Depuis plus de 30 ans, le Festival International Mont-Blanc d’Humour met en lumière des rencontres théâtrales inédites. Il est aujourd’hui un rendez-vous incontournable dans le monde du rire. Cette année le Festival aura bien sûr une saveur un peu particulière et sera retransmis 100% en direct en digital. Durant toute une semaine tous les artistes seront donc réunis pour jouer sur la scène du théâtre Montjoie pendant que les spectateurs seront chez eux derrière leur écran. On peut saluer cette belle initiative de la commune de Saint-Gervais, organisatrice de l’événement, qui a décidé de s’adapter au contexte et de déployer des moyens techniques exceptionnels pour garantir la levée de rideau de cette 37ème édition et montrer ainsi à travers les artistes que la culture et le spectacle vivant sont bien …. Vivants.
Parmi ceux-ci, cette année, Julien Santini. Né à Bastia dans les années 80, il a eu bien tôt des envies de conquête. A 17 ans il quitte la Corse pour intégrer le cours Myriade, une école d’art dramatique à Lyon. Mais après quelques années à interpréter des classiques, Julien Santini ne s’y retrouve pas et décide d’arrêter. Il deviendra fonctionnaire «pour le plus grand plaisir de mes parents » dit-il.
« Après dix ans passés dans les geôles de la fonction publique, années au cours desquels j’ai écrit, en 2015, un roman «La vie, les femmes, Claude Lévi-Strauss et moi », une collègue m’a parlé du tremplin jeunes talents du festival des arts burlesques de Saint-Étienne ». Julien s’y inscrit et gagne !
S’en suit le démarrage sur les scènes lyonnaises qui permettent très rapidement à son
talent d’être révélé au grand public local. Avec «Loser magnifique», il s’attaque désormais au territoire national à l’instar de son illustre compatriote insulaire qu'il admire, Eric Fraticelli.
Parmi ceux-ci, cette année, Julien Santini. Né à Bastia dans les années 80, il a eu bien tôt des envies de conquête. A 17 ans il quitte la Corse pour intégrer le cours Myriade, une école d’art dramatique à Lyon. Mais après quelques années à interpréter des classiques, Julien Santini ne s’y retrouve pas et décide d’arrêter. Il deviendra fonctionnaire «pour le plus grand plaisir de mes parents » dit-il.
« Après dix ans passés dans les geôles de la fonction publique, années au cours desquels j’ai écrit, en 2015, un roman «La vie, les femmes, Claude Lévi-Strauss et moi », une collègue m’a parlé du tremplin jeunes talents du festival des arts burlesques de Saint-Étienne ». Julien s’y inscrit et gagne !
S’en suit le démarrage sur les scènes lyonnaises qui permettent très rapidement à son
talent d’être révélé au grand public local. Avec «Loser magnifique», il s’attaque désormais au territoire national à l’instar de son illustre compatriote insulaire qu'il admire, Eric Fraticelli.
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