« Cette année sera très difficile » confie le référent du Téléthon pour la Haute-Corse Louis-Antoine Coque. Et pour cause, avec la crise sanitaire et le reconfinement, la plupart des actions prévues ont dû être annulées. En Corse-du-Sud, même problème : si l’an dernier, 70 manifestations avaient été organisées, cette année, elles ne sont plus que 10 au programme. De quoi inquiéter les organisateurs : « Quand on sait que ces actions représentent 40% de la collecte au niveau national… » souffle la référente Julia Hue-Pasqualaggi.
L’année dernière, sur l’ensemble de l’île, la collecte avait permis de récolter 490 000 €. Pour cette édition, les deux référents s’attendent au pire. Ils prédisent une diminution d’environ 50 à 60% des dons. Alors pour limiter les dégâts, dans l’attente des annonces gouvernementales sur un potentiel déconfinement, ils essaient tout de même de s’organiser tant bien que mal : « Cette année c’est un peu la débrouille » commente Julia Hue-Pasqualaggi. Vente de crêpes sur les parkings des supermarchés, repas en drive, petites ventes au sein des écoles, les organisateurs essaient de faire preuve d’ingéniosité. Et surtout, de miser sur les outils numériques, en incitant aux dons sur les réseaux sociaux. « On essaie de motiver les gens de cette manière mais c’est délicat » indique Louis-Antoine Coque. « Cette année le thème c’est « trop fort », on en fait un peu la démonstration, car tout le monde se bat contre le COVID » commente Julia Hue-Pasqualaggi.
Ce qui inquiète particulièrement les deux référents, ce sont les conséquences d’une mauvaise collecte. Car le Téléthon finance des programmes de recherches contre les myopathies étalés sur plusieurs années, donc une mauvaise édition peut entrainer un ralentissement « extrêmement préjudiciable » pour les malades. « Ma plus grosse peine serait de ne pas pouvoir aider cette année les enfants et les familles » regrette Louis-Antoine Coque, lance donc un appel aux dons à la Corse qu’il sait généreuse.
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L’année dernière, sur l’ensemble de l’île, la collecte avait permis de récolter 490 000 €. Pour cette édition, les deux référents s’attendent au pire. Ils prédisent une diminution d’environ 50 à 60% des dons. Alors pour limiter les dégâts, dans l’attente des annonces gouvernementales sur un potentiel déconfinement, ils essaient tout de même de s’organiser tant bien que mal : « Cette année c’est un peu la débrouille » commente Julia Hue-Pasqualaggi. Vente de crêpes sur les parkings des supermarchés, repas en drive, petites ventes au sein des écoles, les organisateurs essaient de faire preuve d’ingéniosité. Et surtout, de miser sur les outils numériques, en incitant aux dons sur les réseaux sociaux. « On essaie de motiver les gens de cette manière mais c’est délicat » indique Louis-Antoine Coque. « Cette année le thème c’est « trop fort », on en fait un peu la démonstration, car tout le monde se bat contre le COVID » commente Julia Hue-Pasqualaggi.
Ce qui inquiète particulièrement les deux référents, ce sont les conséquences d’une mauvaise collecte. Car le Téléthon finance des programmes de recherches contre les myopathies étalés sur plusieurs années, donc une mauvaise édition peut entrainer un ralentissement « extrêmement préjudiciable » pour les malades. « Ma plus grosse peine serait de ne pas pouvoir aider cette année les enfants et les familles » regrette Louis-Antoine Coque, lance donc un appel aux dons à la Corse qu’il sait généreuse.
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