Il était un peu de 11 heures lorsque le drame est survenu.
Pour des raisons que les investigations, qui ont débuté dès que le crash a été connu devront déterminer, l'avion - un Socata TB 20 - à bord duquel se trouvait deux hommes s'est abimé à quelques mètres du rivage de la paillote "Chez Teresa".
Plusieurs témoins ont assisté, impuissants à la scène et pendant que quelques-uns d'entre eux se sont courageusement mis à l'eau pour tenter de secourir le pilote et son passager, l'alerte était donnée.
Mais il était trop tard pour les deux hommes sans doute morts sur le coup après avoir été éjecté, à la suite du crash, de l'habitacle de l'appareil.
Aussitôt les moyens, mobilisés par SIS 2B, ont convergé vers la plage de San Giuliano (deux véhicules et le chef de centre de secours de Cervioni, et l'hélicoptère de la Sécurité civile) où pompiers et gendarmes se sont multipliés pour les uns, récupérer ce tout ce qui pouvait l'être autour de l'épave de l'appareil, et pour, les autres, recueillir les témoignages des nombreuses personnes qui ont assisté au crash du petit avion immatriculé F-GDMQ
Il s'agit en effet à présent, pour les enquêteurs, d'établir dans quelles circonstances l'accident s'est produit. A déterminer aussi d'où venait l'avion ? Et s'il avait fait une escale auparavant ?
Seule certitude : l'appareil, propriété de l'association de sauvegarde du patrimoine aéronautique corse, devait mettre le cap sur l'Ile d'Elbe, ainsi que l'indiquait en fin d'après-midi de ce mardi, Caroline Tharot, procureure de la République de Bastia.
Les deux malheureuses victimes du crash, dont les identités n'ont pas été divulguées, sont originaires de la région.
Pour des raisons que les investigations, qui ont débuté dès que le crash a été connu devront déterminer, l'avion - un Socata TB 20 - à bord duquel se trouvait deux hommes s'est abimé à quelques mètres du rivage de la paillote "Chez Teresa".
Plusieurs témoins ont assisté, impuissants à la scène et pendant que quelques-uns d'entre eux se sont courageusement mis à l'eau pour tenter de secourir le pilote et son passager, l'alerte était donnée.
Mais il était trop tard pour les deux hommes sans doute morts sur le coup après avoir été éjecté, à la suite du crash, de l'habitacle de l'appareil.
Aussitôt les moyens, mobilisés par SIS 2B, ont convergé vers la plage de San Giuliano (deux véhicules et le chef de centre de secours de Cervioni, et l'hélicoptère de la Sécurité civile) où pompiers et gendarmes se sont multipliés pour les uns, récupérer ce tout ce qui pouvait l'être autour de l'épave de l'appareil, et pour, les autres, recueillir les témoignages des nombreuses personnes qui ont assisté au crash du petit avion immatriculé F-GDMQ
Il s'agit en effet à présent, pour les enquêteurs, d'établir dans quelles circonstances l'accident s'est produit. A déterminer aussi d'où venait l'avion ? Et s'il avait fait une escale auparavant ?
Seule certitude : l'appareil, propriété de l'association de sauvegarde du patrimoine aéronautique corse, devait mettre le cap sur l'Ile d'Elbe, ainsi que l'indiquait en fin d'après-midi de ce mardi, Caroline Tharot, procureure de la République de Bastia.
Les deux malheureuses victimes du crash, dont les identités n'ont pas été divulguées, sont originaires de la région.