Petit matin frisquet dans la vallée de la Cinarca. C’est mouillé et le ciel est menaçant. Les pilotes ont d’ores et déjà fait leur choix au niveau des pneumatiques et la plage du Liamone n’incite guère à la baignade. Les yeux rivés au ciel, les équipages attendent leur tour sur une ligne de départ noire de monde. Sur les 29 kilomètres d’un parcours semé d’embuches, ils vont se heurter à quelques difficultés propres aux routes de l’intérieur. Portions courtes, souvent bosselées, sinueuses, longues enfilades et un final en descente vers Sarrola-Carcopino où les pilotes peuvent enfin donner libre cours à leur talent.
Ogier et Kubica premiers leaders
A ce petit jeu de l’attaque, c’est Ogier qui réalise la meilleure avec un temps de19’44’’ que réalisera peu après Robert Kubica, l’ancien pilote de Formule 1. Deux leaders sur la première épreuve chronométrée du Tour, voilà qui est rassurant pour la bagarre que vont se livrer le champion du monde 2015 et ses petits copains tout au long de ces trois journée d’attaque. Latvala termine troisième à 5 secondes, suivi de Sordo à 12’’ Ostberg à 14’’, Evans et Abbring à 16 et 24 secondes. Meeké, Mikkelsen et Sarrazin complètent le top ten de cette spéciale où l’on retrouve des animateurs tels Prokop, Tanak, Lefebvre et Bouffier. Jean-Mathieu Leandri est le premier insulaire et pointe à la 29e place à 1’47’’ des leaders, suivi de Trojani, Pierre-Louis Loubet (belle perf) et Martini.
A noter l’arrêt brusque de Thierry Neuville, peu après le départ. Le vice-champion du monde 2013 et vainqueur du Tour de Corse 2011 a heurté un pont au passage et a perdu de nombreuses minutes voire plus en essayant de réparer…
Routes dégradées, l’épreuve 2 annulée
Au sortir de Sarrola, les pilotes ont aussitôt rejoint la nationale 193 pour se diriger vers Casamozza, lieu de départ de la deuxième épreuve chronométrée. Sur place, les organisateurs ont pris la sage décision d’annuler l’épreuve tant les dégâts des eaux étaient importants dans la région. Retour vers Corte pour le parc d’assistance et rendez-vous était pris pour le début de l’après-midi.
Ogier domine et crève !
Quelques rayons de soleil ci et là, un peu de brouillard et beaucoup de questions sur l’état des route de la troisième et dernière épreuve du jour entre Francardo et Sermano, 36 km et des poussières. Certainement la plus difficile de toutes, la plus sinueuse, piégeuse bien sûr qui ne pardonne pas la moindre erreur. D’autant plus qu’avec la pluie, les flaques, la terre et les pierres sur l’ensemble du parcours, cette épreuve donne l’impression de ne jamais se terminer. Un vrai juge de paix que les pilotes retrouveront le lendemain (ES 5)…l’ES 3 a été nominée Orezza, l’un des partenaires de l’épreuve. On ne pouvait rêver meilleure appellation contrôlée, car la spéciale est véritablement pétillante !
Sébastien Ogier avait pris les devant en « balayant » l’épreuve de l’après-midi et au milieu de celle-ci, il a compté jusqu’à 30 secondes d’avance sur les suivants immédiats. Au sortir d’un virage pourtant, la Polo VW a roulé sur une pierre déposée par l’orage et a éclaté une roue. C’en était fini de la victoire et de la prise du commandement de l’épreuve comme on pouvait s’y attendre. Difficile de rattraper plus d’une minute mais le champion du monde et son coéquipier ont aussitôt changé la roue crevée et repris leur route pour terminer à plus d’une minute du leader.
Elfyn Evans crève l’écran…
On s’attendait à voir Mikkelsen ou Latvala sur le podium de cette deuxième épreuve du jour, c’est Elfyn Evans qui rafle la mise avec un super chrono de 26’48’’ au terme d’une course menée avec beaucoup de brio. Evans n’est pas un inconnu, loin s’en faut. Il anime le championnat du monde depuis 2007 et a disputé une quarantaine de rallyes. Champion du monde junior de Grande-Bretagne et du monde en 2010, il a remporté la WRC Académy en 2012. Rapide et efficace, coup de volant sûr, méticuleux dans ses attaques, il a réalisé un bien joli coup hier après-midi et évité tous les pièges d’une Castagniccia semé d’embuches. Il va maintenant falloir compter avec lui dès ce matin, dans la mesure où il va retrouver cette même épreuve (ES 5) sur laquelle il a pris ses marques…
Dans ce chrono de la Castagniccia, le Britannique devance Abbring, autre pilote d’attaque, suivi de Latvala, Ostberg et Kubica, l’ancien leader. A noter les belles performances de Sarrazin, Mikkelsen, Meeke et Bouffier décidément très en verve ce dernier. Sébastien Ogier se classe à la 10e place à 1'33’’ du nouveau leader.
2e étape : Samedi matin on remet ça !
L’épreuve de Casamozza ayant été annulée en début d’après-midi sera-t-elle maintenue ce matin? C’est la question que tout le monde se posait hier à Corte. Les organisateurs ont pris une sage décision en l’annulant, compte tenu de l’état du secteur et de l’eau qui recouvrait par endroit toute la route. L’amélioration prévue dans la nuit et la levée de l’alerte orange permettront sans doute aux organisateurs de prendre une décision au lever du jour.
L’épreuve 5, « Orezza », entre Francardo et Sermano sera de nouveau d’actualité et chacun ayant pris conscience des dangers que cela représente, pourra qui sait, changer la donne. Il est certain de Sébastien Ogier sera d’attaque et voudra remettre les pendules à l’heure, ne serait-ce que pour rattraper le temps perdu la veille. Evans l’entendra-t-il ainsi ?
En début d’après midi, retour vers le centre avec Muracciole-Col de Sorba, certainement l’épreuve la plus rapide du Tour de Corse, notamment dans la montée avec son enrobé revu et corrigé. Attention aux changements de rythmes dans cette spéciale, surtout dans la descente après Vezzani et surtout le défilé de l’Inzecca.
J. F.
Ogier et Kubica premiers leaders
A ce petit jeu de l’attaque, c’est Ogier qui réalise la meilleure avec un temps de19’44’’ que réalisera peu après Robert Kubica, l’ancien pilote de Formule 1. Deux leaders sur la première épreuve chronométrée du Tour, voilà qui est rassurant pour la bagarre que vont se livrer le champion du monde 2015 et ses petits copains tout au long de ces trois journée d’attaque. Latvala termine troisième à 5 secondes, suivi de Sordo à 12’’ Ostberg à 14’’, Evans et Abbring à 16 et 24 secondes. Meeké, Mikkelsen et Sarrazin complètent le top ten de cette spéciale où l’on retrouve des animateurs tels Prokop, Tanak, Lefebvre et Bouffier. Jean-Mathieu Leandri est le premier insulaire et pointe à la 29e place à 1’47’’ des leaders, suivi de Trojani, Pierre-Louis Loubet (belle perf) et Martini.
A noter l’arrêt brusque de Thierry Neuville, peu après le départ. Le vice-champion du monde 2013 et vainqueur du Tour de Corse 2011 a heurté un pont au passage et a perdu de nombreuses minutes voire plus en essayant de réparer…
Routes dégradées, l’épreuve 2 annulée
Au sortir de Sarrola, les pilotes ont aussitôt rejoint la nationale 193 pour se diriger vers Casamozza, lieu de départ de la deuxième épreuve chronométrée. Sur place, les organisateurs ont pris la sage décision d’annuler l’épreuve tant les dégâts des eaux étaient importants dans la région. Retour vers Corte pour le parc d’assistance et rendez-vous était pris pour le début de l’après-midi.
Ogier domine et crève !
Quelques rayons de soleil ci et là, un peu de brouillard et beaucoup de questions sur l’état des route de la troisième et dernière épreuve du jour entre Francardo et Sermano, 36 km et des poussières. Certainement la plus difficile de toutes, la plus sinueuse, piégeuse bien sûr qui ne pardonne pas la moindre erreur. D’autant plus qu’avec la pluie, les flaques, la terre et les pierres sur l’ensemble du parcours, cette épreuve donne l’impression de ne jamais se terminer. Un vrai juge de paix que les pilotes retrouveront le lendemain (ES 5)…l’ES 3 a été nominée Orezza, l’un des partenaires de l’épreuve. On ne pouvait rêver meilleure appellation contrôlée, car la spéciale est véritablement pétillante !
Sébastien Ogier avait pris les devant en « balayant » l’épreuve de l’après-midi et au milieu de celle-ci, il a compté jusqu’à 30 secondes d’avance sur les suivants immédiats. Au sortir d’un virage pourtant, la Polo VW a roulé sur une pierre déposée par l’orage et a éclaté une roue. C’en était fini de la victoire et de la prise du commandement de l’épreuve comme on pouvait s’y attendre. Difficile de rattraper plus d’une minute mais le champion du monde et son coéquipier ont aussitôt changé la roue crevée et repris leur route pour terminer à plus d’une minute du leader.
Elfyn Evans crève l’écran…
On s’attendait à voir Mikkelsen ou Latvala sur le podium de cette deuxième épreuve du jour, c’est Elfyn Evans qui rafle la mise avec un super chrono de 26’48’’ au terme d’une course menée avec beaucoup de brio. Evans n’est pas un inconnu, loin s’en faut. Il anime le championnat du monde depuis 2007 et a disputé une quarantaine de rallyes. Champion du monde junior de Grande-Bretagne et du monde en 2010, il a remporté la WRC Académy en 2012. Rapide et efficace, coup de volant sûr, méticuleux dans ses attaques, il a réalisé un bien joli coup hier après-midi et évité tous les pièges d’une Castagniccia semé d’embuches. Il va maintenant falloir compter avec lui dès ce matin, dans la mesure où il va retrouver cette même épreuve (ES 5) sur laquelle il a pris ses marques…
Dans ce chrono de la Castagniccia, le Britannique devance Abbring, autre pilote d’attaque, suivi de Latvala, Ostberg et Kubica, l’ancien leader. A noter les belles performances de Sarrazin, Mikkelsen, Meeke et Bouffier décidément très en verve ce dernier. Sébastien Ogier se classe à la 10e place à 1'33’’ du nouveau leader.
2e étape : Samedi matin on remet ça !
L’épreuve de Casamozza ayant été annulée en début d’après-midi sera-t-elle maintenue ce matin? C’est la question que tout le monde se posait hier à Corte. Les organisateurs ont pris une sage décision en l’annulant, compte tenu de l’état du secteur et de l’eau qui recouvrait par endroit toute la route. L’amélioration prévue dans la nuit et la levée de l’alerte orange permettront sans doute aux organisateurs de prendre une décision au lever du jour.
L’épreuve 5, « Orezza », entre Francardo et Sermano sera de nouveau d’actualité et chacun ayant pris conscience des dangers que cela représente, pourra qui sait, changer la donne. Il est certain de Sébastien Ogier sera d’attaque et voudra remettre les pendules à l’heure, ne serait-ce que pour rattraper le temps perdu la veille. Evans l’entendra-t-il ainsi ?
En début d’après midi, retour vers le centre avec Muracciole-Col de Sorba, certainement l’épreuve la plus rapide du Tour de Corse, notamment dans la montée avec son enrobé revu et corrigé. Attention aux changements de rythmes dans cette spéciale, surtout dans la descente après Vezzani et surtout le défilé de l’Inzecca.
J. F.
1 | 5 | Elfyn EVANS | 46:48.5 | ||
2 | 10 | Kevin ABBRING | 47:07.2 | +18.7 | +18.7 |
3 | 2 | Jari-Matti LATVALA | 47:11.4 | +4.2 | +22.9 |
4 | 4 | Mads OSTBERG | 47:27.3 | +15.9 | +38.8 |
5 | 14 | Robert KUBICA | 47:28.8 | +1.5 | +40.3 |
6 | 22 | Stephane SARRAZIN | 47:31.6 | +2.8 | +43.1 |
7 | 9 | Andreas MIKKELSEN | 47:33.0 | +1.4 | +44.5 |
8 | 3 | Kris MEEKE | 47:35.5 | +2.5 | +47.0 |
9 | 15 | Bryan BOUFFIER | 47:53.3 | +17.8 | +1:04.8 |
10 | 1 | Sebastien OGIER | 48:01.7 | +8.4 | +1:13.2 |
11 | 20 | Hayden PADDON | 48:03.4 | +1.7 | +1:14.9 |
12 | 6 | Ott TANAK | 48:04.4 | +1.0 | +1:15.9 |
13 | 12 | Stephane LEFEBVRE | 48:28.4 | +24.0 | +1:39.9 |
14 | 8 | Dani SORDO | 48:45.1 | +16.7 | +1:56.6 |
15 | 21 | Martin PROKOP | 49:03.7 | +18.6 | +2:15.2 |
16 | 43 | Craig BREEN | 49:13.2 | +9.5 | +2:24.7 |
17 | 44 | Julien MAURIN | 49:16.6 | +3.4 | +2:28.1 |
18 | 38 | Esapekka LAPPI | 49:23.4 | +6.8 | +2:34.9 |
19 | 40 | Armin KREMER | 49:36.5 | +13.1 | +2:48.0 |
20 | 42 | Eric CAMILLI | 49:56.8 | +20.3 | +3:08.3 |
21 | 24 | Romain DUMAS | 50:21.6 | +24.8 | +3:33.1 |
22 | 45 | Teemu SUNINEN | 50:33.7 | +12.1 | +3:45.2 |
23 | 25 | Francois DELECOUR | 50:34.3 | +0.6 | +3:45.8 |
24 | 84 | Yurii PROTASOV | 51:39.9 | +1:05.6 | +4:51.4 |
25 | 81 | Pascal TROJANI | 51:57.2 | +17.3 | +5:08.7 |
26 | 50 | Jonathan HIRSCHI | 52:08.0 | +10.8 | +5:19.5 |
27 | 83 | Jean-Mathieu LEANDRI | 52:09.6 | +1.6 | +5:21.1 |
28 | 37 | Lorenzo BERTELLI | 52:13.1 | +3.5 | +5:24.6 |
29 | 57 | Yohan ROSSEL | 52:17.7 | +4.6 | +5:29.2 |
30 | 52 | Simone TEMPESTINI | 52:34.4 | +16.7 | +5:45.9 |
31 | 92 | Jean-Paul VILLA | 52:35.6 | +1.2 | +5:47.1 |
32 | 58 | Terry FOLB | 52:40.4 | +4.8 | +5:51.9 |
33 | 105 | Pierre CAMPANA | 52:46.8 | +6.4 | +5:58.3 |
34 | 60 | Quentin GILBERT | 52:48.1 | +1.3 | +5:59.6 |
35 | 82 | Frederic RAYNAL | 53:00.0 | +11.9 | +6:11.5 |
36 | 77 | Andrea CRUGNOLA | 53:11.0 | +11.0 | +6:22.5 |
37 | 53 | Ole Christian VEIBY | 53:43.0 | +32.0 | +6:54.5 |
38 | 76 | Jean-Philippe MARTINI | 53:57.7 | +14.7 | +7:09.2 |
39 | 98 | Raphael ASTIER | 54:00.8 | +3.1 | +7:12.3 |
40 | 70 | Jordan BERFA | 54:19.5 | +18.7 | +7:31.0 |
41 | 93 | Christophe CASANOVA | 54:29.0 | +9.5 | +7:40.5 |
42 | 86 | Jean-François MARCHI | 54:31.1 | +2.1 | +7:42.6 |
43 | 101 | Eric MATHIEU | 54:52.3 | +21.2 | +8:03.8 |
44 | 63 | Frederico DELLA CASSA | 54:55.9 | +3.6 | +8:07.4 |
45 | 33 | Max RENDINA | 55:13.7 | +17.8 | +8:25.2 |
46 | 65 | Pierre-Louis LOUBET | 55:14.3 | +0.6 | +8:25.8 |
47 | 73 | Nil SOLANS | 55:49.1 | +34.8 | +9:00.6 |
48 | 107 | Marvin SORIN | 55:49.3 | +0.2 | +9:00.8 |
49 | 74 | Joan CARCHAT | 55:49.5 | +0.2 | +9:01.0 |
50 | 51 | Charlotte DALMASSO | 55:53.9 | +4.4 | +9:05.4 |
51 | 55 | Mohammed AL MUTAWAA | 56:34.4 | +40.5 | +9:45.9 |
52 | 66 | Jean-Rene PERRY | 56:37.3 | +2.9 | +9:48.8 |
53 | 106 | Benoit VAILLANT | 56:39.6 | +2.3 | +9:51.1 |
54 | 35 | Jourdan SERDERIDIS | 57:40.1 | +1:00.5 | +10:51.6 |
55 | 90 | Romain MARTEL | 59:10.8 | +1:30.7 | +12:22.3 |
56 | 109 | Eric FILIPPI | 59:20.4 | +9.6 | +12:31.9 |
57 | 99 | Olivier PONTHIEU | 59:32.5 | +12.1 | +12:44.0 |
58 | 88 | Christian CROZET | 1:00:03.3 | +30.8 | +13:14.8 |
59 | 97 | Francois PERROUSE | 1:00:32.3 | +29.0 | +13:43.8 |
60 | 94 | Jean-Yves PANAGIOTIS | 1:03:03.8 | +2:31.5 | +16:15.3 |
61 | 102 | Didier PLANFORET | 1:04:07.8 | +1:04.0 | +17:19.3 |
62 | 71 | Alain FOULON | 1:04:21.0 | +13.2 | +17:32.5 |
Ils ont dit…
Le pont près de Casaglione a fait deux victimes: le Belge Thierry Neuville et l'équipage cprse Paoli-garcia
Le grand perdant de la spéciale d’Orezza est Sébastien Ogier. Le pilote VW, victime d’une crevaison lente, a dû s’arrêter dans le chrono pour changer de roue. Cette ES3 chamboule le classement général et permet à Evans de se porter en tête du Tour de Corse. Le pilote Ford précède Abbring de 18 sec 7dixièmes et Jari-Matti Latvala de 22sec 9 dixièmes. Sébastien Ogier rétrograde en dixième position, à 1min13sec 2dixièmes du leader.
1. OGIER/INGRASSIA :
« On se doutait que cette spéciale serait une loterie. Nous avons été victimes d’une crevaison lente à l’arrière gauche. Je n’ai rien touché. J’ai continué à rouler avant de devoir me résoudre à changer la roue. Je n’ai pas pris de risques. J’étais plutôt en mode survie avec toutes ces pierres sur la route. »
2. LATVALA/ANTTILA :
« Cette spéciale était piégeuse, très exigeante, un peu comme au Monte-Carlo. J’ai été très prudent car je ne voulais pas perdre du temps sur un incident. C’était quand même très sympa. »
9. MIKKELSEN/FLOENE :
« Je n’avais pas de sensations avec les freins et ce n’est pas vraiment idéal sur une telle spéciale pour se sentir en confiance. Le fait que ceux qui ont plus d’expérience que moi sur ce terrain aient rencontré des problèmes confirme que c’était très difficile... »
4. OSTBERG/ANDERSSON :
« Je ne sais pas si j’ai roulé sur un bon ou un mauvais rythme… »
3. MEEKE/NAGLE :
« C’est une spéciale très difficile, un peu comme au Monte-Carlo quand on n’a pas les bons pneus. J’ai eu quelques petites coupures moteur. Cela m’a rendu très nerveux. Cela ne s’est finalement pas trop mal passé. »
5. EVANS/BARRITT :
« Je ne pensais pas faire un aussi bon chrono et me retrouver ce soir leader de la course. C’était très difficile car il y avait beaucoup de changements d’adhérence mais les ouvreurs ont fait du bon boulot. Cela m’a bien aidé. Je suis surpris de mon temps même si je pensais avoir bien roulé. »
6. TANAK/MOLDER :
« Il y avait beaucoup d’eau sur la route et ce n’est jamais réconfortant d’évoluer dans de telles conditions. J’ai quand même essayé d’être prudent mais cela ne nous mettait pas à l’abri pour autant. »
20. PADDON/KENNARD :
« Nous avons tapé une gosse pierre à la fin de la spéciale dans un virage à droite. J’ai eu de la chance de ne pas crever mais la jante droite est endommagée. Il y’avait donc de grosses vibrations dans le volant. J’ai également fait un deux roues. Je suis content d’être à l’arrivée ! »
8. SORDO/MARTI :
« Il y avait beaucoup de flaques d’eau au début de la spéciale. J’ai effleuré un rocher en prenant une corde. Je n’ai même pas crevé mais la jante avant gauche a été endommagée. Il a fallu que je m’arrête pour changer le pneu. Après c’était bien. Difficile mais intéressant. C’est dommage car il y’avait un coup à jouer dans cette spéciale que j’apprécie beaucoup. »
21. PROKOP/TOMANEK :
« Les conditions étaient très compliquées. Je me suis fait des frayeurs tout le long. C’est normal que tous les pilotes se plaignent. »
14. KUBICA/SZCZEPANIAK :
« Pour rouler vite dans ces conditions, il fallait vraiment être en confiance.» A noter qu’il termine la spéciale avec une grosse entaille sur la bande latérale du pneu avant gauche.
12. LEFEBVRE/PREVOT :
« C’était très difficile. Je n’ai pas roulé. Je n’ai jamais vu ça, même au Rallye du Touquet ! Entre notre passage et celui des ouvreurs l’état de la route a beaucoup évolué. Pour une première fois dans de telles conditions, au volant d’une WRC, ce n’était vraiment pas facile. »
37. BERTELLI/GRANAI :
« Je me suis fait une frayeur sur un virage glissant. Dès lors, je me suis contenté de finir la spéciale. »
10. ABBRING/MARSHALL :
« Je savais que j’avais un bon rythme dans les 20 premiers kilomètres. J’ai tout de même veillé à rester très prudent. Nous avons fait quelques ajustements à l’assistance à midi. J’ai un bon feeling avec la voiture et nos notes sont bonnes. Je ne veux pas être trop enthousiaste. Je me fie aux notes et ça marche. »
15. BOUFFIER/DE LA HAYE :
« J’ai roulé plus en confiance que dans la première spéciale de la journée. C’est tellement étroit et piégeux que tu ne peux pas vraiment te lâcher. »
22. SARRAZIN/RENUCCI :
« Incroyable ! Ce n’était plus des coulées d’eau mais des rivières qui traversaient la route ! Je viens de m’apercevoir que la barre anti roulis est cassée. Je ne m’en étais pas rendu compte avant mais maintenant je comprends mieux pourquoi la voiture survirait en fin de spéciale. »
25. DELECOUR/DE CASTELLI :
« C’est à coup sûr l’une des spéciales les plus difficiles de l’année. Il y avait beaucoup de boue, la route était entièrement pommadée. »
24. DUMAS/GIRAUDET :
« J’ai cassé la boîte de vitesses mais j’en ai une autre que nous pourrons changer à l’assistance. Rouler dans ces conditions, sans ouvreur, c’est du grand n’importe quoi ! »
1. OGIER/INGRASSIA :
« On se doutait que cette spéciale serait une loterie. Nous avons été victimes d’une crevaison lente à l’arrière gauche. Je n’ai rien touché. J’ai continué à rouler avant de devoir me résoudre à changer la roue. Je n’ai pas pris de risques. J’étais plutôt en mode survie avec toutes ces pierres sur la route. »
2. LATVALA/ANTTILA :
« Cette spéciale était piégeuse, très exigeante, un peu comme au Monte-Carlo. J’ai été très prudent car je ne voulais pas perdre du temps sur un incident. C’était quand même très sympa. »
9. MIKKELSEN/FLOENE :
« Je n’avais pas de sensations avec les freins et ce n’est pas vraiment idéal sur une telle spéciale pour se sentir en confiance. Le fait que ceux qui ont plus d’expérience que moi sur ce terrain aient rencontré des problèmes confirme que c’était très difficile... »
4. OSTBERG/ANDERSSON :
« Je ne sais pas si j’ai roulé sur un bon ou un mauvais rythme… »
3. MEEKE/NAGLE :
« C’est une spéciale très difficile, un peu comme au Monte-Carlo quand on n’a pas les bons pneus. J’ai eu quelques petites coupures moteur. Cela m’a rendu très nerveux. Cela ne s’est finalement pas trop mal passé. »
5. EVANS/BARRITT :
« Je ne pensais pas faire un aussi bon chrono et me retrouver ce soir leader de la course. C’était très difficile car il y avait beaucoup de changements d’adhérence mais les ouvreurs ont fait du bon boulot. Cela m’a bien aidé. Je suis surpris de mon temps même si je pensais avoir bien roulé. »
6. TANAK/MOLDER :
« Il y avait beaucoup d’eau sur la route et ce n’est jamais réconfortant d’évoluer dans de telles conditions. J’ai quand même essayé d’être prudent mais cela ne nous mettait pas à l’abri pour autant. »
20. PADDON/KENNARD :
« Nous avons tapé une gosse pierre à la fin de la spéciale dans un virage à droite. J’ai eu de la chance de ne pas crever mais la jante droite est endommagée. Il y’avait donc de grosses vibrations dans le volant. J’ai également fait un deux roues. Je suis content d’être à l’arrivée ! »
8. SORDO/MARTI :
« Il y avait beaucoup de flaques d’eau au début de la spéciale. J’ai effleuré un rocher en prenant une corde. Je n’ai même pas crevé mais la jante avant gauche a été endommagée. Il a fallu que je m’arrête pour changer le pneu. Après c’était bien. Difficile mais intéressant. C’est dommage car il y’avait un coup à jouer dans cette spéciale que j’apprécie beaucoup. »
21. PROKOP/TOMANEK :
« Les conditions étaient très compliquées. Je me suis fait des frayeurs tout le long. C’est normal que tous les pilotes se plaignent. »
14. KUBICA/SZCZEPANIAK :
« Pour rouler vite dans ces conditions, il fallait vraiment être en confiance.» A noter qu’il termine la spéciale avec une grosse entaille sur la bande latérale du pneu avant gauche.
12. LEFEBVRE/PREVOT :
« C’était très difficile. Je n’ai pas roulé. Je n’ai jamais vu ça, même au Rallye du Touquet ! Entre notre passage et celui des ouvreurs l’état de la route a beaucoup évolué. Pour une première fois dans de telles conditions, au volant d’une WRC, ce n’était vraiment pas facile. »
37. BERTELLI/GRANAI :
« Je me suis fait une frayeur sur un virage glissant. Dès lors, je me suis contenté de finir la spéciale. »
10. ABBRING/MARSHALL :
« Je savais que j’avais un bon rythme dans les 20 premiers kilomètres. J’ai tout de même veillé à rester très prudent. Nous avons fait quelques ajustements à l’assistance à midi. J’ai un bon feeling avec la voiture et nos notes sont bonnes. Je ne veux pas être trop enthousiaste. Je me fie aux notes et ça marche. »
15. BOUFFIER/DE LA HAYE :
« J’ai roulé plus en confiance que dans la première spéciale de la journée. C’est tellement étroit et piégeux que tu ne peux pas vraiment te lâcher. »
22. SARRAZIN/RENUCCI :
« Incroyable ! Ce n’était plus des coulées d’eau mais des rivières qui traversaient la route ! Je viens de m’apercevoir que la barre anti roulis est cassée. Je ne m’en étais pas rendu compte avant mais maintenant je comprends mieux pourquoi la voiture survirait en fin de spéciale. »
25. DELECOUR/DE CASTELLI :
« C’est à coup sûr l’une des spéciales les plus difficiles de l’année. Il y avait beaucoup de boue, la route était entièrement pommadée. »
24. DUMAS/GIRAUDET :
« J’ai cassé la boîte de vitesses mais j’en ai une autre que nous pourrons changer à l’assistance. Rouler dans ces conditions, sans ouvreur, c’est du grand n’importe quoi ! »
Classement après ES3 (fin étape 1)
1. Evans/Barrit (M-Sport World Rally Team, Ford Fiesta WRC) en 46mn48s
- Abbring/Marshall (Hyundai Motorsport N, Hyundai i20 WRC) à 18s7
- Latvala/Anttila (Volkswagen Motorsport, Volkswagen Polo R WRC) à 22s
- Ostberg/Andersson (Citroën Total Abu Dhabi World Rally Team,Citroën DS3 WRC) à 38s8
- Kubica/Szczepaniak (Robert Kubica World Rally Team, Ford Fiesta WRC) à 40s3
- Sarrazin/Renucci (Ford Fiesta WRC) à 43s1
- Mikkelsen/Floene (Volkswagen Motorsport II, Volkswagen Polo R WRC) à 44s5
- Meeke/Nagle (Citroën Total Abu Dhabi World Rally Team,Citroën DS3 WRC) à 47s0
- Bouffier/De La Haye (M-Sport World Rally Team, Ford Fiesta WRC) à 1mn04s8
- Ogier/Ingrassia ((Volkswagen Motorsport, Volkswagen Polo R WRC) à 1mn13s2