(Photo archives F. C)
Une fois encore la procession du grand San Bartolu, celui que tout jeune bonifacien rêve de porter un jour (aux côtés des plus aguerris, des « piliers » » baraqués qui sont là chaque année) soit pour un motif religieux soit pour se prouver à lui-même et aux autres que lui aussi, il « peut » meurtrir ses épaules sous les « stanghi » de bois supportant le groupe sculpté de 800 kg, a attiré plusieurs centaines de fidèles et de curieux. Avant cela la messe, qui a été suivie par les vêpres, a été célébrée par le Père Olivier.
Il ne faut pas s'y tromper, au milieu des cris et des vociférations qui fusent par moment (et qui ne doivent pas nous offusquer car il en est ainsi depuis des siècles), il y a des gens qui souffrent, suent et soufflent pour faire en sorte que la tradition soit pérennisée et que San Bartolu soit acheminé sans encombre de l’église San Dumè à celle de Santa-Maria (et retour).
Finalement tout s'est fort bien passé et les porteurs ont eu droit aux traditionnels applaudissements dès que la châsse a été reposée sur ses tréteaux à son emplacement de l'église Saint Dominique d'où elle ne bougera plus avant le soir du vendredi saint prochain
Il ne faut pas s'y tromper, au milieu des cris et des vociférations qui fusent par moment (et qui ne doivent pas nous offusquer car il en est ainsi depuis des siècles), il y a des gens qui souffrent, suent et soufflent pour faire en sorte que la tradition soit pérennisée et que San Bartolu soit acheminé sans encombre de l’église San Dumè à celle de Santa-Maria (et retour).
Finalement tout s'est fort bien passé et les porteurs ont eu droit aux traditionnels applaudissements dès que la châsse a été reposée sur ses tréteaux à son emplacement de l'église Saint Dominique d'où elle ne bougera plus avant le soir du vendredi saint prochain
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