Jean-Loup Longnon
Coincé entre les remparts de la citadelle avec ses figues de Barbarie et la mer, le théâtre de verdure de Calvi a revêtu ce mercredi soir son habit de lumière pour accueillir le Paris-Calvi Orchestra Big Band de Sieur Jean-Loup Longnon.
Le public, les amoureux de jazz, les amis de René Caumer étaient là, prêts à swinguer.
La Fracada de Calvi avait soigneusement chauffé la place.
Patrice Faujour, président du Calvi Jazz Festival, disciple inconditionnel de René Caumer qui en son temps lui a mis le pied à l’étrier, a remercié chaleureusement la Ville de Calvi d’avoir, comme chaque année, offert cette soirée d’ouverture, avant de rendre non sans émotion un vibrant hommage au Maître René.
Dans la coulisse, les musiciens piaffaient d’impatience.
Alors, il ne restait plus à Patrice de lancer « Que la fête commence ».
Le temps de la mise en place, fidèle à son image, Jean-Loup Longnon, musicien, chef d’orchestre mais aussi poète devant l’éternel parlait de la magie de Calvi, de son pote René qui lui a fait découvrir ce joyau et de ses amis qui ont tant souhaité former avec lui ce Big Band.
Les premières notes s’élevaient vers le ciel, la très forte dépression annoncée prenait naissance au- dessus des eaux du golfe de Calvi. Le Bing Bang se formait en bandes spiralées pour converger dans l’univers du monde jazzy.
Dans l’œil du cyclone formant le Paris-Calvi Orchestra : Jean-Loup Longnon (Tromp), Zool Fleischer (Piano), Pierre De Bethmann (Piano), Franck Guicherd (Tromp), Alexis Bourguignon (Tromp), Julien Alour (Tromp), Brice Moscardini (Tromp), Philippe Renault (Tromb), Ramon Fossati (Tromb), Bastien Ballaz (Tromb), Guy Arbion (Tromb), Pierrick Pedron (Sax), Samy Thiebault (Sax), Alexis Avakian (Sax), Olivier Témime (Sax), Jean-Philippe Scali (Sax), Jean-Philippe Viret (Bass), Andrea Michelutti (Batt), Marc Thomas (Voix), Chloé Cailleton (Voix), Antoinette D’Angeli (Voix).
Au gré du vent, le Paris-Calvi orchestra s’engouffrait dans les répertoires de Thad Jones, Rob Mac Connel, Stan Laferrière et Chloé Cailleton, Count Basie, Andy Emler...
Un spectacle très dense, émouvant à souhait et comme l’aurait voulu l’ami René festif au possible.
Jean-Loup Longnon et les siens ont marqué une nouvelle page de l’histoire du Calvi Jazz Festival.
Merci à eux pour ce grand moment.
Le public, les amoureux de jazz, les amis de René Caumer étaient là, prêts à swinguer.
La Fracada de Calvi avait soigneusement chauffé la place.
Patrice Faujour, président du Calvi Jazz Festival, disciple inconditionnel de René Caumer qui en son temps lui a mis le pied à l’étrier, a remercié chaleureusement la Ville de Calvi d’avoir, comme chaque année, offert cette soirée d’ouverture, avant de rendre non sans émotion un vibrant hommage au Maître René.
Dans la coulisse, les musiciens piaffaient d’impatience.
Alors, il ne restait plus à Patrice de lancer « Que la fête commence ».
Le temps de la mise en place, fidèle à son image, Jean-Loup Longnon, musicien, chef d’orchestre mais aussi poète devant l’éternel parlait de la magie de Calvi, de son pote René qui lui a fait découvrir ce joyau et de ses amis qui ont tant souhaité former avec lui ce Big Band.
Les premières notes s’élevaient vers le ciel, la très forte dépression annoncée prenait naissance au- dessus des eaux du golfe de Calvi. Le Bing Bang se formait en bandes spiralées pour converger dans l’univers du monde jazzy.
Dans l’œil du cyclone formant le Paris-Calvi Orchestra : Jean-Loup Longnon (Tromp), Zool Fleischer (Piano), Pierre De Bethmann (Piano), Franck Guicherd (Tromp), Alexis Bourguignon (Tromp), Julien Alour (Tromp), Brice Moscardini (Tromp), Philippe Renault (Tromb), Ramon Fossati (Tromb), Bastien Ballaz (Tromb), Guy Arbion (Tromb), Pierrick Pedron (Sax), Samy Thiebault (Sax), Alexis Avakian (Sax), Olivier Témime (Sax), Jean-Philippe Scali (Sax), Jean-Philippe Viret (Bass), Andrea Michelutti (Batt), Marc Thomas (Voix), Chloé Cailleton (Voix), Antoinette D’Angeli (Voix).
Au gré du vent, le Paris-Calvi orchestra s’engouffrait dans les répertoires de Thad Jones, Rob Mac Connel, Stan Laferrière et Chloé Cailleton, Count Basie, Andy Emler...
Un spectacle très dense, émouvant à souhait et comme l’aurait voulu l’ami René festif au possible.
Jean-Loup Longnon et les siens ont marqué une nouvelle page de l’histoire du Calvi Jazz Festival.
Merci à eux pour ce grand moment.