Thierry Laurey reste confiant et ne cache pas qu’il attend ce déclic de la part de ses joueurs. Comme on dit en pareil cas « il faut faire avec » et surtout ne pas se décourager. C’est un peu sa devise depuis le début. Cette semaine, l’entraîneur ajaccien a disposé de 17 joueurs à partir desquels sera formé le onze entrant face au FC Toulouse, lui aussi en proie au doute après sa déconvenue de Bastia la semaine dernière.
Le travail finit toujours par payer…
« Je dispose en effet d’un groupe de 17 joueurs, le même que la semaine dernière à Caen, moins Le Moigne et Martinez. Après la défaite, le moral en prend toujours un coup mais dans l’ensemble, ça à l’air d’aller, les joueurs demeurent mobilisés, ils veulent y arriver malgré les conditions délicates, moins en terme de jeu que de classement. Si l’on connaît des difficultés, jamais l’équipe a été ridicule, raison pour laquelle on continue à travailler d’arrache-pied pour aller de l’avant. On sait que l’on va y arriver, peut-être d’ailleurs ce soir face à Toulouse et cela sans contrarier le moral des joueurs qui font preuve de beaucoup de détermination. C’est un peu ce qui s’est passé l’an dernier lorsque nous étions dans le doute. La volonté a fini par payer. »
Pour cette première saison parmi l’élite, les ajacciens savaient à quoi s’attendre, étaient conscients que ça allait être bien plus délicat que la saison dernière, chacun s’accorde à la reconnaître, l’entraineur en premier : « Il ne faut pas se cacher derrière le petit doigt, l’apprentissage est très dur ; à nous d’être plus solidaires, serrer un peu plus les coudes, avoir malgré tout une ambition plus forte pour provoquer le déclic et bien figurer dans notre objectif qui reste le maintien. Toutes les composantes du club travaillent là dessus et j’espère, car il faut espérer, que notre méthode portera ses fruits. Je peux vous dire que tous les garçons y mettent du leur, même si certains doivent se remettre en cause sur des comportements qui ne coïncident pas quelques fois avec les consignes qui doivent être appliquées. Sans doute certains garçons ont du mal à être concentrés tout le temps. On va revoir cela aussi. »
Un adversaire à surveiller
Les joueurs savent que l’équipe de Toulouse compte sur ce match pour se relancer. Ils ne sont pas les seuls d’ailleurs…Mieux vaut ne pas trop se focaliser sur le match de Bastia. Ils ont certes pris trois pions mais au vu de la rencontre, la domination des bastiais n’a pas été écrasante, tant s’en faut, même si la victoire a été probante. Toulouse a bénéficié de 18 corners et s’est créé un nombre important d’occasions. C’est aussi l’avis de Thierry Laurey : « Il y a eu c’est vrai pas mal d’éléments contre eux, je trouve que trois buts c’est cher payé. Sur le match, l’équipe est joueuse et intéressante dans le jeu. Les Toulousains ont manqué d’efficacité mais je reste méfiant car ils développent un bon jeu. C’est un adversaire à surveiller de près car il reste sur des résultats mitigés et ils vont tout faire pour remonter la pente. Une bête blessée, il faut s’en méfier tout simplement. De toute façon nous n’avons pas le choix parce que nous sommes obligés d’aller de l’avant. Il est impératif pour nous de remporter ce premier match juste avant la seconde trêve et à mettre le compteur à jour une fois pour toute. »
J. F.
Le travail finit toujours par payer…
« Je dispose en effet d’un groupe de 17 joueurs, le même que la semaine dernière à Caen, moins Le Moigne et Martinez. Après la défaite, le moral en prend toujours un coup mais dans l’ensemble, ça à l’air d’aller, les joueurs demeurent mobilisés, ils veulent y arriver malgré les conditions délicates, moins en terme de jeu que de classement. Si l’on connaît des difficultés, jamais l’équipe a été ridicule, raison pour laquelle on continue à travailler d’arrache-pied pour aller de l’avant. On sait que l’on va y arriver, peut-être d’ailleurs ce soir face à Toulouse et cela sans contrarier le moral des joueurs qui font preuve de beaucoup de détermination. C’est un peu ce qui s’est passé l’an dernier lorsque nous étions dans le doute. La volonté a fini par payer. »
Pour cette première saison parmi l’élite, les ajacciens savaient à quoi s’attendre, étaient conscients que ça allait être bien plus délicat que la saison dernière, chacun s’accorde à la reconnaître, l’entraineur en premier : « Il ne faut pas se cacher derrière le petit doigt, l’apprentissage est très dur ; à nous d’être plus solidaires, serrer un peu plus les coudes, avoir malgré tout une ambition plus forte pour provoquer le déclic et bien figurer dans notre objectif qui reste le maintien. Toutes les composantes du club travaillent là dessus et j’espère, car il faut espérer, que notre méthode portera ses fruits. Je peux vous dire que tous les garçons y mettent du leur, même si certains doivent se remettre en cause sur des comportements qui ne coïncident pas quelques fois avec les consignes qui doivent être appliquées. Sans doute certains garçons ont du mal à être concentrés tout le temps. On va revoir cela aussi. »
Un adversaire à surveiller
Les joueurs savent que l’équipe de Toulouse compte sur ce match pour se relancer. Ils ne sont pas les seuls d’ailleurs…Mieux vaut ne pas trop se focaliser sur le match de Bastia. Ils ont certes pris trois pions mais au vu de la rencontre, la domination des bastiais n’a pas été écrasante, tant s’en faut, même si la victoire a été probante. Toulouse a bénéficié de 18 corners et s’est créé un nombre important d’occasions. C’est aussi l’avis de Thierry Laurey : « Il y a eu c’est vrai pas mal d’éléments contre eux, je trouve que trois buts c’est cher payé. Sur le match, l’équipe est joueuse et intéressante dans le jeu. Les Toulousains ont manqué d’efficacité mais je reste méfiant car ils développent un bon jeu. C’est un adversaire à surveiller de près car il reste sur des résultats mitigés et ils vont tout faire pour remonter la pente. Une bête blessée, il faut s’en méfier tout simplement. De toute façon nous n’avons pas le choix parce que nous sommes obligés d’aller de l’avant. Il est impératif pour nous de remporter ce premier match juste avant la seconde trêve et à mettre le compteur à jour une fois pour toute. »
J. F.