l’instar de l’unité d’instruction et d’intervention de la sécurité civile N°5 de Corte (UIISC 5), où bien encore la société nationale de sauvetage en mer (SNSM), le service d’incendie et de secours de la Haute-Corse (SIS 2B) mais aussi, la société de développement XVR, concepteur de logiciels dédié à la simulation.
D’autres partenaires clés interviennent dans la filière comme Cécile Riolacci l’a rappelé, citant notamment les démineurs et la base hélicoptère de la sécurité civile de Haute-Corse.
La cérémonie s’est conclue par un copieux buffet au cours duquel, anciens et nouveaux de la filière C2MS2 ont pu dans une ambiance conviviale, longuement échanger en présence outre des personnes déjà citées du lieutenant-colonel Michel Bourgoin, commandant l’UIISC5 de Corte, du lieutenant-colonel Bertrand Legrand, commandant en second de l’UIISC5 de Corte, du colonel Bruno Maestracci, directeur du SIS 2A, du professeur de médecine Jean-Pierre Carpentier et de Eric Luciani, médecin-chef du SIS 2A et Mme Lila Ferrat, maitre de conférence, référente du master « risques majeurs environnementaux ».
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