I Sulleoni ?
Periodu di gran calore chì và da mezu lugliu à mezu aostu quandu u sole si trova in u segnu zudiacale di u Leone ci dice l'Adecec.
Et nous y sommes, certes, avec quelques heures d'avance, mais comme depuis toujours. Comme depuis que les anciens de nos anciens, et avant eux ceux qui les ont précédés, l'avaient, déjà, constaté.
Pourtant il ne se passe pas un jour sans que l'on nous rabâche le sempiternel mot de canicule et sans que l'on nous adresse, des conseils de prudence, sans doute, de bon aloi, certes, mais comme si nous n'étions plus en mesure de nous autogérer.
Oui, c'est le temps des Sulleoni. Et il fait chaud.
Aujourd'hui comme hier et sans doute bien moins que demain.
Il en a été, il en est et il ira encore ainsi demain tant que le monde continuera à tourner dans le bon et même sens.
Même si les temps et nos modes de vie changés, rien d'anormal donc même pas ce dôme de chaleur dont on fait grand cas actuellement où toutes les prévisions qui dans le sillage des montées régulières du thermomètre nous promettent les plus grandes catastrophes.
Rien d'anormal ?
Non.
Ce qui est anormal c'est que nous ne sachions plus vivre sans clim.
Sans appartement isolé.
Sans réfrigérateur.
Sans tout le confort de petits bourgeois que nous sommes tous devenus.
Les Sulleoni d'hier étaient pourtant comme ceux d'aujourd'hui.
Mais les maisons de ceux qui nous ont précédés étaient naturellement isolées.
E nivere contribuaient à assurer la fraîcheur que l'on recherchait.
Et il y avait en de nombreux endroits de nos villes et villages des points où, par exemple, à l'heure du déjeuner on se pressait pour ramener à la maison l'acqua fresca qu'ils débitaient, ou bien encore pour préserver les produits fabriqués à l'usu nustrale.
Et on s'en contentait.
C'étaient, pourtant, I Sulleoni.
Et la même canicule !
Periodu di gran calore chì và da mezu lugliu à mezu aostu quandu u sole si trova in u segnu zudiacale di u Leone ci dice l'Adecec.
Et nous y sommes, certes, avec quelques heures d'avance, mais comme depuis toujours. Comme depuis que les anciens de nos anciens, et avant eux ceux qui les ont précédés, l'avaient, déjà, constaté.
Pourtant il ne se passe pas un jour sans que l'on nous rabâche le sempiternel mot de canicule et sans que l'on nous adresse, des conseils de prudence, sans doute, de bon aloi, certes, mais comme si nous n'étions plus en mesure de nous autogérer.
Oui, c'est le temps des Sulleoni. Et il fait chaud.
Aujourd'hui comme hier et sans doute bien moins que demain.
Il en a été, il en est et il ira encore ainsi demain tant que le monde continuera à tourner dans le bon et même sens.
Même si les temps et nos modes de vie changés, rien d'anormal donc même pas ce dôme de chaleur dont on fait grand cas actuellement où toutes les prévisions qui dans le sillage des montées régulières du thermomètre nous promettent les plus grandes catastrophes.
Rien d'anormal ?
Non.
Ce qui est anormal c'est que nous ne sachions plus vivre sans clim.
Sans appartement isolé.
Sans réfrigérateur.
Sans tout le confort de petits bourgeois que nous sommes tous devenus.
Les Sulleoni d'hier étaient pourtant comme ceux d'aujourd'hui.
Mais les maisons de ceux qui nous ont précédés étaient naturellement isolées.
E nivere contribuaient à assurer la fraîcheur que l'on recherchait.
Et il y avait en de nombreux endroits de nos villes et villages des points où, par exemple, à l'heure du déjeuner on se pressait pour ramener à la maison l'acqua fresca qu'ils débitaient, ou bien encore pour préserver les produits fabriqués à l'usu nustrale.
Et on s'en contentait.
C'étaient, pourtant, I Sulleoni.
Et la même canicule !