Pourtant, tout avait bien commencé pour le calvais parti vendredi à 2 heures du matin de Conca. Toute la nuit et la journée d'hier, le coureur a « avalé » les kilomètres et les difficultés.
Sur le coup de 16h30, on l'a dit, il est passé au col de Verde avec plus de 2 heures d'avance sur son tableau de marche. Avance qu'il confortait au col de Vizzavona où il s'octroyait une pause de 30 minutes, avant de repartir.
Et puis, à la nuit tombée, les conditions météorologiques se sont dégradées avec un vent glacial qui soufflait. Au fil des heures, l'athlète a été pris de vomissement et de douleurs intestinales. Vers 2 heures du matin, la mort dans l'âme, en concertation avec son staff qui ne voulait pas lui faire courir le moindre risque, Jean-Pierre Costa décidait de renoncer.
Une sage décision saluée par tous les observateurs. Réconforté par les siens, Jean-Pierre Costa n'excluait pas de recommencer et remerciait chaleureusement tous ceux qui avec lui ont participé à ce défi.
Sur le coup de 16h30, on l'a dit, il est passé au col de Verde avec plus de 2 heures d'avance sur son tableau de marche. Avance qu'il confortait au col de Vizzavona où il s'octroyait une pause de 30 minutes, avant de repartir.
Et puis, à la nuit tombée, les conditions météorologiques se sont dégradées avec un vent glacial qui soufflait. Au fil des heures, l'athlète a été pris de vomissement et de douleurs intestinales. Vers 2 heures du matin, la mort dans l'âme, en concertation avec son staff qui ne voulait pas lui faire courir le moindre risque, Jean-Pierre Costa décidait de renoncer.
Une sage décision saluée par tous les observateurs. Réconforté par les siens, Jean-Pierre Costa n'excluait pas de recommencer et remerciait chaleureusement tous ceux qui avec lui ont participé à ce défi.
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