« On ne s’attendait pas à voir autant de monde ! » C’est avec beaucoup d’émotion dans la voix et dans son expression qu’Elise Milano a commenté, à chaud, l’exposition qu’elle met en place jusqu’au 2 mars avec son amie Brigitte Dumoulin, mariée à Rennu où Elise a ses racines. Au-delà de l’aspect purement artistique, cette aventure est tout d’abord l’histoire d’une amitié. « Un rêve improbable, rajoute Elise Milano, professeure des écoles à Eccica Suarella, cela fait bien longtemps que l’on songeait à exposer ensemble. Il a bien fallu franchir le pas. »
Quelque peu gênées par ces feux des projecteurs soudains, les deux amies semblent surprises par le monde venu à ce vernissage. Une centaine de personnes parmi lesquels la famille, les amis, des artistes ou de simples amateurs d’art. Une réussite bien au-delà de leurs espérances. Mais l’amitié est une chose, le talent en est une autre. Et ni Elise ni Brigitte n’en manquent. La première a débuté il y a deux ans à peine et commence à sortir de l’anonymat avec son style bien particulier. Les portraits dont on perçoit l’âme, nichée tantôt dans les couleurs, tantôt dans le regard, tantôt dans le jeu entre ombre et lumière. Une ambiance et plus encore, une saveur qui résonnent au regard du néophyte bien mieux que des mots. C’est la magie de l’art, dans ce qu’il a de plus pur. Brigitte peint, quant à elle, depuis une dizaine d’année. « C’était une façon de m’évader », souligne-t-elle, j’ai commencé par la technique mais j’ai laissé tomber. C’était trop académique ! »
Ses toiles, où le vert prédomine, « c’est une couleur qui m’attire… » respirent la nature mais dirigent le regard vers l’abstrait. Là aussi, chacun se fera sa propre interprétation. Ainsi, quarante toiles sont exposées au Locu Teatrale jusqu’au 2 mars prochain. « Un mélange, rajoute Elise Milano, deux mondes différents mais qui ne sont, en rien, opposés. »
A voir jusqu’au milieu de la semaine prochaine. Une reconnaissance et une première étape pour deux artistes en devenir…
Quelque peu gênées par ces feux des projecteurs soudains, les deux amies semblent surprises par le monde venu à ce vernissage. Une centaine de personnes parmi lesquels la famille, les amis, des artistes ou de simples amateurs d’art. Une réussite bien au-delà de leurs espérances. Mais l’amitié est une chose, le talent en est une autre. Et ni Elise ni Brigitte n’en manquent. La première a débuté il y a deux ans à peine et commence à sortir de l’anonymat avec son style bien particulier. Les portraits dont on perçoit l’âme, nichée tantôt dans les couleurs, tantôt dans le regard, tantôt dans le jeu entre ombre et lumière. Une ambiance et plus encore, une saveur qui résonnent au regard du néophyte bien mieux que des mots. C’est la magie de l’art, dans ce qu’il a de plus pur. Brigitte peint, quant à elle, depuis une dizaine d’année. « C’était une façon de m’évader », souligne-t-elle, j’ai commencé par la technique mais j’ai laissé tomber. C’était trop académique ! »
Ses toiles, où le vert prédomine, « c’est une couleur qui m’attire… » respirent la nature mais dirigent le regard vers l’abstrait. Là aussi, chacun se fera sa propre interprétation. Ainsi, quarante toiles sont exposées au Locu Teatrale jusqu’au 2 mars prochain. « Un mélange, rajoute Elise Milano, deux mondes différents mais qui ne sont, en rien, opposés. »
A voir jusqu’au milieu de la semaine prochaine. Une reconnaissance et une première étape pour deux artistes en devenir…