« Nous avons voulu témoigner, en toute simplicité, notre amour pour notre identité » souligne Roland Frias qui avec son amie Maela a regroupé autour de lui des artistes originaires de Corse, Bretagne, Pays Basque, Occitanie, La Réunion, Pays Catalans et d’Alsace. Ensemble ils ont repris le titre de Julien Doré, « Nous », chacun dans sa langue avec un superbe accompagnement guitare-harpe.
«Cette chanson illustre parfaitement le message que nous avions à cœur de partager. En France, on dénombre environ 75 langues régionale comme le Corse, le Breton, le Créole, l’Alsacien, le Catalan, l’Occitan ou encore le Basque … Pour nous la transmission est une notion fondamentale pour la pérennité de chacune d’entre elles. À cet effet, l’enseignement immersif se révèle un outil essentiel. La diversité, on le sait, est source de richesse. Nos langues régionales sont un trésor dont la valeur est inestimable ».
Après la censure par le Conseil Constitutionnel de la Loi Molac (prônant notamment le développement de l’enseignement immersif de ces langues dites minoritaires), adoptée pourtant par l’Assemblée Nationale et par le Sénat, un collectif «Pour Que Vivent Nos Langues» s’était créé pour dénoncer cette censure. Aujourd’hui, elle est dénoncée en chanson par Roland Frias et ses amis : Enora De Parscau (breton), Floréal Vaquerin, Ramon Faura-Labat, Lucie Jane et Maëlle Rouifed (catalan), Audrey Brouhan (créole), Florian Bauer et Pierre Specker (alsacien) et Kriolinak taldea (basque)…
*Le Clip en entier
«Cette chanson illustre parfaitement le message que nous avions à cœur de partager. En France, on dénombre environ 75 langues régionale comme le Corse, le Breton, le Créole, l’Alsacien, le Catalan, l’Occitan ou encore le Basque … Pour nous la transmission est une notion fondamentale pour la pérennité de chacune d’entre elles. À cet effet, l’enseignement immersif se révèle un outil essentiel. La diversité, on le sait, est source de richesse. Nos langues régionales sont un trésor dont la valeur est inestimable ».
Après la censure par le Conseil Constitutionnel de la Loi Molac (prônant notamment le développement de l’enseignement immersif de ces langues dites minoritaires), adoptée pourtant par l’Assemblée Nationale et par le Sénat, un collectif «Pour Que Vivent Nos Langues» s’était créé pour dénoncer cette censure. Aujourd’hui, elle est dénoncée en chanson par Roland Frias et ses amis : Enora De Parscau (breton), Floréal Vaquerin, Ramon Faura-Labat, Lucie Jane et Maëlle Rouifed (catalan), Audrey Brouhan (créole), Florian Bauer et Pierre Specker (alsacien) et Kriolinak taldea (basque)…
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