C’est sous les applaudissements, acclamé par des sympathisants aux cris de « Libertà » et accompagné de son avocat, que le bâtonnier a livré quelques mots à la presse remerciant ceux qui l’ont soutenu jusque-là et se disant "révolté" par sa mise en examen et cette atteinte à ses idées politiques.
Louis Bujoli bâtonnier par délégation lui a remis les clefs du bureau du conseil de l’ordre dès son arrivée dans le hall de l’aéroport.
Me Ferrari, qui a gardé le silence devant le juge anti-terroriste Antoine Gaudino, a été mis en examen vendredi à la suite d’un arsenal trouvé en décembre 2013 dans un box appartement à un proche de sa famille et dans le cadre de l’enquête sur des attaques à la roquette des casernes de gendarmerie d’Ajaccio et Bastia.
Deux personnes toujours en garde à vue devaient passer devant le même juge dans le courant de journée.
Louis Bujoli bâtonnier par délégation lui a remis les clefs du bureau du conseil de l’ordre dès son arrivée dans le hall de l’aéroport.
Me Ferrari, qui a gardé le silence devant le juge anti-terroriste Antoine Gaudino, a été mis en examen vendredi à la suite d’un arsenal trouvé en décembre 2013 dans un box appartement à un proche de sa famille et dans le cadre de l’enquête sur des attaques à la roquette des casernes de gendarmerie d’Ajaccio et Bastia.
Deux personnes toujours en garde à vue devaient passer devant le même juge dans le courant de journée.
La déclaration de Me Ferrari à son arrivée à Ajaccio
La déclaration de Me Ferrari à son arrivée à Ajaccio (2.1 Mo)
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