Stade Paul-Antoniotti, Borgo : 2 AC Ajaccio : 3 après prolongation
Buts pour Borgo : Marester (20e) contre son camp, Inzerillo (70e)
Buts pour l'ACA : Madri (29e), Babiloni (72e), Fauvergue (96e)
Arbitre : M. Mokhtari
Avertisssements : Lesuer (32e), Cascinelli (46e), Dominici (85e et 109e) à Borgo, Babiloni (57e)
Exclusions : Dominici (107e) et Cascinelli (109e) à Borgo
Borgo
Crsistiani, Cascinelli, Soler, Inzerillo, Sodini puis Tafanelli (65e), Vannucci, Lesuer, Ouedrago (105e), Dominici, Milleliri puis Mandrichi (69e), El Faqyh
ACA
Sissoko, Marester, Baibiloni, Perozo, Deville puis Abergel (65e), Lesoimier, Gonçalves, Coulibaly, Diop puis Begeorgi (105e) , Quintilla puis Fauvergue (65e), Madri
Le Borgo FC est sorti de la coupe de France la tête haute !
Les divisionnaires ont en effet donné du fil a retordre à la formation de Ligue 2 de l'AC Ajaccio qui dut, d'entrée de jeu, faire face à la détermination des locaux portée par un bel enthousiasme et matérialisé par les incursions de El Faqyh et de Milleliri. Mais si l'ACA avait frappé le premier par l'intermédiaire de Quintilla - Cristiani avait renvoyé des deux poings - Borgo et El Faquy avaient contraints, eux aussi, peu après, Sissoko à se jeter dans les pieds de l'attaquant local.
Ce Borgo, sans complexe, était parfaitement entré dans le match et cette volonté d'aller de l'avant trouvait une conclusion logique au terme de cette échappée de Milleri sur le côté droit et ce centre tendu au second poteau que Marester rabattait au fond de ses filets.
Ce but ne semblait pas perturber l'ACA qui reprenait le cours de son match sur le même rythme. Un schéma payant puisque moins de 10 minutes plus tard Madri profitait d'un mauvais renvoi de Cristiani, prolongé par Diop pour égaliser, d'une frappe croisée à ras de terre.
A la reprise l'ACA appuyait un peu plus sur l'accélérateur. Cristiani dut, dès lors, sortir le grand jeu sur un coup-franc de Loisemier puis aller chercher le ballon dans les pieds de Gonçalves. Mais ce n'est pas pour autant que les "pros" prenaient la direction des opérations.
En tout cas Inzerillo se trouvait à point nommé pour reprendre victorieusement un coup franc venu de la gauche et dévié par Lesueur.
Un fol espoir parcourait alors le stade Paul-Antoniotti, bien garni, mais il fut de courte durée : sur le terrain les joueurs de Didier Santini "oubliaient" complètement Babiloni sur le côté gauche de leur défense. La sanction était immédiate : l'ajaccien plaçait son ballon entre Cristiani et son poteau droit pour égaliser.
C'est finalement le métier de Fauvergue qui allait faire la différence cinq minutes après le début de la prolongation, devenue inévitable pour départager les deux équipes.
L'ACA, dès lors soulagé, se montrait plus entreprenant et si Cristiani mit encore quelques beaux arr^ts à son actif, Borgo, qui était allé au bout de ses forces, et qui chemin faisant avait perdu coup sur coup Dominici puis Cascinelli, renvoyés aux vestiaires par l'arbitre, devait s'avouer vaincu.
Olivier Pantaloni a donc battu Didier Santini qui avait été son coéquipier au Sporting.
Et l'ACA est reparti, contrat rempli, avec sa qualification en poche.
Buts pour Borgo : Marester (20e) contre son camp, Inzerillo (70e)
Buts pour l'ACA : Madri (29e), Babiloni (72e), Fauvergue (96e)
Arbitre : M. Mokhtari
Avertisssements : Lesuer (32e), Cascinelli (46e), Dominici (85e et 109e) à Borgo, Babiloni (57e)
Exclusions : Dominici (107e) et Cascinelli (109e) à Borgo
Borgo
Crsistiani, Cascinelli, Soler, Inzerillo, Sodini puis Tafanelli (65e), Vannucci, Lesuer, Ouedrago (105e), Dominici, Milleliri puis Mandrichi (69e), El Faqyh
ACA
Sissoko, Marester, Baibiloni, Perozo, Deville puis Abergel (65e), Lesoimier, Gonçalves, Coulibaly, Diop puis Begeorgi (105e) , Quintilla puis Fauvergue (65e), Madri
Le Borgo FC est sorti de la coupe de France la tête haute !
Les divisionnaires ont en effet donné du fil a retordre à la formation de Ligue 2 de l'AC Ajaccio qui dut, d'entrée de jeu, faire face à la détermination des locaux portée par un bel enthousiasme et matérialisé par les incursions de El Faqyh et de Milleliri. Mais si l'ACA avait frappé le premier par l'intermédiaire de Quintilla - Cristiani avait renvoyé des deux poings - Borgo et El Faquy avaient contraints, eux aussi, peu après, Sissoko à se jeter dans les pieds de l'attaquant local.
Ce Borgo, sans complexe, était parfaitement entré dans le match et cette volonté d'aller de l'avant trouvait une conclusion logique au terme de cette échappée de Milleri sur le côté droit et ce centre tendu au second poteau que Marester rabattait au fond de ses filets.
Ce but ne semblait pas perturber l'ACA qui reprenait le cours de son match sur le même rythme. Un schéma payant puisque moins de 10 minutes plus tard Madri profitait d'un mauvais renvoi de Cristiani, prolongé par Diop pour égaliser, d'une frappe croisée à ras de terre.
A la reprise l'ACA appuyait un peu plus sur l'accélérateur. Cristiani dut, dès lors, sortir le grand jeu sur un coup-franc de Loisemier puis aller chercher le ballon dans les pieds de Gonçalves. Mais ce n'est pas pour autant que les "pros" prenaient la direction des opérations.
En tout cas Inzerillo se trouvait à point nommé pour reprendre victorieusement un coup franc venu de la gauche et dévié par Lesueur.
Un fol espoir parcourait alors le stade Paul-Antoniotti, bien garni, mais il fut de courte durée : sur le terrain les joueurs de Didier Santini "oubliaient" complètement Babiloni sur le côté gauche de leur défense. La sanction était immédiate : l'ajaccien plaçait son ballon entre Cristiani et son poteau droit pour égaliser.
C'est finalement le métier de Fauvergue qui allait faire la différence cinq minutes après le début de la prolongation, devenue inévitable pour départager les deux équipes.
L'ACA, dès lors soulagé, se montrait plus entreprenant et si Cristiani mit encore quelques beaux arr^ts à son actif, Borgo, qui était allé au bout de ses forces, et qui chemin faisant avait perdu coup sur coup Dominici puis Cascinelli, renvoyés aux vestiaires par l'arbitre, devait s'avouer vaincu.
Olivier Pantaloni a donc battu Didier Santini qui avait été son coéquipier au Sporting.
Et l'ACA est reparti, contrat rempli, avec sa qualification en poche.