Une page se tourne pour les amateurs de Ligue 1. Ce vendredi soir, au micro de Canal+, Wahbi Khazri a annoncé la fin de sa carrière professionnelle. À 34 ans, l’international tunisien, libre depuis son départ de Montpellier cet été, raccroche les crampons après plus d’une décennie au plus haut niveau. Une annonce chargée d’émotion, à l’image d’un joueur qui n’a jamais triché. « C’est le temps d’annoncer la fin de ma carrière. Ce passé qui m’a tant donné et à qui j’ai tant donné… », a-t-il confié, la voix tremblante. Des mots simples pour refermer un parcours dense, jalonné de coups d’éclat, de défis relevés et d’une fidélité constante à ses racines.
Car avant Bordeaux, Saint-Étienne, Rennes, Sunderland ou Montpellier, avant les Coupes du monde et les grands soirs européens, il y a la Corse. Né à Ajaccio, Wahbi Khazri a grandi sur l’île de Beauté, façonnant son caractère et son jeu sur les terrains insulaires. Ses premiers pas, il les fait à la JSA Ajaccio, mais c’est bien au SC Bastia que son destin bascule.
Le SC Bastia, son point d’ancrage
Au début des années 2010, dans un club en reconstruction, le jeune milieu offensif se révèle à Furiani. Technique soyeuse, culot assumé, personnalité affirmée : Khazri se distingue rapidement. À Bastia, il apprend le haut niveau, forge ce tempérament volcanique qui deviendra sa marque de fabrique et attire l’attention du football français. Le Sporting restera à jamais son point d’ancrage, le lieu où tout a commencé.
La suite, elle, s’écrit sur les plus grandes pelouses. De Bordeaux à Saint-Étienne — où il laissera le souvenir de buts venus d’ailleurs, comme ce lob mythique face à Metz — Khazri s’impose comme un joueur à part. Souvent critiqué, mais tout aussi souvent décisif, il incarne un football d’instinct, d’audace et de caractère. Sur la scène internationale, il aura également marqué l’histoire de la sélection tunisienne. Plus de 70 capes, des Coupes d’Afrique, deux Coupes du monde, et ce but retentissant contre la France lors du Mondial 2022 au Qatar, symbole de son culot et de son sens des grands rendez-vous.
En annonçant sa retraite, Wahbi Khazri referme un chapitre commencé loin des projecteurs, sur les pelouses corses. Un parcours singulier, fait de passion, d’intensité et de fidélité à ses origines. De Ajaccio à Furiani, puis au sommet du football international, Khazri laisse derrière lui bien plus qu’un palmarès : l’image d’un joueur vrai, entier, profondément attaché à la terre qui l’a vu naître.
Car avant Bordeaux, Saint-Étienne, Rennes, Sunderland ou Montpellier, avant les Coupes du monde et les grands soirs européens, il y a la Corse. Né à Ajaccio, Wahbi Khazri a grandi sur l’île de Beauté, façonnant son caractère et son jeu sur les terrains insulaires. Ses premiers pas, il les fait à la JSA Ajaccio, mais c’est bien au SC Bastia que son destin bascule.
Le SC Bastia, son point d’ancrage
Au début des années 2010, dans un club en reconstruction, le jeune milieu offensif se révèle à Furiani. Technique soyeuse, culot assumé, personnalité affirmée : Khazri se distingue rapidement. À Bastia, il apprend le haut niveau, forge ce tempérament volcanique qui deviendra sa marque de fabrique et attire l’attention du football français. Le Sporting restera à jamais son point d’ancrage, le lieu où tout a commencé.
La suite, elle, s’écrit sur les plus grandes pelouses. De Bordeaux à Saint-Étienne — où il laissera le souvenir de buts venus d’ailleurs, comme ce lob mythique face à Metz — Khazri s’impose comme un joueur à part. Souvent critiqué, mais tout aussi souvent décisif, il incarne un football d’instinct, d’audace et de caractère. Sur la scène internationale, il aura également marqué l’histoire de la sélection tunisienne. Plus de 70 capes, des Coupes d’Afrique, deux Coupes du monde, et ce but retentissant contre la France lors du Mondial 2022 au Qatar, symbole de son culot et de son sens des grands rendez-vous.
En annonçant sa retraite, Wahbi Khazri referme un chapitre commencé loin des projecteurs, sur les pelouses corses. Un parcours singulier, fait de passion, d’intensité et de fidélité à ses origines. De Ajaccio à Furiani, puis au sommet du football international, Khazri laisse derrière lui bien plus qu’un palmarès : l’image d’un joueur vrai, entier, profondément attaché à la terre qui l’a vu naître.
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