Ce sont une quarantaine de personnes qui ont été mobilisées pour cet entraînement grandeur nature d’un sauvetage en mer. Quatre équipes mixtes, équipées, de membres de la SNSM et de personnel du SAMU 2A. Une première équipe arrive sur les lieux et part en repérage. Après une évaluation de la situation et des besoins, elle fait appel à une, puis deux, puis trois équipes de renfort avec le matériel nécessaire. Les quatre blessés sont pris en charge lorsque les sauveteurs apprennent la présence d’une cinquième personne lors du naufrage. L’équipe cynophile est alors appelée en renfort et part à la recherche de cette cinquième victime.
Une fois les cinq victimes prises en charge, médicalisées, elles sont coquillées puis rapatriées sur la terre ferme afin d’être prise en charge par le personnel de l’hôpital d’Ajaccio.
L’exercice s’arrête là.
Harmoniser les secours
Pour Claude Ricci, l’exercice s’est plutôt bien passé : « Il y avait beaucoup de moyens, beaucoup de personnes et une grande quantité de matériel à gérer. Il y aura sûrement des choses à améliorer … » Le président de la SNSM d’Ajaccio se dit satisfait de la collaboration entre la SNSM et le SAMU. Il s’agissait d’une première : « On a fait connaissance » dit le sauveteur qui attend maintenant le débriefing du médecin pour voir les choses à revoir.
Il y avait deux objectifs à cette mise en situation. Dans un premier lieu, il s’agissait d’harmoniser les différents secours qui peuvent intervenir sur un même accident. Faire en sorte de travailler ensemble, dans le même sens pour optimiser les secours.
Dans un second temps, cela a permis d’évaluer les formations dispensées aux membres de l’association des sauveteurs à leur intégration. Evaluer l’efficacité de ces formations mais aussi les manques et les choses à approfondir.
Nous pouvons donc penser qu’en ce premier jour de l’été, les sauveteurs de notre île sont prêts à accueillir la vague de vacanciers, en leur souhaitant toutefois bien évidement d’éviter ce genre de désagrément.
Une fois les cinq victimes prises en charge, médicalisées, elles sont coquillées puis rapatriées sur la terre ferme afin d’être prise en charge par le personnel de l’hôpital d’Ajaccio.
L’exercice s’arrête là.
Harmoniser les secours
Pour Claude Ricci, l’exercice s’est plutôt bien passé : « Il y avait beaucoup de moyens, beaucoup de personnes et une grande quantité de matériel à gérer. Il y aura sûrement des choses à améliorer … » Le président de la SNSM d’Ajaccio se dit satisfait de la collaboration entre la SNSM et le SAMU. Il s’agissait d’une première : « On a fait connaissance » dit le sauveteur qui attend maintenant le débriefing du médecin pour voir les choses à revoir.
Il y avait deux objectifs à cette mise en situation. Dans un premier lieu, il s’agissait d’harmoniser les différents secours qui peuvent intervenir sur un même accident. Faire en sorte de travailler ensemble, dans le même sens pour optimiser les secours.
Dans un second temps, cela a permis d’évaluer les formations dispensées aux membres de l’association des sauveteurs à leur intégration. Evaluer l’efficacité de ces formations mais aussi les manques et les choses à approfondir.
Nous pouvons donc penser qu’en ce premier jour de l’été, les sauveteurs de notre île sont prêts à accueillir la vague de vacanciers, en leur souhaitant toutefois bien évidement d’éviter ce genre de désagrément.
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