"Le changement c’est maintenant ! Il avait fallu un peu plus de deux ans aux électeurs de François Hollande pour s’apercevoir qu’ils avaient été trompés.
Le renouvellement c’est maintenant ! Il aura fallu quelques jours seulement aux marcheurs d’Emmanuel Macron et à ceux qui lui ont accordé leur suffrage pour se retrouver devant ce qui constitue en soi une sorte d’imposture.
Car comment qualifier autrement l’investiture dans les quatre circonscriptions de Corse de quatre piliers du système giacobbiste, par un candidat, aujourd’hui Président de la République, qui s’était fait pendant la campagne électorale le chantre du renouvellement et de la rupture avec un système politique rejeté par les français.
Une décision d’autant plus étonnante qu’il y a un peu plus d’un an, le système auquel les candidats d’En Marche ont participé aux premières loges a été sèchement rejeté par les corses, pendant qu’un procès retentissant révélait sa nature et que la justice infligeait à leur chef de file une condamnation particulièrement sévère.
Visiblement cette rupture-là, qui n’a pas attendu que le candidat d’En Marche en entame le prêche à travers la France, lui avait échappé.
C’est un signal très préoccupant qui vient d’être envoyé à la Corse, et singulièrement à la jeunesse, qui ne peut qu’inquiéter celles et ceux qui sont décidés, singulièrement à gauche, à tourner définitivement la page d’un clientélisme et d’un cynisme politique qui a trop longtemps asservi les corses et abaissé la Corse.
Pour notre part nous nous opposerons de manière déterminée à la politique que laisse présager cette décision, et nous appelons toutes celles et tous ceux qui, dans le camp progressiste, sont révoltés par ces procédés à les rejeter sans états d’âme"
Le renouvellement c’est maintenant ! Il aura fallu quelques jours seulement aux marcheurs d’Emmanuel Macron et à ceux qui lui ont accordé leur suffrage pour se retrouver devant ce qui constitue en soi une sorte d’imposture.
Car comment qualifier autrement l’investiture dans les quatre circonscriptions de Corse de quatre piliers du système giacobbiste, par un candidat, aujourd’hui Président de la République, qui s’était fait pendant la campagne électorale le chantre du renouvellement et de la rupture avec un système politique rejeté par les français.
Une décision d’autant plus étonnante qu’il y a un peu plus d’un an, le système auquel les candidats d’En Marche ont participé aux premières loges a été sèchement rejeté par les corses, pendant qu’un procès retentissant révélait sa nature et que la justice infligeait à leur chef de file une condamnation particulièrement sévère.
Visiblement cette rupture-là, qui n’a pas attendu que le candidat d’En Marche en entame le prêche à travers la France, lui avait échappé.
C’est un signal très préoccupant qui vient d’être envoyé à la Corse, et singulièrement à la jeunesse, qui ne peut qu’inquiéter celles et ceux qui sont décidés, singulièrement à gauche, à tourner définitivement la page d’un clientélisme et d’un cynisme politique qui a trop longtemps asservi les corses et abaissé la Corse.
Pour notre part nous nous opposerons de manière déterminée à la politique que laisse présager cette décision, et nous appelons toutes celles et tous ceux qui, dans le camp progressiste, sont révoltés par ces procédés à les rejeter sans états d’âme"