Alors que la dermatose nodulaire contagieuse continue de provoquer de vives tensions sur le continent, un comité de pilotage relatif à cette épizootie s’est tenu ce mercredi à Ajaccio « en présence des représentants de la profession agricole, des représentants de la profession vétérinaire et des services de l’État », indique la préfecture de Corse.
Pour rappel, la dermatose nodulaire contagieuse est une maladie virale décrite comme « très contagieuse et fortement préjudiciable à la santé des bovins ». Pour autant, les services de l’État insistent sur le fait qu’elle « n’est pas transmissible à l’humain, ni par contact avec des bovins infectés, ni par la consommation de produits issus de bovins contaminés, ni par piqûres d’insectes vecteurs ».
Détectée en Sardaigne et en France continentale à la fin du mois de juin 2025, la maladie a conduit à la mise en place de mesures sanitaires strictes sur le continent, avec notamment des campagnes de vaccination et des abattages préventifs, à l’origine d’une forte mobilisation des éleveurs dans plusieurs régions.
Mais en Corse, la situation reste à ce stade maîtrisée. « La Corse est indemne de dermatose nodulaire contagieuse », souligne la préfecture. En raison de la proximité de l’île avec la Sardaigne, où la maladie est apparue pour la première fois en Europe cette année, le ministère de l’agriculture a toutefois autorisé une campagne de vaccination préventive a toutefois été lancée le 1er septembre.
Mais cette campagne qui concerne l’ensemble du cheptel bovin, initialement prévue jusqu’au 31 décembre 2025, affiche aujourd’hui une couverture partielle. « Environ 25 700 animaux ont été vaccinés, ce qui porte le taux d’avancement de la campagne à 64 % », précise la préfecture.
Afin de permettre son achèvement, la période de vaccination a été prolongée par arrêté ministériel, jusqu’au 31 mars 2026, annonce les services de l’État. Une décision qui s’accompagne du maintien des restrictions sanitaires qui dévoilent qu’à «la demande de la profession agricole, l’interdiction d’introduction de bovins vivants en Corse sera prolongée par arrêté préfectoral jusqu’au 31 mars 2026 ».
Les services de l’État appellent désormais les éleveurs retardataires à se manifester rapidement. « Les éleveurs qui n’auraient pas encore vacciné leur cheptel doivent prendre contact avec leur vétérinaire sanitaire sans délai pour fixer un rendez-vous », rappelle la préfecture en insistant : « La vaccination est obligatoire. Le non-respect de cette obligation entraînera pour les détenteurs d’animaux des suites administratives – voire pénales ».
Pour rappel, la dermatose nodulaire contagieuse est une maladie virale décrite comme « très contagieuse et fortement préjudiciable à la santé des bovins ». Pour autant, les services de l’État insistent sur le fait qu’elle « n’est pas transmissible à l’humain, ni par contact avec des bovins infectés, ni par la consommation de produits issus de bovins contaminés, ni par piqûres d’insectes vecteurs ».
Détectée en Sardaigne et en France continentale à la fin du mois de juin 2025, la maladie a conduit à la mise en place de mesures sanitaires strictes sur le continent, avec notamment des campagnes de vaccination et des abattages préventifs, à l’origine d’une forte mobilisation des éleveurs dans plusieurs régions.
Mais en Corse, la situation reste à ce stade maîtrisée. « La Corse est indemne de dermatose nodulaire contagieuse », souligne la préfecture. En raison de la proximité de l’île avec la Sardaigne, où la maladie est apparue pour la première fois en Europe cette année, le ministère de l’agriculture a toutefois autorisé une campagne de vaccination préventive a toutefois été lancée le 1er septembre.
Mais cette campagne qui concerne l’ensemble du cheptel bovin, initialement prévue jusqu’au 31 décembre 2025, affiche aujourd’hui une couverture partielle. « Environ 25 700 animaux ont été vaccinés, ce qui porte le taux d’avancement de la campagne à 64 % », précise la préfecture.
Afin de permettre son achèvement, la période de vaccination a été prolongée par arrêté ministériel, jusqu’au 31 mars 2026, annonce les services de l’État. Une décision qui s’accompagne du maintien des restrictions sanitaires qui dévoilent qu’à «la demande de la profession agricole, l’interdiction d’introduction de bovins vivants en Corse sera prolongée par arrêté préfectoral jusqu’au 31 mars 2026 ».
Les services de l’État appellent désormais les éleveurs retardataires à se manifester rapidement. « Les éleveurs qui n’auraient pas encore vacciné leur cheptel doivent prendre contact avec leur vétérinaire sanitaire sans délai pour fixer un rendez-vous », rappelle la préfecture en insistant : « La vaccination est obligatoire. Le non-respect de cette obligation entraînera pour les détenteurs d’animaux des suites administratives – voire pénales ».
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U tempu in Corsica










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