D’abord à Monticello où Joseph Mattei, maire de la commune et son prédécesseur et père Hyacinthe Mattei, les attendaient. La petite Marie Ferreri, 7 ans, de la classe de CE1, faisait honneur de sa présence et accompagnait Monsieur le Maire et Monsieur Christian Veri, correspondant militaire de la mairie, tissant ainsi un lien intergénérationnel nécessaire à la transmission du savoir et de l’Histoire.
S’en suivait une minute de silence émouvante, ponctuée par un vol de milans veillant la statut du soldat inconnu dans un ciel bleu immaculé.
Une halte ensuite pour honorer les morts de la commune de Santa Reparata di Balagna orchestrée par Pierre Poli, vice-président de la Communauté de Communes, Toussaint Fondacci, premier adjoint, Jean-François Saveilli, 2ème adjoint.
Ceci avant de poursuivre la matinée à Nessa, où les attendaient Monsieur Michel Nobili, Maire, Monique Réty, 1ère adjointe et Charles Genis, 2ème Adjoint. Un apéritif offert à la population clôturait la matinée sur le parvis de la mairie, sous un soleil radieux.
La FNACA, selon son vœu d’être au plus près des anciens combattants, aimerait répondre à la demande d’autres villages pour être présente aux prochaines commémorations. Tout reste une question de planification des cérémonies, à étaler sur la journée peut-être.
Claude Pianne, vice-président de la FNACA : « Il est important que ces journées de commémorations ne tombent pas dans la catégorie des « jours fériés » sans que plus personne ne sache vraiment pourquoi.
Un travail en amont avec les écoles pourraient sans doute amener les élèves à mieux comprendre cette journée et pourquoi pas, à être présents, comme par le passé, avec leurs parents, aux journées commémoratives. Nous réfléchissons déjà à la commémoration du centenaire et à l’investissement plus marqué des jeunes au cours de cette journée historique que sera le 11 novembre 2018. »
Aujourd’hui, les années passant, ce sont les anciens combattants des guerres de colonies qui entretiennent ces pages d’Histoire. Qui reprendra le flambeau ensuite ? Peut-être qu’une réflexion commune aux deux ministères que sont l’Armée et l’Éducation Nationale pourrait répondre à cette question. À moins que le temps continue d’effacer le passé, que les villages oublient, que les Hommes oublient, ne laissant plus aux morts pour la Paix, qu’une petite place résumant des années de guerres dans quelques pages d’un livre d’Histoire.
S’en suivait une minute de silence émouvante, ponctuée par un vol de milans veillant la statut du soldat inconnu dans un ciel bleu immaculé.
Une halte ensuite pour honorer les morts de la commune de Santa Reparata di Balagna orchestrée par Pierre Poli, vice-président de la Communauté de Communes, Toussaint Fondacci, premier adjoint, Jean-François Saveilli, 2ème adjoint.
Ceci avant de poursuivre la matinée à Nessa, où les attendaient Monsieur Michel Nobili, Maire, Monique Réty, 1ère adjointe et Charles Genis, 2ème Adjoint. Un apéritif offert à la population clôturait la matinée sur le parvis de la mairie, sous un soleil radieux.
La FNACA, selon son vœu d’être au plus près des anciens combattants, aimerait répondre à la demande d’autres villages pour être présente aux prochaines commémorations. Tout reste une question de planification des cérémonies, à étaler sur la journée peut-être.
Claude Pianne, vice-président de la FNACA : « Il est important que ces journées de commémorations ne tombent pas dans la catégorie des « jours fériés » sans que plus personne ne sache vraiment pourquoi.
Un travail en amont avec les écoles pourraient sans doute amener les élèves à mieux comprendre cette journée et pourquoi pas, à être présents, comme par le passé, avec leurs parents, aux journées commémoratives. Nous réfléchissons déjà à la commémoration du centenaire et à l’investissement plus marqué des jeunes au cours de cette journée historique que sera le 11 novembre 2018. »
Aujourd’hui, les années passant, ce sont les anciens combattants des guerres de colonies qui entretiennent ces pages d’Histoire. Qui reprendra le flambeau ensuite ? Peut-être qu’une réflexion commune aux deux ministères que sont l’Armée et l’Éducation Nationale pourrait répondre à cette question. À moins que le temps continue d’effacer le passé, que les villages oublient, que les Hommes oublient, ne laissant plus aux morts pour la Paix, qu’une petite place résumant des années de guerres dans quelques pages d’un livre d’Histoire.