"Dans son intervention du 6 juin devant les élus de l’Assemblée de Corse, le président Giacobbi a fait part de ses fortes divergences avec le Gouvernement en matière de langue corse et a élargi le débat en constatant que la France a « une sorte d’intolérance à la diversité et à l’identité de ses régions ».
Ces mots rappellent singulièrement ceux prononcés par Marine Le Pen le 17 mars 2012 à Ajaccio, dans le cadre de la campagne présidentielle.
Saluant « la résistance des Corses à la culture mondialiste à travers la préservation de la langue et de la culture », Marine Le Pen a développé les thèmes fondateurs d’une démarche de sauvegarde des diversités et des identités régionales, thèmes qu’elle avait réservé pour sa venue en Corse « parce qu’il y a une résonnance particulière sur cette terre chargée d’Histoire. »
Elle annonçait deux mesures immédiates.
D’une part, la création dans chaque région de commissions d’universitaires et d’historiens chargés de concevoir des programmes d’enseignement d’Histoire régionale, « l’apprentissage de l’Histoire du territoire dans lequel on vit ou on a choisi de vivre » devenant une matière obligatoire.
D’autre part, la création d’un « Institut National de Préservation du Patrimoine…chargé de recenser et de préserver la mémoire de nos terroirs dans tous ses aspects, culturels, historiques, coutumiers et linguistiques ».
Marine Le Pen concluait ces propositions par une redéfinition plus que salutaire du concept de « diversité » en le recadrant sur « la diversité des régions et des coutumes » qui « enrichit l’âme de la France ».
Ainsi, loin de l’uniformisation réductrice d’une pensée unique que d’autres veulent imposer, le Front National cimente son unité sur le respect scrupuleux des identités régionales, elles mêmes garantes de l’unité de la Nation."
Ces mots rappellent singulièrement ceux prononcés par Marine Le Pen le 17 mars 2012 à Ajaccio, dans le cadre de la campagne présidentielle.
Saluant « la résistance des Corses à la culture mondialiste à travers la préservation de la langue et de la culture », Marine Le Pen a développé les thèmes fondateurs d’une démarche de sauvegarde des diversités et des identités régionales, thèmes qu’elle avait réservé pour sa venue en Corse « parce qu’il y a une résonnance particulière sur cette terre chargée d’Histoire. »
Elle annonçait deux mesures immédiates.
D’une part, la création dans chaque région de commissions d’universitaires et d’historiens chargés de concevoir des programmes d’enseignement d’Histoire régionale, « l’apprentissage de l’Histoire du territoire dans lequel on vit ou on a choisi de vivre » devenant une matière obligatoire.
D’autre part, la création d’un « Institut National de Préservation du Patrimoine…chargé de recenser et de préserver la mémoire de nos terroirs dans tous ses aspects, culturels, historiques, coutumiers et linguistiques ».
Marine Le Pen concluait ces propositions par une redéfinition plus que salutaire du concept de « diversité » en le recadrant sur « la diversité des régions et des coutumes » qui « enrichit l’âme de la France ».
Ainsi, loin de l’uniformisation réductrice d’une pensée unique que d’autres veulent imposer, le Front National cimente son unité sur le respect scrupuleux des identités régionales, elles mêmes garantes de l’unité de la Nation."
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