Suite à la mobilisation des lycéens et des parents d’élèves, la FCPE de Corse du Sud souhaite porter ses doléances à la connaissance des familles.
Nous constatons de fortes disparités entre élèves liées à un taux d'enseignement en présentiel fortement différencié ces derniers mois (de 50 à 100 % en Corse comme au plan national).
Nous déplorons également l’absence de moyens de remplacements des enseignants. A ce jour, des classes d’écoles primaires, de collèges et de lycées restent sans remplaçants. Ainsi, nombre de parents ont dû recourir à des cours particuliers.
Pour notre fédération, cette situation creusant de fait les inégalités sociales, n'est pas acceptable au sein de l'école publique que nous revendiquons.
Profondément attachée à la valeur et au caractère national du baccalauréat, la FCPE demande d'autre part qu’il soit procédé à de rapides aménagements :
- Pour l’épreuve anticipée de français, l’application, comme pour la philosophie, de la meilleure note entre la moyenne annuelle du contrôle continu et celle de l’examen final.
- La suppression d’une question à l’épreuve du Grand Oral, celle-ci n’ayant pas pu être préparée dans les conditions initialement prévues par la réforme.
Enfin, après avoir pris attache avec Mme La Rectrice, nous avons eu l’assurance d’une harmonisation bienveillante des notations des élèves ainsi que la prise en compte des besoins éducatifs particuliers de chacun.
Parce que cette question de la nécessaire harmonisation entre les différents établissements nationaux, voire locaux, reste essentielle dans la prise en compte du contrôle continu et dans Parcoursup.
C’est pourquoi, nous invitons les parents dont les enfants seraient sans solution à l’issue des phases finales d’instruction de Parcoursup par l’administration, à contacter notre fédération locale. Un délégué les accompagnera alors dans les voies de recours.
Ces doléances à Monsieur le Ministre de l’Éducation Nationale ont pour but de permettre à nos enfants d’avoir confiance en eux. Un échec dans leurs examens ou dans leurs futures orientations ne pourrait qu’accroître leur mal-être après 15 mois d’un enseignement "dégradé"
Nous constatons de fortes disparités entre élèves liées à un taux d'enseignement en présentiel fortement différencié ces derniers mois (de 50 à 100 % en Corse comme au plan national).
Nous déplorons également l’absence de moyens de remplacements des enseignants. A ce jour, des classes d’écoles primaires, de collèges et de lycées restent sans remplaçants. Ainsi, nombre de parents ont dû recourir à des cours particuliers.
Pour notre fédération, cette situation creusant de fait les inégalités sociales, n'est pas acceptable au sein de l'école publique que nous revendiquons.
Profondément attachée à la valeur et au caractère national du baccalauréat, la FCPE demande d'autre part qu’il soit procédé à de rapides aménagements :
- Pour l’épreuve anticipée de français, l’application, comme pour la philosophie, de la meilleure note entre la moyenne annuelle du contrôle continu et celle de l’examen final.
- La suppression d’une question à l’épreuve du Grand Oral, celle-ci n’ayant pas pu être préparée dans les conditions initialement prévues par la réforme.
Enfin, après avoir pris attache avec Mme La Rectrice, nous avons eu l’assurance d’une harmonisation bienveillante des notations des élèves ainsi que la prise en compte des besoins éducatifs particuliers de chacun.
Parce que cette question de la nécessaire harmonisation entre les différents établissements nationaux, voire locaux, reste essentielle dans la prise en compte du contrôle continu et dans Parcoursup.
C’est pourquoi, nous invitons les parents dont les enfants seraient sans solution à l’issue des phases finales d’instruction de Parcoursup par l’administration, à contacter notre fédération locale. Un délégué les accompagnera alors dans les voies de recours.
Ces doléances à Monsieur le Ministre de l’Éducation Nationale ont pour but de permettre à nos enfants d’avoir confiance en eux. Un échec dans leurs examens ou dans leurs futures orientations ne pourrait qu’accroître leur mal-être après 15 mois d’un enseignement "dégradé"
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