Le FC Bastelicaccia poursuit son apprentissage d'un niveau qu'il découvre.
Samedi, sur la pelouse de son stade Pierre-Benielli, il a mesuré, une fois encore, combien le réalisme constitue une carte importante dans le football moderne. Ce, quelque soit le niveau où l'on évolue.
Bien rentrés dans leur match, les partenaires de Baquet, qui recevaient Villefranche, ouvraient logiquement le score par Alessandri de la tête sur corner (27e).
Un avantage logique à la pause et qui pu être doublé à l'heure de jeu sur un pénalty consécutif à une faute sur Alessandri. mais Baquet voyait son tir repoussé par le portier visiteur.
Dommage car une dizaine de minutes pus tard, les Azuréens égalisaient sur coup franc. Et prenaient les devants à quelques minutes du coup de sifflet final (1-2).
Cruel mais le FCB concède, là, et après Saint-Rémy et le Gallia, de nouveaux points en ayant longtemps mené au score.
C'est le dur apprentissage de la N3
Samedi, sur la pelouse de son stade Pierre-Benielli, il a mesuré, une fois encore, combien le réalisme constitue une carte importante dans le football moderne. Ce, quelque soit le niveau où l'on évolue.
Bien rentrés dans leur match, les partenaires de Baquet, qui recevaient Villefranche, ouvraient logiquement le score par Alessandri de la tête sur corner (27e).
Un avantage logique à la pause et qui pu être doublé à l'heure de jeu sur un pénalty consécutif à une faute sur Alessandri. mais Baquet voyait son tir repoussé par le portier visiteur.
Dommage car une dizaine de minutes pus tard, les Azuréens égalisaient sur coup franc. Et prenaient les devants à quelques minutes du coup de sifflet final (1-2).
Cruel mais le FCB concède, là, et après Saint-Rémy et le Gallia, de nouveaux points en ayant longtemps mené au score.
C'est le dur apprentissage de la N3
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