Pour Pierre-Marie Geronimi, qui l'a expliqué en préambule de la conférence de presse, il était important après la décision prise par Frédéric Hantz de ne pas poursuivre son aventure bastiaise de "travailler" sur le dossier du futur entraîneur du Sporting.
Si rien n'avait été décidé avant la dernière minute du match, le président a rappelé que 48 heures avant, il avait eu une conversation pour un joueur et que c'est pendant cette conversation que le nom de Makelele avait été cité.
"Je dois avouer que cela a fait "tilt"", disait mardi matin le président du Sporting
Le dernier match passé, Pierre-Marie Geronimi a demandé à entrer en contact avec celui qui était toujours parisien à l'époque. Ce qui fut fait très rapidement.
"On sait que le choix de l'entraîneur est important, on sait qu'il faut faire vite parce que le chantier commence que la nouvelle saison doit rapidement se préparer et cela peut paraitre paradoxal, prendre le temps de ne pas se tromper".
Autre paradoxe pour Pierre-Marie Geronimi : "Nous avions annoncé quelqu'un qui devait avoir de l'expérience mais aussi de la fraîcheur, un enthousiasme nouveau. Bref il fallait faire vite et être prudent. Mais lorsque en conseil d'administration nous avons parlé de Makelele le choix a été vite fait."
Une rencontre plus tard, les deux hommes formalisaient leur accord fruit "d'intérêts convergents" puisque Makelele voulait entraîner et que le Sporting était à la recherche d'un homme nouveau.
Une rencontre "entre hommes" au "feeling" comme l'a dit Pierre-Marie Geronimi mais une rencontre sur laquelle Makelele et le club fondent de gros espoirs.
"Aujourd'hui quand l'on voit le CV de Makelele et le palmarès de Tholot, je pense que nous ne sommes pas trompés. Nous sommes très fiers de cette double arrivée".
Si rien n'avait été décidé avant la dernière minute du match, le président a rappelé que 48 heures avant, il avait eu une conversation pour un joueur et que c'est pendant cette conversation que le nom de Makelele avait été cité.
"Je dois avouer que cela a fait "tilt"", disait mardi matin le président du Sporting
Le dernier match passé, Pierre-Marie Geronimi a demandé à entrer en contact avec celui qui était toujours parisien à l'époque. Ce qui fut fait très rapidement.
"On sait que le choix de l'entraîneur est important, on sait qu'il faut faire vite parce que le chantier commence que la nouvelle saison doit rapidement se préparer et cela peut paraitre paradoxal, prendre le temps de ne pas se tromper".
Autre paradoxe pour Pierre-Marie Geronimi : "Nous avions annoncé quelqu'un qui devait avoir de l'expérience mais aussi de la fraîcheur, un enthousiasme nouveau. Bref il fallait faire vite et être prudent. Mais lorsque en conseil d'administration nous avons parlé de Makelele le choix a été vite fait."
Une rencontre plus tard, les deux hommes formalisaient leur accord fruit "d'intérêts convergents" puisque Makelele voulait entraîner et que le Sporting était à la recherche d'un homme nouveau.
Une rencontre "entre hommes" au "feeling" comme l'a dit Pierre-Marie Geronimi mais une rencontre sur laquelle Makelele et le club fondent de gros espoirs.
"Aujourd'hui quand l'on voit le CV de Makelele et le palmarès de Tholot, je pense que nous ne sommes pas trompés. Nous sommes très fiers de cette double arrivée".
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